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 Le prix de l'insolence [Audric Saddler & Serena Bogart]

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Serena B. Pendragon
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MessageSujet: Le prix de l'insolence [Audric Saddler & Serena Bogart]   Le prix de l'insolence [Audric Saddler & Serena Bogart] EmptySam 4 Jan - 16:08


Le prix de l'insolence


Beata Maria, You know I'm so much purer than the common, vulgar, weak, licentious crowd. Then tell me, Maria, why I see her dancing there ? Why her smold'ring eyes still scorch my soul ? It's not my fault. I'm not to blame, but this burning desire is turning me to sin


____________________________________________________________



Le soir avait laissé place à la nuit. Dans les couloirs désormais vide du château, elle se trouvait là, sa silhouette recroquevillée dans les draperies de sa robe de satin aux couleurs froides, reposant contre la pierre d’un petit coin sombre, les yeux encore humides de toutes les larmes qu’elle avait versé et l’esprit plus embrumé que jamais. Cette soirée qui s’était annoncée comme merveilleuse lui semblait à cet instant précis la plus longue de toute son existence, et pour cause. Elle avait commencé de bien belle façon, au milieu des froissements de tissus des danseurs présents au bal. S’était poursuivie dans les pas de l’homme auquel elle tenait le plus au monde et qui s’était fait le plaisir de la conduire ce soir.  Et puis, il y avait vu les menaces discrètement sous-entendus de celui la tenant sous sa coupe, s’adressant non seulement à elle mais également à son cavalier. A ce cavalier héritier d’une grande famille de sang-pur qu’elle avait tant souhaité tenir écarté de la menace. Et puis la soirée s’était achevée. Elle avait quitté la chaleur de l’étreinte du Poufsouffle et s’était apprêtée à rejoindre elle-même le lieu du repos quand une autre silhouette agaçante s’était dessinée à ses yeux. Celle de son premier amour qui n’en était plus un, et qui s’était emmuré dans la provocation tout au long du bal et depuis trop longtemps désormais. Elle avait voulu lui faire face. Avait souhaité lui faire savoir quelle colère l’habitait face à un tel comportement. Mais un mot en amenant un autre, leurs pensées s’étaient exprimées, pour l’un comme pour l’autre, de façon violente et abusive. Et au bout du compte qu’avait-elle trouvé ? Plus de peine et de profonde tristesse que de satisfaction. Elle l’avait quitté, encore une fois, et avait profité de l’absence de vie dans le château se découvrant de ses couples enlacés pour gagner cette cachette improvisée dans les couloirs menant aux cachots où elle avait enfin laissé libre court à l’expression de son mal-être.

Comment tout cela avait-il pu arriver le même soir ? L’affolante course des évènements l’avait considérablement épuisée. C’était à peine croyable et elle était lasse. Lasse de tous ces conflits, de toute cette peur. A l’heure où ses idées les plus sombres lui revenaient il lui semblait certainement que cela serait plus facile de redevenir cette enfant auréolée de ténèbres qu’elle avait été en arrivant à Poudlard. Pire, qu’il suffirait simplement de refuser son aide à celui tenant son existence entre ses mains pour que vienne la délivrance. Car enfin, pouvait-elle vraiment considérer que sa vie en était-une ? A mesure que passait le temps, la née Bogart en doutait, tiraillée entre celle qu’elle voulait être, celle qu’elle était et son rôle de petite princesse qu’elle jouait avec brio depuis trop longtemps maintenant. C’est avec une certaine amertume qu’elle en vint à se souvenir de sa dernière altercation avec Eugenia Bogart. Sa propre cousine.  Elle si douce, elle si calme et réservée avait déversé sa colère sur elle. Sa petite mascarade n’amuserait personne une fois dévoilée, et même les sangs-purs dont elle servait indirectement le règne ne la remercieraient pas pour ses frasques. Plus que jamais et comme toujours, elle était un outil vulgaire dont on usait sans aucune considération, sans aucun respect. Serena Bogart n’était aux yeux du monde, excepté peut-être ceux de Guillem et Ophélia, qu’une femme méprisable et qui en venait à se mépriser elle-même. Si Serena Pendragon jouissait d’une popularité sans faille, elle n’était cependant que factice. Fausse. Irréelle. Et cette réalité était tout bonnement en train de la détruire. Il arriverait forcément ce jour où tout ce qu’elle construisait serait détruit, alors pourquoi continuer ? A quoi bon se mutiler ainsi l’existence ? Peut-être pourrait-elle rejoindre officiellement le camp qui était le sien. Celui dans lequel se trouvait déjà Mikaela Von Rosen et Simon Thornquill, en compagnie d’Audric Saddler. Oui, sa place devrait être auprès des enfants de sang-purs tentant de ramener leurs familles au pouvoir et te redorer leurs noms. Les Bogart avaient tellement besoin de ça eux aussi. Mais bien loin des plans sanguinaires qu’elle avait fondés dans son enfance, aujourd’hui Serena n’aspirait plus qu’à une chose. La liberté. Pas seulement celle de son père qui était la racine même de ce qu’elle était devenue, mais également la sienne. La jeune femme aspirait à un monde dans lequel elle ne devrait rien à personne, ne serait l’esclave de personne. Un monde dans lequel elle ne mentirait que parce qu’elle le désirerait et non par obligation. Un monde dans lequel elle pourrait porter fièrement son nom sans avoir à craindre le courroux de ceux l’entourant. Quel était le prix à payer pour toucher une pareille existence ? Aurait-elle seulement les moyens de se l’offrir un jour ? N’avait-elle pas déjà suffisamment patienté ? Cette ribambelle de questions sans réponses eut au moins l’avantage de chasser les derniers pendants de sa mélancolie et c’est donc un léger sourire mal assorti aux poches de ses yeux que la jeune femme se releva enfin. Les cachots étaient encore un peu loin, qu’importe. Elle ferait le chemin en se tenant droite, en ne sillant pas.

Elle avait été idiote de se laisser aller de la sorte, pauvre gamine immature qu’elle était. Il était évident que le chemin serait abrupt mais c’était là la seule route qu’elle pouvait prendre. Et si le nom des Bogart lui tenait tant à cœur, alors elle devrait s’en montrer fière et ne pas le salir en se montrant si faible. Doucement, par petite touche, elle finirait par avoir raison de Saddler. Ne jurait-elle pas à tout bout de champs qu’elle rêvait de devenir ministre de la magie après tout ? Qu’importe la façon dont elle s’y prendrait, elle ferait savamment payer à son bourreau le poids de tout ce qu’elle subissait aujourd’hui. Elle tracerait alors elle-même sa propre voie, et qu’importe si cette dernière ne plaisait qu’à elle. Viendrait le jour où cette douleur lui apparaitrait comme futile. Peut-être même en rirait-elle de bon cœur. Sa vie ne faisait que commençer et elle la construirait de telle façon que les malheurs du présents deviendraient ses forces de demain. Conquérante, c’est l’esprit redressé qu’elle tourna en direction d’un second couloir, sans même voir ni sentir l’ombre se dessinant derrière elle.        







Passe les minutes.






De toutes ses belles pensées ne restent plus rien. Une voix s’est faite entendre sans qu’elle ne puisse la reconnaître. La seconde suivante, ses yeux ne voient plus que du noir, ses lèvres s’entrouvrent à gorge déployée sans qu’aucun son n’en sorte. Pas même celui de ses cris de douleur. Car cette dernière n’a jamais été si intense, si palpable. Si physique. Une masse s’en vient cogner son visage, un poids s’empare de sa liberté de mouvement et voilà le goût métallique du sang qui vient lui teinter lentement la langue. Et quand une poigne ferme et sans appel lui découvre le bras, elle a beau se débattre au point d’en sentir les pans de sa robe se déchirer sous ses jambes, elle sait ce qui va arriver. Elle ne se relèvera pas de ce sol dur et froid supportant son agonie. Alors ses larmes si adroitement ravalée redoublent d’intensité. Sa voix qu’elle n’entendait plus passe des cris de terreur aux supplications désespérée de la victime perdue et affolée. Pauvre animal, gentille proie que l’on tort, que l’on tourmente et que l’on croque sans aucune considération. Pauvre Serena qui n’a pas été assez sage, la voilà bien dressée.  Et elle hurle. Et elle cri. Et elle pleure. Mais rien ne peut arrêter la force qui la soumet à ce traitement. Il ou elle, qui qu’il soit, quoi que ce fut, ne s’arrêtera pas.




Tu ne seras plus jamais si insolente jolie Serena, jolie martyre.
A présent tu es punie.




   

© charney

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MessageSujet: Re: Le prix de l'insolence [Audric Saddler & Serena Bogart]   Le prix de l'insolence [Audric Saddler & Serena Bogart] EmptyMar 21 Jan - 13:56


Le prix de l'insolence


Beata Maria, You know I'm so much purer than the common, vulgar, weak, licentious crowd. Then tell me, Maria, why I see her dancing there ? Why her smold'ring eyes still scorch my soul ? It's not my fault. I'm not to blame, but this burning desire is turning me to sin


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Noir. Noir d'encre. Noir de jais. Noir corbeau. Noir comme le charbon. Noir. On disposait de tellement de mot pour définir le noir, l'obscurité. Comme si on essayait de se rassurer. Comme si lui donner milles appellations rendrait la chose moins effrayante. J'avais appris à aimer la nuit. Enfant, dans les bras de ma chère mère, elle me terrorisait. Les ténèbres semblaient en dire trop, et jamais assez. Je pense qu'à l'époque, j'avais déjà compris le monde de secrets et d'horreurs qui s'y trouvait. Je n'étais simplement pas encore prêt à lui faire face. A l'apprivoiser comme un animal sauvage. A la laisser m'apprivoiser aussi. A faire d'elle une alliée fidèle. La nuit était noire ce soir. Nuit noire. Les étoiles loin, si loin derrière les nuages épais et menaçants flottant au dessus du château. Mes yeux aussi étaient noirs. Écrans parfaitement lisses sur lesquels se reflétait le noir de la voute. Vierge, immaculée, ce vaste encrier s'offrait à moi. Lascif, il m'attendait. Je n'avais plus qu'à y tremper ma plume. Il me tardait d'écrire mon œuvre.
Mon regard se détourna de la fenêtre, pour se poser sur la pièce où je me trouvais. Noir aussi. Appuyé contre le mur, immobile, je prenais lentement possession de l'ombre qui s'y trouvait. Jadis, à l'orphelinat, j'avais eu tout le loisir d'apprendre à utiliser les ombres que les autres enfants évitaient avec soin. A en comprendre les avantages. A la manipuler. A m'y perdre. Doucement, lentement, j'avais appris à devenir l'ombre elle-même. Insaisissable, volatile, imperceptible, là, dans le noir, on m'oubliait. Les yeux fermés, le corps au repos, la respiration calme. Ma main était la seule partie de mon corps en mouvement. Un morceau de pierre effritée que je faisais jongler habilement entre mes doigts. Effrité. Ce mot me fit penser à Serena. Ma confiance en elle devenait progressivement comme ce mur de pierres épaisses et à l'apparence solide et imprenable. Elle s'effritait. Tout ça était absolument contrariant. Serena était une clé. Sans elle, de nombreuses portes se fermeraient, peut-être pour toujours. Et cela était inacceptable. Son comportement ce soir. Cette insolence volontaire et étudiée. Ces secrets, ces mensonges à demi-mots. L'emprise que j'avais sur elle ne m'avait jamais semblé aussi fragile. C'était on ne peut plus désagréable. Il fallait que ça cesse. Il fallait un rappel à l'ordre. Il fallait qu'elle se souvienne. Tout comme un architecte magique ajouterait du ciment à ces murs, je devais reconstruire son obéissance de mes propres mains. Tel un félin, après avoir laissé mon empreinte et marqué mon précieux territoire au bal, je m'étais retiré avec discrétion avant le reste des invités. L'effet de surprise serait indispensable. Il fallait donc avoir le temps de laisser l'ombre m'engloutir.
Le temps passait et glissait sur moi sans m'atteindre. Épatant état de contemplation que je me forçais à adopter lorsqu'une attente à la durée inconnue m'attendait. Le morceau de pierre réalisait milles et unes gymnastiques virtuoses entre mes doigts fins. Les pensées défilaient en liste organisées et méticuleuses. Et puis il y avait cette tâche, en plein milieu. Aussi fine qu'une goutte d'encre sur le papier, elle n'était presque pas perceptible à l'œil nu, mais se répandait dans les fibres dangereusement vite. Serena, ma douce. Ne te rends-tu donc pas compte de tout ce que je fais pour toi? Des sacrifices? Bien sur que non. Cette idiote se comportait depuis quelque temps comme une enfant gâtée. Aveugle face aux privilèges et aux avantages qui s'offraient à elle. Véritable petite peste jamais satisfaite de ce qu'elle possède déjà. Plus je lâchais de leste, et plus elle tirait sur la laisse. Élever l'elfe de maison familiale avait été plus aisé. L'affection que j'avais pour elle était source de cette faiblesse. Cette chance inouïe qu'elle avait de faire partie de la liste on ne peut plus courte des personnes pour qui je ressentais véritablement quelque chose ne semblait pas l'atteindre. Là était la seule chose qui me retenait d'abuser de notre petit secret pour la soumettre à moi véritablement. Sans cela, il n'y aurait pas d'insolence. Pas de secrets. Pas de mensonges. Le morceau de pierre à présent dans ma paume de main, se retrouva pris au piège dans la cage formée par mes longs doigts. Sans cela, elle serait à mes genoux, dominée, docile. Mes jointures blanchirent. Sans cela, Serena Pendragon me vouerait une obéissance sans faille. Si cette idiote se rendait compte. Si seulement elle se rendait compte, de tout ce qu'elle pourrait entreprendre à mes côtés. Ingrate. Ingrate petite peste. La poussière coula lascivement le long de ma paume, tel le sable s'écoulant d'un sablier. La pierre fragilisée et dégradée par le temps s'était désintégrée. Comme un signe m'avertissant du danger découlant des agissements récents de ma jeune protégée. J'avais laissé trop de temps passer sans prendre en compte ses caprices. Ses rêves de liberté prenaient fin ce soir.


Une ombre. Mais une ombre visible, déterminée, fatiguée, inconsciente. Me glissant derrière elle, j'appréciais un instant le statut de prédateur. Insouciante, ses cheveux noirs comme le ciel de cette nuit flottaient au rythme régulier de ses pas. Une inspiration, son odeur âcre et douce à la fois, comme le sont les choses les plus dangereusement délicieuse de ce monde. C'était si bon, de chasser ainsi. De sentir à quel point la proie ne sait pas. D'apprécier le rythme cardiaque doux, la respiration posée, le calme avant la tempête.
Et la rupture. Silencio. Une bouche déformée par la douleur, mais toujours le silence. Silence épais, palpable, presque artistique. La chasse à l'homme à un tel niveau relevait de la virtuosité. Tel un musicien manipulant avec précaution son instrument, je la maintenais en place, laissait ses membres se débattre, sans jamais lui laisser la moindre chance de m'échapper. Tout le plaisir résidait dans ce vain espoir qu'il fallait la laisser entrevoir. Ses cris sourds et nos corps entrelacés ainsi dans un ébat des plus singuliers formaient une chorégraphie surprenante et organisée. Oh ma Serena, ma douce, ma belle, ma petite Serena. C'était bien toi, qui avait provoqué tout ceci. C'était bien toi ton propre bourreau. Le poids de mon corps savamment réparti, je relevais lentement sa manche. La pâleur de sa peau ma marqua. Blanche, inviolée, neutre, à ma disposition. Une page vierge, n'attendant qu'à recevoir. Ivre de colère, de folie et de tendresse, je créais alors mon œuvre la plus belle. Le pourpre sur le blanc. Des gouttes rondes, comme des notes de musique. C'était toute une symphonie que j'écrivais alors sur elle. Tu vois, Serena, ma chérie, ma belle, même lorsque tu saignes, il y a du beau. Je collais tendrement mon visage contre sa joue, tu te souviens, Serena ? Tu te souviens comme ça t'apaisait de me savoir près de toi ?

« Sleep, my little one, sleep.»

Une main tendre mais ferme dans ses cheveux, c'était dommage, et pourtant, c'était si beau. Je traçais la dernière lettre avec une lenteur maîtrisée, orchestrée par les spasmes de douleurs de son corps. Il fallait que la souffrance s'ancre en elle. Comme un mauvais rêve dont elle ne se réveillerait plus jamais. Un rappel à l'ordre sur sa peau, dans sa tête, dans son système nerveux. Audric Saddler sera toujours, toujours là avec toi. La plume suspendue telle une épée de Damoclès au dessus de sa peau, je semblais reprendre vie. Je pressais ma joue un peu plus fort contre la sienne, la goût salé des larmes mélangé à celui métallique du sang m'arracha un sourire. Avant, tu n'étais qu'une clé, et tu es devenue une véritable œuvre d'art malgré toi.

« My pretty one, sleep. »




   

© charney

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