Messages : 304 Galions : 425 Âge : 22 ans Classe : M1 - Justice Magique Avatar : Boyd Holbrook
Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Euphemia A. Grave
Sujet: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Dim 6 Juil - 23:20
Abel Theodor McMillan
La vie ne vaut rien. Mais je te tiens, Rien ne vaut la Vie.
Patronyme :
McMillan
Prénoms :
Abel Theodor
Age :
22 ans.
Date et lieu de naissance :
8 août 1992, Sword, Irlande
Qualité du sang :
Sang-Pur... Il parait que ça a un lien avec le malaise existentiel entre son éducation et ce qu'il entend tous les jours.
Orientation sexuelle :
Passionément Bi.
Statut social :
Appartient à Caïn McMillan. Toujours en libre service.
Avatar :
Boyd Holbrook
Ce putain de couvre-chef m'a envoyé à
Serpentard Justice Magique - M1
Ma Baguette ? tiens... :
Bois de Laurier et crain de Kelpi, 38,7 centimètre. On jurerait qu'il y ait quelque chose à compenser.
Engins volants :
S'est acheté une moto qu'il n'utilise qu'en vacances. Dispose de quelques balais faits sur-mesure, dans l'espoir de retrouver les sensations de la moto, et pourquoi pas faire un peu de Quidditch de temps en temps. Il ne pense pas être fort. Mais qui sait.
Une petite bête ? :
Une renarde. Elle doit avoir... 4 ans ? Puisque celle d'avant a été relâchée une fois qu'elle a sevré ses petits.
I'm freaked out by :
Ma sœur maquillée et coiffée en chanteuse punk qui m'embrasse, sous les yeux et les reproches de mes parents, mon frère.... Et le rire de Caleb. Je vous dis pas la honte, en troisième année, pour un sang-pur, d'avoir des fantasmes aussi flippants.
Et donc ? Qu'est-ce que t'as fait ? :
En troisième année rien. J'ai jamais réussi à penser à quelque chose de drôle. Même maintenant en fait. Je n'arrive pas à savoir ce qui me fait rire.
La forme de mes plus beaux souvenirs :
Une Sirène. Elle est très nette, et très puissante. Je crois que je l'alimente avec ce jour où on a pu s'amuser pour la dernière fois avec Alyssandra, Caïn et moi. C'était le plus beau jour de ma vie. À 21 ans, c'est triste quand-même.
Matière que tu détestes le moins :
Enchantements & Sortilèges de Second Cycle. On dirait pas comme ça, mais ya que la magie pour me sortir la tête de mon espèce de déprime permanente. Enfin, déprime.
Matière détestée de manière viscérale :
Étude des Coopérations Magiques Internationales. Oh j'ai de bonnes notes hein, pas de problème. Mais parmis tout ce qu'il y a de plus barbant dans ma vie, ce cours bats tous les records. C'est d'un ennui, mais d'un ennui ! Qu'est-ce que j'en ai à foutre que le premier ministre ait fait passé un accord de protection de l'environnement en coopération avec les elfes ?
Options :
- Enchantements & Sortilèges de Second Cycle - niveau renforcé (Chasser l'ennui, vite) - Langues Étrangères & Dialectes du Monde Magique (Père m'a un peu forcé) - Histoire & Civilisations des Moldus (Je ne l'ai dis qu'à Caïn. Je crois qu'ils le prendraient mal, chez les McMillan.)
Trois. Nous étions trois êtres qui allons, du début à la fin de notre vie, vivre les plus longue relation de l’existence ensemble. La fraternité, la gémellité. Nous étions trois. Trois enchaînées, le voulant, sans le vouloir, à chercher et éviter nos regard, du jour où nous déchirions les entrailles de notre mère au moment où nous nous enlacions, dans un dernier souffle avant la tombe, d’un amour détruit mais sincère.
Mais ça, c’était sans compter l’Enfer.
« Abel… Regarde-moi… »
Il ne décroche pas un mot ni un regard. Il reste là, un bras sur les traversins pour entourer tes épaules. Les yeux vers la fenêtre où la Lune éclaire comme ne plein jour. Son visage plongée dans la pénombre du rideau de lit aux couleurs de ta maison.
« À quoi tu penses ? »
Il lève son bras de tes épaules et s’installe sous les draps qui semblent s’obstiner à coller à sa peau nue. La tienne à la chair de poule. Il est redevenu silence, ça y est. Tu pensais qu’avec toi ce serait différent, que toi tu pourrais le faire changer, le faire s’ouvrir, un peu, lui toujours dans l’ombre de son frère… Abel, l’ombre silencieuse de Caïn. Et dans son mutisme, il te rejette. Il n’a pas trouvé la vie en toi. Tu t’en va, te sentant bafouée de l’intérieur, et lentement tu te déchire, par son indifférence, son indifférence… La honte te prends, une colère sourde envers toi-même lorsque tu renfiles rageusement tes vêtements. Mais cette colère ne l’atteint pas. Tu fermes la porte alors qu’il continue de fixer le ciel.
Abel est un nom connu de tous. Son visage l’est moins. On connait le visage confondu de Caïn et Abel, blond avec des yeux qui vous transcendent, une nuque qui donne l’idée d’être mordue, des épaules de jeune homme, des lèvres fines… on le connait rieur te plein d’enthousiasme… Mais il faut regarder dans l’ombre de Caïn pour voir ce visage froid et désintéressé de vous. Vous êtes une femme. Vous êtes un homme. Vous connaissez ou faîtes partie des personnes qui ont partagé sa couche. Ont partagé sa fureur entre des draps blancs. Sa douceur infinie, puis cette lente et terrible indifférence qui s’immiscent entre vous après l’amour. Vous le savez. Ce n’était pas de l’amour. Et pourtant vous êtes attiré, indubitablement, par cette lumière froide, par ce regard qui vous constate avec indifférence. Cette passion éteinte que personne n’allume, ne ravive. Ce diamant taillé pour briller dans un coffret de velours. Il contraste avec la couronne d’or, il est noyé dans cet or appelé Caïn.
Caché sous son matelas, des magazines. En couverture toujours une femme blonde ou un grand homme habile de sa guitare et le son magique sans baguette, sans instrument sorciers juste leur talent et l’ivresse. Des 33 tours rangés sous la pile pour se cacher, qui portent les sons et la voix parfois un peu cassée, de sa jolie blonde qui pose presque nue en compagnie de dizaines de moldus.
Ils sont nombreux les gens qui disent qu’ils ont vu Caïn et Abel, certain soir se tenir par la main, assis sur des tables en regardant par la fenêtre. Ils sont nombreux qui croient savoir, qui pensent que les deux frères ne comptent que sur eux-mêmes.
Parce que peu savent que les jumeaux McMillan ont eu un grand frère, et que les frères McMillan ont eu une sœur. Mais Caïn et Abel ne se sont pas entretués, et Seth n’est pas né pour consoler Eve de la mort d’Abel. Seth s’appelait Caleb, et Caleb était l’aîné. C’est cet aîné-là qui a été tué. Ni par Caïn ni par Abel. Caleb est mort en laissant seule la petite sœur.
Caïn a entendu chuchoter son frère avant de se rendre à l’enterrement : « Ce con ».
Même au creux des confortables canapés des Serpentards, même dans la grande salle commune, dans la lumière aquatique, il semble seul. Il ne décroche jamais un sourire, malgré les efforts de ses camarades. Les vieux laissent faire, par respect, les jeunes ont un peu peur d’essayer. Il n’a pourtant pas l’air méchant. Ni même agressif. Il est juste éternellement droit à tout temps et tout égard, raide comme un piquet, parfait futur Mangemagnot. Parfois, dans la froideur des belles lumières du salon, il reste debout face aux vitre, sans rien dire, sans rien faire. Il ne pense jamais à ce qui l’entoure. Il ne vous regarde pas. Vous en connaissez peu, de ceux qui peuvent se vanter d’avoir tenu une vrai conversation avec lui. Abel a peu d’ami. Comme une légère paranoïa. Peur de faire le moindre pas de travers. Un sang-pur solitaire, un pur-sang dont la nervosité est cachée tout au fond de lui. Il n'affiche jamais qu'une latente inquiétude, jamais la moindre trace de lassitude. Sa solitude, jamais rompu que par son frère chez qui il passe la moitié de ses nuits, en faisant ainsi de légères entorses aux règlements. Abel est beau comme la lune, plus proche de vous que toutes étoiles. Mais si seul, si seul.
Le conte biblique ne dit pas qu’Abel jalouse Caïn. Le conte biblique ne dit pas qu’Abel a brûlé de fureur lorsqu’il a compris que sa sœur ne verrait pas Caleb se faire enterrer. Le conte biblique ne dit rien, rien de ce sourd vacarme, qui met à mal le fil d’Ariane qui doit mener Abel à une brillante sortie.
Abel McMillian ne perd ses moyens que quand il t’aime. Et il ne t’aime pas.
Memories
There is three of us. No less.:
Caïn et Abel se tiennent la main, deux garçons courts sur pattes qui tombent plus souvent quand l’autre est absent que quand ils marchent ensemble. Ils marchent. Ils marchent vers Alyssandra, leur sœur, éloignée d’elle un moment auparavant. Ils ne comprennent pas très bien pourquoi Mère l’emmène si souvent loin d’eux, mais ils sont toujours heureux lorsqu’elle réapparait. Ils s’agenouillent et l’embrassent chacun sur une joue, leur petite princesse. Abel est heureux.
Childhood with Caïn.:
Abel et Cain trainent dans le jardin, à se battre comme des enfants. Mère les tire par le col et et ses sermons, comme de serments, leur rappellent que seuls les moldus se battent comme des bêtes, et que tous les conflits, entre bons mage, se règlent avec des baguettes. pas de baguettes, pas de combats, les jumeaux se tirent la langue. Père à sa fenêtre sourit, Caleb les prend dans ses bras, l'un boude l'autre rit, ces trois hommes à venir ne se doutent pas que dans une cage dorée vit une sœur qui les attend, une sœur qui ne comprend.
Caleb s'en ira et la prendra dans ses bras, et les deux gosses recommenceront à faire tourner la tête d'une Mère qui vise la perfection mais qui n'autorise la passion qu'à ses fils.
Alyssandra parfaite dans sa chambre se sent seul, pendant que Caïn et moi nous foutons de ce que les cieux veulent. Main dans la main, notre Princesse, on la laisse étudier, puisque c'est ça qu'elle semble aimer, faisons danser le monde à deux.
Caïn, Caïn, j'ai construit ma vie autour de toi, mon bonheur et ma rage ils ne sont que pour toi. Tu es le seul à connaître la couleur de mon sourire, qui aurait sur que la couleur de mes lèvres deviendraient sur ta bouche un soupire ?
Void.:
Le ciel est d’un bleu ravageur au-dessus de la mer. Les pieds dans le sable, un jeune garçon aux cheveux blonds, s’accroupit et s’assied face à l’image scindée en deux par deux bleus surprenants. Il tremblait un peu. Il se retient de trembler. De gémir. De pleurer.
Il n’y avait rien de grave. Rien d’inhabituel. Rien de douloureux, dans manoir, dans ce jardin, sur cette plage, dans ce ciel. Même pas un orage. Il aimait les orages. Il aimait quand le ciel et la terre étaient couverts de flou, brouillés jusqu’à se confondre. Il préférait cette confusion cotonneuse à la clarté du monde nu et vide, dans toute sa splendeur. Il n’aurait jamais les mots pour le décrire.
Sa mélancolie quand, jusqu’à cette angoisse viscérale… D’où la tenait-il ?
Dans ce moment de solitude, il se recroquevilla plus sur lui-même, les yeux rivé sur l’horizon qui lui faisait l’effet d’un grand vide. Mère n’avait pas spécialement aimé sa peinture. C’est vrai que ça ne représentait rien. Mais il l’avait trouvé jolie. Les couleurs et les lignes courbes et élancées, qu’il aurait voulu voir dans une sculpture de verre coloré si cela avait été possible… Ce qu’il ressentait lorsqu’il voyait sa mère, si belle et fière à ses yeux, resplendissante de droiture, l’élévation qu’on ressentait quand on la regardait… Quand il la voyait, du bas de son mètre vingt de haut.
C’était parce que c’était sa mère ? C’était parce qu’il était encore petit ?
Il n’avait pas osé lui dire, ce que c’était, cette peinture pour lui. Il n’avait pas osé la comparer à cette toile. C’était tellement peu, par rapport à tout ce qu’il pouvait ressentir à propos d’elle… Et surtout, ce n’était pas un portrait, bien peint. C’était à peine une impression.
Le vent souffle, souffle encore. Abel se sent oppressé par le vide, l’écart vaste entre le ciel et la Terre. Le sable n’est pas chaud. Père avait vu la peinture, il l’avait posé derrière son bureau. Il lui avait juste caressé les cheveux, en souriant tendrement, sans l’appeler par son nom.
Parce qu’il ne sait pas faire la différence entre Caïn et moi ?
Il le voulait, il voulait tellement que ses parents soient simplement des gens dignes, qui ne pensent pas nécessaire de gâter leurs enfants de félicitations. Qui connaissait mieux l’avenir qu’eux, qui souhaitaient sincèrement leur bonheur. Il souhaitait que tous les choix qui aujourd’hui leur faisaient mal fussent les meilleurs pour leur avenir à tous les trois, à tous les quatre. Ce devait être une autre manière d’aimer que celles des familles dans le village à côté. Où les parents amenaient les enfants à la plage, les couvraient de câlins et chantaient avec eux.
Si Seulement je croyais un peu plus en eux…. Si je seulement je pouvais simplement leur faire confiance… Et juste admettre qu’ils m’aiment… Qu’ils nous aiment.
Le vide devient une nausée. Derrière il entend la voix de son frère. Il se relève et s’enfuit, de ce paysage trop grand pour lui. Caïn. Caïn pouvait le sauver du vide. Caïn était les meilleurs de ce qu’ils étaient à deux. Caïn était cette partie manquante de lui-même. Caïn était celui au creux de qui tout allait bien.
Au moins une fois.:
On fait la course dans le jardin, on danse on rit, de tout de rien, on tourne on tourne, on tourne on tourne, les enfants à trois n’ont besoin de rien. Ça fait si longtemps, on te croyait bien enfermée dans une tour au loin, rattrapons donc le temps perdu, pleurons de rire, on en peut plus. On en peut plus de tes yeux vides lorsque tu joues du piano pour Mère, voir ton petit cœur qui se brise à vouloir bien faire… Une fille à la mer… Tu nous manques tant, aller rien qu’une fois, courrons, courrons, courrons jusqu’à ce que le vent fasse s’écraser les nuages sur le soleil doré. On se met à chanter à tue-tête, tu te fiche de nos voix, on se fiche de ta robe, de tes cheveux en bouclettes. On ne voit plus le temps passer, si seulement il pouvait s’arrêter… Le temps d’ancrer… En ton cœur la certitude que l’on t’aime à la l’infinitude, qu’on en a marre de cette solitude à deux. Toi notre chair, toi notre sang, oublions, oublions, rien qu’un instant, que y’a les adultes et les Grands, et que les Grands sont nos parents. On nous vole déjà notre enfance, alors pourquoi cette déchéance, arrête de pleurer à l’intérieur, viens dans nos bras que la pâleur De ta peau Ne soit plus un signe De creuse version du beau. Alyssandra, viens dans nos bras, avant qu’ils nous rattrapent encore, que nous redevenions des fils, et toi une future mère ; chassons l’Aurore Loin de nous. Juste un jour une seconde de plus, te voir sourire quitte à devant notre Mère pâlir, on ne regrette rien. On ne regrette rien. En tout cas moi Abel, je ne regrette rien.
Please Touch me.:
Abel s’approche de son frère. Pose sa main sur la sienne. Caïn n’a rien à voir avec une image dans le miroir. Caïn est différent de lui, en beaucoup de sens. Il est plus souvent souriant, plus souvent en colère. Moins hypocrite, plus sincère. Abel s’assoit à ses côté et pose sa tête sur son épaule. Si seulement lui, lui ne partait jamais, si seulement ils restaient toujours ensemble… Il ne se sentirait jamais seul. Comment pourrait-il seulement partir, ou disparaître de sa vie comme Alyssandra disparaissait peu à peu ? Concevoir la vie sans Caïn lui était insupportable. Les gens appartiennent aux autres. Ils appartenaient à leur mère. Pourquoi Caïn ne lui appartiendrait-il pas ? « Caïn … Tu restes avec moi. » Mon front se colle au tiens. Silencieusement je menace, d’une fureur froide. « Tu es avec moi Caïn, pas vrai ? » Mes lèvres de collent à ta joue et je chuchote à ton oreille : « Il n’y a que nous pour nous comprendre… »
Abel se souvient de sa mère qui est arrivé et les a tiré l’un loin de l’autre, et les a giflé très fort. Elle tremblait, indignée, presque en larme. Abel n’a pas complètement compris pourquoi. Il n’avait que neuf ans.
Faded miror:
« Tu veux aller à Drumstang ? » Abel continue d’écrire. Apprendre cette langue le passionnait, mais l’idée d’entrer dans cette école lui filait le cafard. Et pas seulement à cause du climat réputé glacial. Ni même à cause de la dureté des enseignements pratiqués. « Je ne veux pas être comparé à Caleb. » Je déteste notre frère. Sans raison. Enfin si, une. « Et si on demandait à Alyssandra de venir avec nous à Poudlard ou à Beauxbâtons ? » Abel laisse tomber sa plume et bouche son pot d’encre. « Elle aime Caleb. Elle voudra le suivre. Elle l’aime mieux que nous. Je ne veux pas l’entendre nous le dire. »
Dernier espoir des McMillan.:
Ce que je veux vraiment ? Oui, ce que tu veux vraiment. Tu auras beau te forcer, tu te sentiras jamais à ta place parmi les Serpentard ; tu ne veux pas devenir important, tu ne veux pas faire partie es grand. Je le lis dans ton esprit, tu rêves parfois que ton corps agissent tout seul pendant que ton esprit dort, pour que tes parents soient fiers d’avoir un fils premier ministre. La veine des Gryffondor t’échappe complétement, et je ne pense pas que tu aies assez de curiosité pour ne pas finir par mépriser les Serdaigles… Non… Non, ce dont tu as besoin, mon trouble petit Abel, c’est de sécurité. Tu ne sais pas ce que tu veux, tu sais simplement ce que tu ne veux pas. Je vais donc t’envoyer dans un endroit qui te protègera de tout, tout ce qui te fais peur. Fais-moi confiance petit. Fais-moi confiance. Poufsouffle t’irait si bien. Non. J'irai à Serpentard. Les McMillan ont besoin d'un homme à Serpentard. Je prouverai à mon père que je suis un homme. Je ferrai aussi bien que Caleb. Je ferrai mieux que lui. Alyssandra me félicitera, et Caïn sera libre. Oui, je veux que Caïn soit libre. J'apprendrai à aimer le pouvoir. J'apprendrai à être fier de mon nom et de mon sang. J'apprendrai à me battre pour ma famille. Pour Caïn et Alyssandra. Pour Caïn et Alyssandra. Parions alors... Oui... Tu devras faire de grandes choses, Abel McMillan. De grandes choses... « Serpentard ! » Abel resta inexpressif. Il regarda son frère avec des yeux éteints. Du haut de ses dix ans, il enferma toutes ses émotions. Il se leva comme un mort et s’assit à la grande table des Serpents, qui l’accueillirent avec une chaleur qu’il ne compris pas. Il les remercia poliment d’un signe de tête mais garda le silence. Il aperçu ses cousines lui faire des signes et le féliciter. Pendant toute la cérémonie, il s’effaça pour ne diriger ses yeux que vers son frère, qui de son côté brillait déjà en société, sur la table rouge et or. C'était le mieux à faire. Caïn serait grand à sa manière. Caïn serait libre, et il serait heureux. C'était pour le mieux, pas vrai ? Et avant de rejoindre son dortoir, Abel s’est précipité sur son frère pour lui tenir la main quelques secondes, avant d’être séparés, définitivement, pour une des premières nuits de sa vie, de lui. Puis la masse l’emmène dans les sous-sols, dans les couloirs qui mènent aux cachots. Le préfet explique quelque chose en avançant, mais Abel n’écoute rien. Et lorsque s'ouvrent les grilles derrière une porte secrète, ses cheveux se dressent sur sa tête. Comment allait-il ressortir de cet endroit qui lui paraissait déjà être une prison ? Son visage reste crispé dans une neutralité comique alors qu’il répète le mot de passe, son préfet le pousse à l’intérieur. Il reste quelques secondes à regarder la pièce, même quand on le relève pour laisser les autres Serpentards entrer. La pièce est grande, le décor d'un luxe et d'un goût semblable à ceux de ses parents, avec des tableaux et des tapisseries d'anciens élèves glorieux, un mobilier agrémentés de pièces de navire. Mais ce n'est pas la première chose qu'il vit. La lumière du soir perce à travers de grandes fenêtres, après avoir été filtrée par l'eau. Ils étaient sous le lac. Un grand calamar et des petits poissons frétillants leur souhaitaient la bienvenue. La pièce est remplies de soieries vertes et argentées. Les canapés sont grands, il y a des bureaux finement décorés, et un coin plongé dans la pénombre à côté de la cheminée. Il se mord discrètement la lèvre. Il explore sa nouvelle maison, pour certainement les dix années à venir. Le préfet vient vers lui avec un grand sourire. « Ça te plait, McMillan ? Tes cousines attendaient un mâle de ta famille depuis un moment, elles ont presque eu la frousse en voyant ton jumeaux partir chez les Gryffons ! » Abel n’affiche aucune expression en regardant autour de lui, en voyant les nouveaux élèves si bien accueillis par les ainés, comme s'il faisane tous partie d'une grande famille. Il ne répond qu’une chose. « I feel Safe. » Je me sens protégé, même si Caïn n’est pas avec moi. Cet endroit ne ressemble pas tout à fait à chez nous. Mais c’est peut-être mieux. Sans doute.
Sees-Hell:
« Aly ! »
J’ai pris ta main, dans le jardin et je t’ai dit « Je peux ramasser plus de coquillage que toi ! Et des plus beaux ! » Au fond de ma poche, il y a des pierres et des morceaux de verre que j’ai taillés avec ma baguette, pour qu’ils aient une jolie forme qui irait bien sur son cou. Je voulais juste te faire croire que j’étais aussi cool, aussi fort et aussi doué que nos frères. J’en avais assez de voir Caleb attirer ton regard par son excellence, par son sourire, assez de voir Caïn devenir quelqu’un de plus ouvert, plus appréciable que je ne l’étais. Ils étaient tous les deux solaires, et toi tu rayonnais. J’étais la seule pierre morte qui ne brillait jamais. J’étais ton frère jumeau, nous étions les triplés de la maison, mais quand je vous regardais tous les trois, j’avais l’impression d’être de trop. Alors ce jour-là, j’ai voulu tricher un peu. Te faire croire que je trouverai pour toi tous les plus beau trésor, juste si tu me le demandais.
Alors on est parti chacun de notre côté, et j’ai remplis mon sceau de coquillage avec frénésie. Je déposais parmi eux mes précieux cadeaux. Une vague a grondé et a claqué sur le sol, mais je ne craignais rien. Ce n’est qu’un instant après, quand j’ai entendu ta voix venant de la mer, que j’ai compris.
J’ai tourné mon regard vers la mer, et je t’ai vue au milieu des eaux, t’agitant impuissante. Tu te noyais.
Moi non plus, je ne savais pas nager. Et la mer m’a toujours fait peur, combien-même je la regardais tous les jours, du jardin ou des fenêtres de la maison. Ce monstre gigantesque était sur le point de t’avaler, et moi j’avais si peur, si peur et si conscience qu’en cette seconde-même, soudain, tu pouvais mourir, disparaître, les poumons remplis d’eau, qu’il ne resterait que ton cadavre sur la rive et que toi, Alyssandra, tu n’existerais plus, que je suis resté tétanisé devant le spectacle, en ce qui me semblait une éternelle secondes, puis deux, puis trois.
Je suis resté là, à te regarder. Je n’ai pas appelé à l’aide.
J’ai vu une ombre passer à mes côté, et notre père plonger au cœur du monstre. Il t’a attrapé, et t’as ramené sur la rive, et je t’ai vu cracher de l’eau sur la plage en pleurant autant de larme qu’il y avait d’eau dans l’océan, tremblante.
Je me suis retrouvée dans ma chambre, sans trop savoir comment, en pleur. En pleurs silencieux. J’ai réalisé que j’avais laissé les pendentifs sur la plage, mais je n’osais pas y retourner. J’avais peur de te retrouver.
Je me suis haïs, tellement fort, et je me hais encore.
Faster.:
Quatrième année à Poudlard. Lors d’un entrainement, on auditionne des remplaçants titulaires de l’équipe de Quidditch. Abel regarde son frère dans les tribunes, toujours sans expression. « Abel McMillan... Eh bien, quel poste voudrais-tu occuper ? -Je ne sais pas. » Le capitaine tire une tête horrible. Mais Abel ne le regarde toujours pas. « Et bien on va voir ce que tu sais faire, et on décidera après, si tu as de quoi. » Abel hoche docilement la tête. Après quelques minutes d’échauffements avec toute l’équipe et les candidats, le test commence. Les membres titulaires semblent satisfaits du résultat, quand vient Abel. Certains d’entre eux haussent les épaules en le voyant s’avancer, pendant que le capitaine signifie clairement avec ses yeux qu’il n’aime pas la nonchalance du jeune homme. Abel n’y prête pas attention. Il monte sur son balai et se soulève tranquillement. On lui présente les balles, et son regard s’attarde sur la grosse perle d’or. Il ne sourit pas, mais son visage semble un peu plus chaleureux que les secondes précédentes. Il la désigne de sa main gantée de cuir épais, et toute l’équipe hausse les sourcils. La jeune fille qui tient la boite prend le vif d’or dans sa main et ouvre la paume. Le Vif déploie ses ailes comme pour se réveiller, puis soudain agite ses ailes aussi vite que celles d’un moustique, et part au quart de tour. Abel est déjà parti avec. La seule différence, c’est qu’il soulève bien plus de poussière que la petite boule d’or ciselé. On aurait juré entendre un cri de joie dans le ciel. Comme si faire la course avec le vif d’or était la chose la plus merveilleuse qu’ai pu faire Abel dans toute sa vie. Il avait déjà volé vite, mais jamais contre quelqu’un. Ni contre quelque chose. Ce n’était pas ennuyeux d’aller vite pour aller vite. C’est juste qu’il y avait un moment qu’il ne l’avait fait pour avancer, et non fuir. Ce jour-là, Il n’a pas attrapé le Vif d’Or. C’est l’attrapeur titulaire qui l’avait fait. Mais qu’importe. Il est sorti de l’entraînement avec le même visage impassible. Ce n’est qu’en rejoignant Caïn qu’il a posé son front sur son épaule. Il respirait comme s’il pleurait. Mais il souriait enfin. « Je t’ai oublié, un peu. »
La première fois et toutes celles d'après.:
« Abel… C’était pas bien ? » Il reste sur le dos. Elle était mignonne cette fille. Il ne pouvait pas s’empêcher de toujours la regarder, d’essayer de la toucher. Mais maintenant que c’était fait, elle lui semblait une lointaine sculpture froide. « Si. T’en fais pas. C’était très bien, merci. » Elle rougit un peu en ramenant les draps sur elle. « C’était… Tu sais… la première fois… » Pour lui aussi. Mais il ne lui dirait pas. Comme il ne dirait jamais à personne qu’en la serrant contre lui, il avait imaginé à la fois le visage de son frère et celui de Alyssandra « Hell » McMillan, la fille en papier glacé cachée en quelques exemplaires entre son matelas et les lattes de son lit. Qu’il avait dans la tête, tout du long, un morceau joué par Caleb et chanté par cette même gravure de mode moldue. Elle n’avait pas besoin de savoir, cette petite sang-mêlée rougissante, qu’il ne l’aimait pas du tout. Elle était simplement mignonne. Il l’avait voulu, il l’avait prise. C’était simple. Trop simple. Il fallait qu’elle retourne dans son dortoir. Elle chuchota, mal-à-l’aise : « Merci. » Merci de quoi ? De t’avoir fait découvrir de nouveaux horizon, d’avoir salit ton corps et peut-être ton nom, d’avoir fait semblant de t’aimer ? « Merci à toi. Allez files, tu vas te faire attraper. » Et elle s’en va en m’embrassant la joue. Des jours passent. Plusieurs. La première fille est devenue une mangeuse d’homme. Les suivantes ont fait passer le temps. Quelques garçons parfois. C’était un peu étrange, avec le premier. D’aller plus loin que les baisers. Et puis ça s’est fait. Et ça s’est refait. Avec pleins de gens, pleins d’inconnus, pleins d’amis. De temps en temps pour éloigner les gens de Caïn. De temps en temps parce qu’on s’ennuie. Il n’appartenait à personne. Mais Caïn était trop solaire pour qu’il soit le seul à qui il veuille appartenir. Garder Caïn près de lui. Salir les salopes qui lui tournaient autour et ne savaient même pas faire la différence entre eux deux. Salir ces mecs qui pensaient aimer Caïn. De loin protéger son seul véritable amour, le reflet de lui-même… le seul qui pouvait l’aimer à sa juste valeur… Caïn. Caïn. Caïn.
Burrying a brother and love the other one opon his grave.:
C’est surréaliste. Tout ce monde, en noir pour Caleb. Je ne sais même pas comment nous avons fait pour parvenir jusqu’à la cérémonie. Tu es comme rarement fermé sur-toi-même, et mon visage aurait l’air serein s’il n’était pas si pâle. Caïn, je sais bien que ce n’est pas pareil pour toi. Je sais bien que tu as admiré Caleb comme un modèle presqu’autant qu’Aly. Je sais bien que malgré nos corps d’adulte, on est tous les trois des bébés qui appellent le frangin à l’aide quand on sent qu’il n’est plus là. Juste en espérant qu’il se ramène tout de suite.
Mais quand on arrive devant le cercueil ouvert et son corps tout propre dans un costume qu’il n’aurait jamais porté, on est certain qu’il ne reviendra pas. Je me tourne vers toi. Tes yeux sont ouverts comme si on venait de te poignarder. Je vois une larme couler. Je prends ta main dans la mienne. J’avance pour deux. Je ne dis rien. Je suis devant mon frère mort.
Cet homme, là, c’était mon frère. C’est mon frère.
Il y a quelque chose que je n’arrive pas à rendre réel. Et je ne crois pas que ce soit la même chose que toi. Et tandis que je garde le souvenir de ta larme pour moi seul, je constate ma propre indifférence en déposant un baiser sur son cadavre, et te laisse le temps.
Avec notre oncle et notre père, on a porté le cercueil jusqu’au trou qui allait lui servir de dernière demeure. Comme dans les films clichés, il commence à pleuvoir. En déposant la boîte avant de la descendre en terre, je regarde la foule. Je vois notre mère, en pleurs, mais surtout et pardessus tout en colère. Des cousines, des amis de la famille. Pas un seul ami de Caleb.
Pas d’Alyssandra.
Je serre les dents. J’endure. Mais je pense à elle, je pense à ces foutues photos de son visage dévasté par la douleur que laisse son absence. C’est avec une pointe de rage, que je dirige mon regard vers toi, vérifiant que tu supportes. Tu serres les dents toi aussi. C’est une thérapie, pour Père, de descendre cette putain de boîte au fond du trou. Pour toi peut-être aussi. Mais ça ne me semble pas lourd. C’est juste le poids du bois, des draps et d’un cadavre.
Tout le monde attrape des fleurs pour pouvoir les jeter une par une sur son cercueil. Je trouve ça long. Trop long. Je vois bien que ça te vide. Je vois bien que plus ça s’allonge, plus tu es sur le point de t’éteindre. Quand vient notre tour, je peux pas me décider à lancer cette putain de fleur avant d’en bousiller la tige des bouts des doigts, comme si ça pouvait m’aider à lui tordre le cou dans l’au-delà.
« Quel con. »
Tu m’as entendu, certainement. Mais je ne retirerai pas mes mots. Je lui avais confiée notre Alyssandra, et il a réussi à prendre sa retraite en avance. À cause de lui, tu allais subir ce dont il nous avait plus ou moins protégé par sa simple existence ; exister pour les McMillan plutôt que pour nous-même. J’avais toujours fais ça. Mais toi, mais toi…
On est rentré. Je me souviens plus trop ce qu’a dit mère, mais je t’ai senti bouillir à mes côtés avant de hurler une rage que je n’avais jamais entendue. Je suis resté là à vous regarder, les parents et toi, vous disputer, sans vraiment comprendre. Puis au bout d’un moment, j’ai serré les dents et j’ai pris ton bras pour t’emmener loin d’eux. Une fois à l’étage dans la chambre, je crois que tu m’as baffé, je crois que tu m’as vaguement dit que j’étais qu’un lâche, à accepter tout ce qu’ils voulaient faire de nous. Je t’ai juste pris dans mes bras et j’ai serré fort, très fort, et tu t’es débattu en me disant d’aller me faire foutre. Tu m’as dit que j’étais qu’un sale con, tu m’as dit que tu me détestais.
Ça m’a fait mal au point que j’ai eu envie de pleurer, mais j’ai juste dit oui en serrant tes poignets. Tu m’as mis une droite, tu m’as encore traité de con. J’ai encaissé. J’ai répondu. J’ai été lâche. J’ai été sage. Pour deux. Et je le serai toujours, Caïn. J’ai dit que c’était toi le con. Je t’ai dit que je détestais tout en toi. Je t’ai dit, pour la première fois depuis 21 putains d’année, à quel point j’ai toujours haïs ta manière de ne te battre que pour ce qui t’arrange, de laisser tomber dès que ça t’ennuyait, de tout le temps faire le beau mec qui apprécie tout le monde et qu’en a rien à foutre de rien ni personne. On s’est jeté à la gueule tout ce qu’on trouvait misérable chez l’autre, tout ce qu’on jalousait de l’autre. Tu m’as frappé. Beaucoup ? Je sais pas. Pour de vrai en tout cas. Je te l’ai rendu. On a fini dans un état impossible. Et je sais pas le quel de nous deux a avoué le premier ce qui nous déchirait pardessus tout, mais on a fini nu l’un sur l’autre dans les draps, à s’aimer avec une violence inouïe, dans le plus grand des secrets. On a fini peau contre peau à se maudire l’un et l’autre, à maudire d’avoir été séparé avant même notre naissance, incomplets, à tenter de se compléter, à y échouer, à être frustrés. Une folie nous a enivrés.
Cette nuit-là, je sais plus si j’ai pleuré parce que j’avais couché avec mon frère ou parce que je savais qu’on s’aimait. Pas trop non plus si le fait que mon corps était totalement foutu a joué un rôle.
Par contre je sais que j’ai pas pleuré pour Caleb.
Here she comes.:
Nous sommes rentrés à la maison, pas elle. Pas lui. Juste Caïn et moi. J'ai regardé ma moto avec des yeux vides, et je suis revenue à cette plage qui me vide de toute pensée et de toute sécurité depuis l'enfance, à chaque fois. Le ciel est toujours si bleu, la mer toujours aussi profondément infinie. Le sable est toujours froid malgré ce jour de beau temps, peut-être le seul de ce mois, cet été.
Les pieds dans le sable, je tremble. Elle revient. Après dix ans, que vais-je lui dire ? Caïn trouvera certainement un moyen de s’entendre avec elle. De remettre à plat les choses pour qu’à nouveau ils soient frère et sœur. Mais moi ? Je n’ai ni rêve, ni ambition, ni talent à lui montrer. Je suis doué sans être assez bon pour faire oublier ce que je suis : un être seul, accroché à la peau des autres, accroché à Caïn, de toutes mes forces, pour ne pas m’effondrer. À parler pour mon clan, sans en croire un mot. Je n’ai pas envie de croire, en rien ni personne, je suis juste un oiseau effrayé, par nos parents, par ce monde… Par Caïn et par toi.
Quand tu arrives, mon masque se brise, et elle est visible, la fissure, la solitude, le creux de mon être. Si seulement tu n’étais jamais revenue, j’aurais pu continuer à faire semblant…. À faire semblant…
Derrière l'écran
Prénom ou surnom :
Roro, Lulu, redmarian, diamanrouge et bla bla bla bis.
Age :
Le même que la fin de la série !
Région :
FROGGIES EN APPROCHE !
Sexe :
Wait for it... Nope.
Comment as-tu découvert Ascensio ?
Tout est la faute de Prince des Ténèbres (alias Mau) et Anna-bête-au-lit, alors attendez-nous !
Qu'en penses-tu ?
Vivant, intéressant, cette clôture de première saison donne envie de passer à la suite !
Autres chose ?
On va faire crâmer l'école ! À force de diffuser la chaleur humaine, bien sûr...
Code du règlement :
2 Potty Pottams sur leurs nimbus 2000, un peu dépassé comme modèle, non ?
Dernière édition par Abel T. McMillan le Lun 8 Sep - 17:59, édité 9 fois
Hell A. McMillan
Gryffondor
Messages : 178 Galions : 380 Âge : 21 ans Classe : L3 - Art de la Magie Avatar : Bryden Jenkins
Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Mar 8 Juil - 22:31
(Re)bienvenue.
Abel T. McMillan
Serpentard
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Mar 8 Juil - 22:55
Hou petit cousin !!! Je veux un lien ♥ Merci :)
Fiche encore en constructions pour certains détails, je ne serait validable que le 16 de toute manière alors...
Vraiment hâte de faire pleins de rps avec vous les gens ^^-
Invité
Invité
Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Jeu 10 Juil - 9:54
Avec plaisir pour le lien
Julian T. Lewinski
Sorcier
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Lun 14 Juil - 14:10
Bienvenue parmi nous
Abel T. McMillan
Serpentard
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Lun 14 Juil - 18:41
Merci beaucoup ^^-
Dans deux jour, ce sera tout propre. Plus de UC, plus de petits passages vides. Certains textes ont déjà évolué depuis que j'ai commencé la fiche, donc n'hésiter pas à revoir les petits souvenirs d'Abel si ça vous chante, une fois terminée ^^
Joyeux 14 juillet pour ceux qui habitent dans le futur ! (en France quoi. Parce que Canada+6 heures= France et ça marche pas pour la Belgique mince , c'est quand vos fêtes nationales à vous ? =w=") Feux d'artifiiiiiices !
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Mer 16 Juil - 17:08
"J'arrive!"
-Cain, ton frère adoré.
Abel T. McMillan
Serpentard
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Mer 16 Juil - 20:51
Yeaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ♥ Traine pas frangin :p
J'en profite pour dire qu'aujourd'hui, tout est bon ! Toutes les histoires sont complétées et les points sont rassemblés ^^ Je m'en remets à vous !
Serena B. Pendragon
Serpentard
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Sam 19 Juil - 14:51
L'histoire est niquel Et les McMillan vont conquérir le monde à cette allure là Re-bienvenue parmi nous jolie bouille <3
Bienvenue sur ASCENSIO !
Tu es validé(e) !
Te voilà maintenant validé ! Un rang t'as été attribué selon tes informations. Si tu es un élève est donc membre de l'une des maisons de Poudlard, tu peux tout de suite te rendre dans la zone Sablier et poster un petit message dans le topic de la maison, afin de faciliter le comptage des points !
Tu peux donc désormais commencer à jouer. Pour ce faire c'est très simple, tu peux envoyer des MPs aux membres, ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus amples connaissance avec les membres, n'oublie pas d'aller faire ta fiche de liens, ainsi que ton répertoire de topics ! Tu pourras aussi rejoindre des clubs, ils sont importants pour l'intrigue du forum et te permettront peut-être de te trouver des liens plus facilement ! Pour toutes informations supplémentaires, nous te conseillons de jeter un œil à la partie vie scolaire qui regroupent toutes les informations importantes à savoir ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas, le staff est là pour ça !
Toute l'équipe d'Ascensio te souhaite un excellent jeu !
Euphemia A. Grave
Serdaigle
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.] Sam 19 Juil - 18:21
MERCIIIIII ♥
Je vous aimes les gens *___*
*Se change en Abel* *Roule une pelle à Serena (l'admin, pas le personnage, sinon on est mal barré)*
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Sujet: Re: Abel T. Mc Millan [Their happiness above mine.]