Ma journée avait été moyennement remplie je venais d'avoir la chance d'avoir une heure de libre. Tant mieux, car juste avant j'avais eu le court d'histoire de la magie, l'un des courts où je m'ennuyais terriblement, au point que la plupart du temps je m'y endormais, c'était aussi le court que j'aimé le moins. Une heure pendant laquelle j'en avais profité pour aller faire un tour dans la forêt avec Blombi. Je l'aver laisser un peu se balader sur le sol chose qui ne peut pas lui faire de mal vu que d'habitude je la prends souvent dans mon sac, et quand ce n'est pas dans mon sac je me m'arrange pour l'avoir avec moi. Après cette petite promenade je repris ma petite grenouille puis partie en direction des couloirs. L'extérieur était un peu venteux, je m'apprêtais donc à me rendre aux toilettes des filles pour arranger mes cheveux qui devais peut-être être en batailles. Même si je n'étais pas obsédé par mon apparence, je n'avais quand même pas envie d'avoir l'air d'une folle. J'étais en train de monter les marches du premier étage lorsque j'entendis un surnom qui d'ordinaire m'était donné que par une seule personne, miss Mordoch, une Pourfsouffle tout comme moi. Hey Penouilette. Dis-je d'un air joyeux, Je continuai à monter dans les escaliers et m'arrêta à coté d'elle. Alors, tu as fini t'es court ?

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Nous étions là tranquillement entrain de discuter en plein milieu des escaliers, mais bon après tout, si des élèves veulent passer ils n'auront cas passé derrière il reste quand même pas mal de place. Hélas non, il me reste encore un court. Ou plus exactement une option qui même en étant mon dernier court, je n'avais pas véritablement envie d'aller. La deuxième phrase que Penelope venait de dire était en fait une proposition qui tomber à merveille puis qu'elle me demander si je ne voulais pas rester un peu. Arriver en retard était loin d'être une chose qui pouvait me déranger surtout pour l'option d'étude des runes qui même si je l'avais choisi n'était pas pour autant une matière que j'adorais. Eh bien, miss Mordoch tu lis dans mes pensées. Répondis-je d'un air rempli d'entrain que je ne pus cacher. Je grimpai deux ou trois marches et m'assis et tampis si je j'énner les autres élèves qui étaient toujours entrain de passer. Une fois assise je me précipitai de prendre mon sac devant moi pour vérifier la présence de Blombi dans sa boite dans la-quel je l'avais mis avec soin comme toujours pour éviter qu'elle soit écrabouillée entre les cahiers. Je remarquai d'ailleurs la présence de ma baguette qui elle aussi se trouver sans mon sac, je me demande pourquoi je l'avais pris avec moi. Une fois que je vis ma petite Blombi dans mon sac je me relevai. Je me mis à regarder Penelope.  C'est quoi le court que t'a normalement ?

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Cool moi non-plus.

Les couloirs sont seulement des endroits de passage, rester dans les escaliers n'était pas quelque chose que l'on pouvait qualifier d'habituelle pour moi. Même après tant d'années à ce bon vieux Poudlard, les couloirs étaient loin d'être l'endroit où je passais principalement mon temps.

Ouais j'espère aussi en plus les heures de colle, c'est ennuyeux et ça fait perdre du temps.

Surtout que même si je n'étais pas une élève modèle, j'avais toujours su bien débrouiller pour ne pas avoir d'heure de colle.

Au pire si quelqu'un arrive, du moins si c'est un élève on aura qu'à dire qu'on est nouvelle et qu'on cherche notre salle de cours.

Drôle d'idée, mais bon incessamment mieux que des heures de colles. Le cours que j'ai ou plus exactement l'option c'est normalement celui d'étude des runes. Auquel je n'avais franchement pas envie d'assister. Et puis même si j'y aurais été, je me serais probablement endormi d’ennui ou alors j'aurais passé l'heure à jouet discrètement avec Blombi ou allez savoir quoi d'autre. Dans tous les cas ce cours ne m'aurait strictement servie à rien donc à quoi bon que j'y aille, mis à part peut-être me reposer un peu.

Eh oui ma petite Blombi est bien là, vu petite comme elle ai, je peux l'amener partout avec moi. Et toi, ton lapinou va bien ?

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La discrétion était une des qualités que j'avais du mois en partie quand je n'étais pas trop occupé à faire ma chieuse de service ou à taquiner les autres personnes. Je tournai immédiatement mon regard vers Penelope en entendant ce qu'elle venait de dire? J'inclinai légèrement ma tête sur le côté est fait des grands yeux.

Mmh... Javais oubliait que tu avais un certain don d'imagination débordante.

Dis-je avec le sourire, mais sans rire. Ce n'est pas l'envie qui me manqué, sauf que j'étais focalisé sur la douleur qui commence à se faire satire dans mes jambes. J'essayais de faire de mon mieux pour ne pas porter toute mon attention sur cette maudite douleur qui pour l'instant était anodine.

Aah, je ne suis pas véritablement étonné de ce que tu viens de me dire. T'elle animal telle propriétaire.

Avais-je répondu sans timbre de méchancetés dans ma voix, mais plutôt mi-plaisanterie et mi-taquinerie.

Je ne refuse pas !

Reffuser des bonbons moldue c'est de la folie, ils sont tellement bons et puis au moins l'avantage avec des bonbons moldue, c'est qu'il n'y-a pas de surprise mis à part parfois à cause du gout. Cette fois-ci c'était bon la douleur commencer à se faire ressentir de plus en plus sans doute à force d'être debout.

On devrait s'asseoir, j'en ai marre d'être debout.

Dis-je tout-en m’assoyant dans une marche.

Le couloir était à présent pratiquement vide. Je mis mon sac derrière moi puis étendis ma jambe, geste qui avait failli faire maladroitement tombé quelqu'un que je n'avais bien évidemment pas vu et qui avait l'air drôlement en retard vu la rapidité avec là quel elle s'était remie en équilibre et reparti sans même dire un mot.

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Je ne put pas se retenir très longtemps de rire après avoir entendu ce que venet de dire Penelope et voyant la petite danse de tête qu'elle fessait était tellement drôle. Peu de temps suivant la maladresse de la presque chute, je regardais derrière moi puis me panchai sur le côté pour essayer de regarder dans les étages supérieurs, m'assurant qu'il n'y est personne d'autre qui veuille passer spécialement ici, à l'endroit même où nous nous trouvions puis étandit une nouvelle fois ma jambe que j'avais eu bien vite faite de ramener vers moi quelque minutes avant.

Hey, je n'essaye rien du tout moi, ce n'est pas ma faute si me voir trouble les gens...

Avais-je dit tout en interrompant ma phrase avec un grand éclat de rire, je savais parfaitement ce qui avait failli faire tomber ce jeune homme. Une fois avoir réussi à calmer mon éclat de rire, je continuai ensuite ma phrase.

Le pauvre, au moins, je ne pense pas que nous serons dénoncés d'être dans les couloirs pendant les heures de cours.

Après quoi, je me servis dans le paquet de bonbons moldue que me tender Penelope. Oh une fraise en sucre pensais-je en regardant le bonbon, j’élançai un peu ma main puis jetas le bonbon vers le haut et le fit tombé dans ma bouche, un peu comme une otarie avec du poisson même si cela était une bien mauvaise comparaison. Je fis un sourire à mon amie et prit un air à tantinet enjouer.

Ah, j'avais bien remarqué avec la tête que tu viens de faire.
Eh oui ma petite Penny, tout le monde ne peut pas ressemblai à un certain Gryffondor n'est-ce pas ?

J'avais dit ça tout en mordant ma langue sur le côté et levant les sourcils, l'air de pansait : je connais d'avance la réponse.

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Je connaissais bien Penny pour savoir qu'elle allait de toute évidence niée la vérité, après tout nous étions amies depuis assez longtemps pour connaitre à peu près les réactions de l'une ou l'autre. J'étais bien amusée de la voir ainsi la Poufsouffle la plus amusante de tout Poudlard prendre un air aussi sérieux était quelque chose d'infiniment étonnante.

Ma chère Penelope, vos gestes vous trahissent.

Répondis-je prenant une vieille voie et un axant de joueur de banjo Mexicain, en soi, rien de vraiment sérieux venant de moi. Être dans les couloirs aux heures de cours était cent fois plus drôle que d'assister au cours d'études des runes dont j'avais choisi l'option allez savoir pourquoi. Et qu'est-ce qui m'était passé par la tête au moment de mon choix. Bien que peu importe l'option choisie j'aie toujours trouvé le moyen de ne pas la trouver hyper intéressante je crois.

Ça va, je te taquiné pas la peine de faire ton hamster.

J'avais un fou rire qui commencer à me prendre et je me réfrénais tellement de rire que ça m'en fit couler les yeux. Si j'aurais laissé cet éclat de rire prendre le dessus, ça aurait sans doute fait tellement de bruit que tout l'étage aurait largement vu notre présence dans les escaliers.

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J'étais enfin arrivée à contrôler mes éclats de rires même si ça m'avait pris un certain temps lorsque Penelope surenchérissait la conversation et venet de recracher du mâchouillage de fraise en bonbon sucré de sa bouche, qui ainsi éclater sur le sol ressemblait à de la bouillit pour porcs.
Je levai mon index, montrant ainsi la bouillie rougeâtre, mais aucun mot ne pu sortir de ma bouche qu'une esclaffâde s'était deja emparer de toutes mes paroles et voilà, c'était repartie, un fou rire instoppable venet de me reprendre de plus belle.
Mon bras était toujours tendu en avant, mais ma main au bout était toute molle, j'étais en moitié coucher dans les marches avec mon autre main sur mon ventre, mon rire était si intense que les muscle de mon ventre commençait à me faire mal.
J'avais manqué de peu de m'étouffer avec un de ces excellents bonbons Moldue, mais par chance une bonne toux suivie d'une profonde respiration avait suffi pour décoince ce fichu sucre de ma gorge. Mon presque étouffement ne m'avait pas calmé ni mon rire, ni mon imagination. Commençant ma phrase entre mon rire et un caquètement provoqué par celui-ci, j'étais néanmoins à peu près sûre que Penelope pourrait comprendre.

- T'imagine si cela aurait atterri en pleine face de quelqu'un.

Rien que cette idée, imaginer quelqu'un monter dans les escaliers et prendre ça à travers n'aider en aucun cas mon rire à prendre fin.

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Je me redressai sur les marches, me frottant légèrement le dos. C'est fou comment rire si intensément peut être aussi douloureux et si j'en doutais avant, eh bien maintenant j'en avais la preuve. J'avais l'impression d'avoir couru durant des heures alors que pourtant c'était loin d'être le cas, j'arrivais enfin à reprendre mon sérieux, faut avouer qu'avec la bouillie de bonbon à présent hors de vu gràace à Penelope, c'était beaucoup mieux. Écarquillant les yeux en regardant Penelope. "Une marelle ? Quel drôle de merveilleuse idée" pensai-je. Sans plus attendre une seule seconde, je me levai, le regard brillant je joignis mes mains devant moi et me frottai les mains en sautillant sur place.

- Oui, trop bien une marelle.

Dis-je, sans contrôler mes mots, toute contente en voyant la marelle apparaitre dans les marches. Je remontai mon sac avec ma grenouille plus haut dans l'escalier puis pris le bonbon qui faisait office de cailloux pour ce jeu. Secouant ma main puis projeta le bonbon, celui-ci tomba dans le quatrième carré après avoir ricoché sur la marche de juste au-dessus.

- Quatre, c'est parti.

M'étais-je exclamé joyeusement. Me issant en équilibre sur mon pied droit, essayant de ne pas perdre l'équilibre alors que j'étais encore sur place, mais moi et ma maladresse ne faisons qu'un.

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J'avais réussi à finir mon tour de marelle avec un peu de mal et non grâce. Non grâce car, entre mes grimaces face à la difficulté du jeu fait dans des marches et mes mains qui bougeaient au fur et à mesure que j'avançais pour me permettre de ne pas me flanquer au sol toute seule. Sans oublier qu'à plusieurs reprises j'avais oscillé de droit à gauche comme un vieux balancier dans une horloge.
L'espace de quelques instants j'eus l'impression que ma jambe allait lâcher est que mon vissage atterrirait droit sur les marches, fort heureusement il n'en fut rien. J'étais donc revenue au côté de Penny et à son tour elle lançât un bonbon puis parti faire le parcours de marelle. Ce jeu était complètement dingue et il comprenait un certain danger, mais ce n'est pas le danger qui pouvait nous traîner moi ou Penelope enfin, en tout cas pas le danger de ce genre de jeu là. Espérons juste que l'estomac de Penelope soit plus solide que le mien parce que très franchement ingurgiter tant de sucre et sauter par la suite laisser un arrière-goût de mousse acide au fond de la gorge.
Je regardais la progression de mon amie Poufsouffle, mais d'un coup une grande secousse brutale se fit très vite ressentir. Alors, bien sûr cela n'avait duré qu'un bref et court instant, mais n'empêche que par précaution et pur réflexe, je m'étais baissé dans les marches, les paupières closes. Quand mes yeux se réouvrirent, ils parcoururent l'escalier de haut en bas, en-bas, la ou Penny se trouvait. Cette dernière ne bougeait pas comme si elle avait pu perdre connaissance et peut-être était-ce le cas.

- Penelope !  

Avais-je crier sans même prendre garde que quelqu'un aurait pu voir notre présence en ces lieux et par conséquent faire perdre des points à Poufsouffle, et alors quoi ? En cet instant-ci j'en avais éperdument rien à foutre. Ces lieux semblaient soudainement plus ... lugubre... sinistre. Seul mon cri strident dans l'impulsion du moment venait de déchirer ce grand silence planant dans l'espace environnant.
C'était horrible, tout cela ressemblait à un épouvantable cauchemar, absolument tout autour de moi sembler être plus aiguisé, plus irréelle ce qui ne m'empêcha pourtant pas de dévaler ces pourritures de marches deux à deux. Plus inquiète que je ne l'avais jamais été, attrapant Penelope par les épaules, je commençais à la secouer. Personne, il n'y avait personne dans ce foutu con d'escalier. Ni une ni deux, pas d'hésitation, je pris la Poufsouffle contre moi pour la relevée. En passant à côté de mon sac, je le pris si violemment que des affaires s'en firent projeter et percutèrent plus bas.

- Ça va aller Penny. Je t'amène à l'infirmerie.      

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