Mon amour oublié.

Fut un temps, où ta présence glissait sur mes lèvres une tendresse infinie. Un jour, j'ai soufflé un « Oui, je le veux » et dans mes yeux brillaient mon amour et cette fierté que j'avais pour toi. Tu as affronté la colère de ta famille, fait couler sur ton nom une vague de honte pour passer à mon doigt cette bague que j'ai fini par te rendre… Je t'ai aimé Howard, de tout mon cœur. Je t'aime sûrement encore, mais lorsque je t'observe, je ne vois que le reflet de toute cette douleur et rancœur que j'ai déposé sur toi.. Il y a de cela 16 ans, j'ai désobéi à toi, mon cher et tendre abruti, pour venir te protéger de ta famille et de ta naïveté. Cet homme, qui te sert de frère, que tu pensais bon, qui quelques mois plus tôt avait couvert ma peau de violence pour que je t'abandonne… Toi et cette chose qui commençait à naître dans mon être. Mais c'est un père qui mit fin à tout cela. Un sortilège, une mort imminente. Tous mes secrets, ceux que je ne t'ai jamais confié, enchaîné à notre pays ont fait que je suis restée morte seize ans à tes yeux et ceux de nos amis. Aujourd'hui je reviens, aujourd'hui je me sens faible et honteuse d'affronter ton regard. Je savoure ta tendresse, mais je sais très bien que tôt ou tard… Tu finiras par ouvrir les yeux et me détester comme tu devrais le faire. Mais en attendant, je continue de rêver de toi et de cette vie que nous pourrions avoir… Mais à mes mensonges je suis toujours liée.

L'amour de ma vie

Seize ans que tu subis mes sautes d'humeurs et ces éclats de souvenirs que me rendent dingue. Enfant, nous avons voyagé. Lorsque ma mémoire ne me faisait pas hurler, j'étais là, présente, la douce présence protectrice d'une mère. Et puis tout à commencé à basculer. Depuis ce jour, j'ai signé cet acte qui fait que mon autorité, tu ne l'as respecte que lorsque tu en auras envie. Malgré nos colères, malgré mes erreurs, je n'ai aucun doute sur le fait que tu es une bonne personne, Kris. Ton envie de découvrir ton père, l'absence de sa présence t'aura transformé en bourreau des cœurs. Ta colère et ta haine, méritée je le sais bien, je la supporterai autant qu'il faudra. Tu as raison de m'en vouloir et je resterai à jamais à tes côtés pour veiller sur toi. Je serais là, à jamais pour toi, parce que je t'aime. Tu es et tu resteras, malgré tout ce que j'ai pu dire, la plus belle chose que j'ai sur cette Terre. Et je si fière de cette force dont tu regorges. Je t'aime, Kris.

Un allié de l'autre côté

Je t'ai déjà croisé, sourit. Des conversations banales, jusqu'à ce que nous nous croisions pour affaires. Travailler ensemble. Je ne l'ai fais, qu'une fois que j'ai tourné le dos au Ministère de plus en plus corrompu par les forces du mal. Je suis devenu pour toi et les autres, ce que j'ai toujours fais de mieux. Une brise parmi les ombres, celle qui ramenait des informations. C'est grâce à toi si aujourd'hui je suis encore en vie. Je ne saurais jamais te remercier pour tout ça. C'est encore une fois, à tes côtés que j'ai commencé à retrouver la mémoire. Le premier nom qui m'est revenu c'est le tiens, nos souvenirs. De toi passant ce collier autour de ma nuque, de ton baiser protecteur contre mon front. C'est dans tes bras et contre tes lèvres que je me suis sentie sauvée un moment. Ta présence rassurante, tes caresses protectrices qui m'ont fait sourire malgré les cauchemars de plus en plus fréquent. C'est au creux de tes bras que je me calmais, mais c'est toi aussi que j'ai vu partir, m'abandonnant, dévorer par une culpabilité que je n'ai jamais comprise. Jusqu'à ce que je me rappelle d'Howard. Mais je ne t'en ai jamais voulu. Tu ne m'avais pas forcé. Nous étions deux étoiles isolées qui ont pleuré ensemble.
Aujourd'hui encore, tu restes un allié. Mon supérieur en faite. Autant dans cette nouvelle "Résistance" qu'au Ministère. Grâce à toi, je n'ai pas à écailler ma couverture en allant au Ministère. Tu le fais pour moi. C'est toi aussi, qui va devoir entraîner mon esprit. Une tombe à jamais je dois être.

Un diamant dans les ténèbres

Tu m'avais oublié de Poudlard. Mais il n'en reste que tu m'avais marqué. Le jour où tu t'es présenté à moi, j'ai été méfiante. Cette boule de muscle n'avait rien à faire ici, chez moi. Qui étais-tu, après tout, si ce n'est le garde du corps de cet homme en costume qui parlait peu et ne faisait que demander à Liliya si je me souvenais… Et puis tu m'as demandé comment j'allais. Je t'ai souris, j'ai soufflé que tout allait bien. Mais c'est Kris, si jeune, si petit qui a fini par venir te parler un jour, alors que tu jouais avec lui. Maman fait des cauchemars, maman crie la nuit, elle a peur des monstres. Maman boit des trucs pas bon, et elle mange même plus les céréales que le grand garçon préparait. Alors un jour tu as parlé, tu as cogné fort, et je me suis débattu. Je crois que j'avais laissé, ce jour là, une griffure contre ta gorge. Je n'avais pas besoin d'un inconnu de plus dans ma vie. Mais c'était bien parce que tu ne me regarderais pas comme si j'étais censée être quelqu'un d'autre pour toi, que tout à commencé. Bien plus présent qu'avait pu être les autres, tu as fini par recadrer ma vie. Même Kris t'adorait, aujourd'hui encore.
Un ami, un confident, un frère, un mentor, je ne sais pas, je ne sais plus, tu portes bien trop de rôle aujourd'hui. C'est simple : tu es devenu le pilier central de ma vie. Sauf que je doute de plus en plus de ta sincérité... De qui tu es vraiment… Ai-je fais le bon choix de poser toute ma vie entre tes mains, Callum ?

Une amitié bafouée

Nous nous sommes rencontrés à Poudlard, comme la grande majorité. Je t'ai toujours apprécié pour tes idées loufoques, le fait que tu te remettes en question et tes valeurs. Ta compagnie m'est précieuse, tout comme ton regard sur ma personne. Grâce à mes paroles, j'ai réussi à calmer ta colère et cette animosité qui te liait avec Howard. Tu as été là le jour de mon mariage, tu as été là lorsque j'ai découvert que j'étais enceinte. Tu es un véritable ami, un véritable frère à mes yeux. Mais comme ton ami, mon amant, je te mens. Depuis longtemps. Une vérité dissimulée pour mieux vous protéger. Ces seize années de malheur se sont soudainement abattus sur nous tous, mais non, je ne le regrette presque pas. J'ai participé à cette guerre et je veillerai encore à ce qu'elle ne se reproduise plus. Ta colère et tes questions, je ne pourrais jamais les apaiser, Leo. Mais aujourd'hui, plus aucun choix ne m'appartient, c'est à toi de me dire où est ma place..

Le gant de velours

Elève isolé, peu apprécié, tu n'as pas réellement changé. Pourtant, j'ai appris à apprécié ta compagnie par le passé et mon chemin a fini par recroiser le tien. Ou pour être, devrais-je dire, que mon dossier a fini sur ton bureau. L'affaire Cartwright a été là, ton quotidien pendant quelques semaines avant de m'abandonner à ma fameuse convalescence. Parfois tu venais pour prendre des nouvelles, simples visites de courtoisie. Mais les mots d'Alan et tes conseils ont fini par me faire courber l'échiner. Oui. J'allais reprendre mon service, après seize ans d'absence. J'aurais savoir si tu savais que c'est le gouvernement qui m'a effacé la mémoire… Mais après tout… J'ai donné mon consentement pour, n'est-ce pas ?

Une obsession cannibale

Rencontré alors que je signais mes derniers papiers pour finaliser mon poste à Poudlard, ton aura m'a prit à la gorge. Un charme étrange et carnivore. Une pupille envoûtante et déroutante. J'ai cru succomber à ce charme des ténèbres et dans ta gorge résonnaient des promesses morbides. Tu étais ce fils d'une légende qui inspirait en moi un relent de peur extatique. Mais étrangement, ton histoire et tes contradictions, tes démons et des songes m'intriguent et attisent ma curiosité. Ou fond, tout au fond de moi, je sais que j'ai déjà croisé ton chemin ailleurs, lorsque tu n'étais qu'un infime bout de chair, un enfant dans les jupes à sa mère. Un jour, tu n'as été qu'un nom sur une feuille, un ordre vers lequel je devais tendre. Mais seize années ont transformé le louveteau en mâle alpha qui dépose sur moi terreur et désir. Et le pire dans tout ça, c'est que mes rêves semblent adorer ça.

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A définir

Une idylle écoutée

Rencontrée en France, ce sont tes manières et ton étrange beauté qui m'ont claqué à la figure. A cette époque là, tout allait bien. Je voyageais beaucoup, je savourai la vie. J'étais dans cette période, où, malgré les souvenirs, malgré les cauchemars, j'étais prête à refaire ma vie. Je me fichais de savoir qui j'avais laissé derrière moi. Tu as été là, nous sommes sorties, nous avons diné, ris ensemble. J'ai partagé ma vie pendant quelques mois. C'était simple, sans prise de tête. Tu avais fini par comprendre rapidement comment on fonctionnait. On ne parlait pas du passé, ni des choses qui fâchent. Pourtant, un soir, j'ai attrapé ta veste pour la ranger. Une boite est tombée. Une alliance en son sein. Elle n'était pas pour moi, je le savais, tu m'avais déjà, malheureusement parlé de cet amour… Mais… Cette bague réveilla tout en moi. Grâce à toi… Ou à cause de toi, je me suis souvenu d'Howard. De mes vœux. De mon mariage. Depuis, j'étais incapable de te regarder dans les siens sans m'en vouloir, sans avoir honte de moi. Cette soirée là, tu as embrassé mon front et tu es parti. Sans jamais te retourner. Seule. Encore.

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En cours.

De femme à enfant

Je crois qu'au début, je ne l'aimais pas. Parce que je l'ai vu au loin dans un couloir avec Howard. Comment dire… J'étais jalouse ? Il m'est déjà arrivé, même après mon mariage de toute manière d'être jalouse de cette relation qu'ils avaient… C'était étrange… Nous étions pourtant que des enfants à cette époque et tu as été cette famille que je n'avais plus. Tu as été là, lorsque mes parents sont morts et de mes lèvres ne sortaient aucun mot. Juste le choc. J'ai vécu tellement de chose avec toi, que je ne saurais décrire… Une amie, une sœur, une amante parfois, mais je ne l'ai jamais ressentis comme ça… Non, c'est indescriptible, juste trop fort. De toi à moi, il y a quelque chose. Ta présence m'apaise et fait ressortir de moi le meilleur. Ma douceur et mon calme. Mes sourires et ma joie de vivre.

Un lien renoué

Amie de toujours, nous avions toujours ou presque, fait les 400 coups ensemble. Liées comme les doigts de la main, nous riions et sortions ensemble, avant, lors de nos années de jeunesse. Puis j'ai disparu. A mon retour, aidée par Alan, c'est chez toi que j'ai débarqué en premier. Après la surprise, l'incompréhension, après les embrassades et les pleures, c'est ton amitié et ton amour qui m'a réconforté. Tu avais été mise au courant, peu avant mon arrivée avant de me facilité la tâche. Tu m'as accueillit, moi et mon fils, ici chez toi, le temps que tout se reconstruise. Le temps que je rencontre toutes ces personnes, qui comme toi, faisaient parti de ma vie. L'idée de pouvoir revoir ton sourire m'embaume le cœur, tout comme ton rire. Tu m'avais tant manqué.

Une colombe de douceur

Tu étais une amie. Je comprends mieux les lueurs qui brillaient dans tes yeux, lorsque je t'observai m'aider. Non. Toi aussi je t'avais oublié. Comme les autres. Pourtant, j'ai fini par me souvenir. Me rappeler de nos conversations et de nos sorties. Des amies, nous riions de tout et de rien et surtout de notre insouciance. Tu n'as jamais posé de question, tu savais simplement que je ne pouvais pas te répondre. C'était sûrement ca que j'admirai le plus chez toi. Un beau soir, il y a de cela 16 ans, j'ai transplané chez toi. Essoufflé, au bord du malaise, la cuisse déchirée, le sang avait coulé sur ton parquet. Tu m'avais soigné, la crainte au creux des yeux et depuis, j'étais devenu plus secrète. Après, c'est ma mort qui fut annoncée. Mais rapidement tu vins à mes côtés, pour me soigner. Tu t'étais transformée d'amie à docteur. Et lentement, lentement j'ai repris confiance à tes côtés. Nous avons reparlés. Nous avons surveillé cet enfant. Tu m'as aidé pour lui. Aujourd'hui encore. Lili, ma douce colombe, bien trop précieuse pour moi.

Douce enfant perdue chez les grands

J'ai déjà entendu parler de toi. Rarement, avouons-le, mais ces rares font ont suffi pour graver ton nom dans ma mémoire. Si ce n'est pas ironique… Tu es la fille de Callum. Evidemment, sans même te connaître je nourris pour toi une sentiment de douceur et de tendresse. J'ai hâte de faire ta rencontre. (en attende du rp).

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