Parce qu'on ne sait jamais, je précise que mon personnage n'est pas moi et je n'y donne pas mon avis sur le suicide, ce qui suit n'est que le ressenti d'Eugenia.
Alyssandra s'est coupée les veines mais le brave fiancé l'a sauvé et tout Poudlard s'afflige sur cet acte manqué. Tout Poudlard s'alarme, s'inquiète, pour la starlette. Pauvre oisillon, qu'a t-on fais ? Que c'est il passé dans ta vie pour que tu veuilles la quitter ? Le fiancé Bogart, heureusement qu'il était là pour la sauver, quel héros. L'information révélée par Silver glace Eugenia. C'est merveilleux, ton monstreux fiancé à sauvé une vie. Alors la Bogart sourit à Silver et sert un mensonge pieux : je suis heureuse que ton amie s'en soit sortie. Il aurait dû la laisser perdre son sang. La regarder se vider, sa traînée. C'est ton amie, je le sais et ta bontée à tolérer sa misérable présence à tes côtés me surprend et me fait t'aimer d'avantage Silver. Elle ne te mérite pas... Elle ne mérite pas l'attention d'Eren... Elle ne mérite rien si ce n'est le dégoût. Andrews me veut à son chevet mais la psy improvisée évite sa patiente. Laissons la dans son marasme, elle veut s'enfoncer, se laisser couler, qui sommes nous pour la sauver ? Il ne faut pas aller contre sa volonté... Abel souffre le martyre de son égoïsme, Caïn aussi probablement mais ça, elle n'a pas envie de s'y pencher, l'ainé de la fratrie la perturbe assez pour qu'elle n'aille pas se pencher sur son cas. Silver se noie dans la culpabilité et Eren s'affaiblie. Haimon doit culpabiliser d'avoir fugué avec elle au lieu de lui tenir la main, à moins qu'il n'en est rien à faire de son jouet ? Elle ne le sait... elle ne veut même pas savoir. Ce qu'elle voit c'est que ses plus proches amis souffrent à cause d'une gamine qui en a toujours fais qu'à sa tête. Tu n'es pas un oisillon, Alyssandra, juste une lionne égoïste.
Vous êtes tous à pleurer pour elle, vous êtes là à compatir mais moi, le coeur sec, je regrette juste qu'elle ait raté son coup. Je n'aime pas cette femme qui m'a déçu, j'aurais pu me nouer d'amitié avec elle, sentant une étrange attraction pour elle lors de nos échanges. Compassion, envie de l'orienter, la pousser dans les bras de son frère, de sa famille. Quelque chose d'indicible, un attachement brutale, imprévue mais cela était avant qu'elle n'agisse. Oh, pauvre jouet d'Haimon, traînée qui vend son corps pour blesser l'homme qu'elle a aimé. Tu serais décédée que mes soucis se seraient envolés, toi là-bas Eren s'en serait voulu, une belle lettre et le voilà qui aurait peut-être goûté aux joies de la culpabilité. J'aurais eu un moyen de pression rêvé sur lui mais non, tu es en vie et lui, cet idiot, accourt encore et encore à ton chevet. Il te prend la main, te souris, il est là, je l'imagine encore et encore à te tenir compagnie. Je suis là, sursurre t-il et moi, je crève de dégoût pour toi qui a eu le malheur de trouver comment faire plier cet homme si grand. Oh Merlin j'en suis à douter que tu es vraiment voulu en finir avec la vie, manipulatrice comme tu es il n'y a qu'à pas pour me dire que tu as tout calculé.
Recommence Alyssandra, montre ta détermination à quitter la vie, allez, ne t'arrête pas à un échec, gagne le gros lot. Allez, recommence que j'aille danser sur ta tombe.
Une fois n'est pas coutume, la Bogart s'était installée à distance raisonnable d'Eren. Abandonnant ses amis habituels, elle avait pris place au milieu d'une foule de visage sans intérêt pour le plaisir simple d'observer son fiancé. Découpant son visage de son regard glacé, elle n'avait pas conscience de tourner et retourner entre ses doigts sa fourchette. Tu ne manges pas ? Souffle quelqu'un mais elle n'écoute pas. Comment peux-tu rendre visite à cette putain ? Une femme qui abandonne sa famille, t'humilie pour ensuite se suicider ? Lache est le premier mot qui me vient à l'esprit en pensant à elle. Pire que Serena qui s'invente une vie... Oh Merlin, la faiblarde doit être heureuse de toutes ces attentions. Manipulatrice. Tu ne vaux pas leur amour, retourne avec tes fans, tes chansons et laisse nous respirer. Laisse ce monde aux vivants, moi je vis. Moi, je n'abandonne pas.
Eren sort de table, elle le suit dans le dédale de couloir mais dès qu'elle remarque une salle libre elle accélère le pas pour lui prendre sa main. Sa peau froide se réchauffe dans la sienne, sans mot dire, juste un regard, Eugenia l'invite à la suivre. Sort pour insonnoriser, un autre pour fermer à clef, pas de formules prononcées, elle range sa baguette dans sa poche. Silence, elle fulmine mais se retient d'exploser.
Tu es mal placée pour critiquer, murmure une conscience, tu t'es offert une escapade avec Haimon. Oh ce n'est rien ça, juste offrir un adieu décent à l'homme que j'aime... Mauvaise foi étreint son coeur mais plus encore, peur absurde qu'il finisse par retomber amoureux d'Alyssandra McMillan. La garce n'est pas un bon partit mais habillée, maquillée et le rôle dicté elle peut le devenir. On pourrait trouver un terrain d'entente Eren mais pourquoi prendre une femme qui me dégoûte ? Ah, tout aurait été plus simple si tu étais tombé amoureux d'Annabeth ou de Silver, là, j'aurais abandonné ma place avec joie... Je me refuse à perdre face à une lâche. Je me refuse à te perdre alors que même Haimon a compris que jamais je ne te trahirais...
On me dit que tu me tires vers le bas, Ils ne voient pas que je te suis aussi nocive que tu l'es pour moi.
Elle ne dit rien mais montre sa bague de fiançailles, le bijou brille et un sourcil circonspect elle finit enfin par parler. J'ai appris que tu allais voir Alyssandra à l'hopital, que tu l'avais même sauvé. Félicitation. Aucune chaleur alors que son regard clair s'assombrit. Je croyais que l'on devait les faire souffrir ? La regarder se vider de son sang, ça, ça l'aurait fait souffrir... Elle se rapproche de lui, digne, mordante, crevant de jalousie. Elle te rend faible. Chaque mot détaché suinte la jalousie. Tu vas faire quoi quand elle reviendra ? La border dans son petit lit de Gryffondor lâche ? T'occuper d'elle ? Vas-y, tout le monde te trouvera adorable, te remerciera de ton abnégation. Le silence retombe avant qu'elle ne le regarde dans les yeux, droite, digne, implacable : Elle se venge de toi en embrassant Haimon et maintenant elle te fais accourir à son chevet, tu es complètement sous son emprise. Elle n'a pas manqué son coup, tu es tombés dans le panneau, Alyssandra obtient toujours ce qu'elle veut.
Eren H. Bogart
Sorcier
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥] Sam 3 Jan - 23:30
Eugenia & Eren
Je crève sous la jalousie, et cette peur nouvelle fait renaître le Prince Noir.
Poudlard n'était plus que le lieu de toutes les rumeurs, de tout les chuchotements et tous parlaient de la même chose. Le suicide de leur chère chanteuse... Ou de moi, celui qui n'a jamais cessé de la détester ouvertement, désormais sauveur de son ennemi.. Je veux que l'on arrête de me parler d'Elle, je ne désire plus entendre son nom, plus rien qui ne vienne d'elle. J'ai dérapé, j'ai fais ce que je m'étais promis de ne jamais faire, tellement habité par son visage et ses poignets ensanglantés. J’enchaînais les actes insensés qui me détournaient de mon véritable objectif. Mon trône. Je devenais fou, elle me hantait littéralement. Mélange du passé et du présent, d'un avenir bien sombre sans sa lumière. Je l'avais embrassé, lui avais dis Adieu pour ne me concentrer que sur mes fiançailles et Eugénia. Pour ensuite faire quoi ? La sauver ? Courir à son chevet ? Lui avouer mes sentiments qui me torturent ? Tout ça pourquoi ? Pour qu'on me demande de me taire, de retirer mes propos si difficilement dit... J'avais pris conscience de beaucoup de choses ces derniers jours. Tout se mélangeait, tout s'ajoutait dans mon esprit sans que je ne l'ai le temps de faire le tris. Un fouis monstre qui me poussait lentement vers la folie la plus profonde. J'en avais assez.
Devant le monde je restais le même, cet homme froid, distant, mauvais. Celui que j'étais et resterais, mais je cachais tout ce qui me rongeait, qui faisait de moi cet homme torturé. Torturé par quoi ? Une femme.. Quelle honte, mais quelle honte pour le Bogart que j'étais.. Comment avais-je pus en arriver à ce stade ? Je ne savais pas, je ne voulais plus le savoir, juste tout oublier. Installé avec très peu de personne comme à mon habitude, je mangeais à peine, cherchant un moyen de remédier à tout, cela de créer le chaos dans le monde en remettant de l'ordre dans ma tête. J’aperçus à peine le rapprochement d'Eugénia, et si peu ses regards insistants sur moi, bien trop absorbés par mes pensées dévastatrices. Je finis par me lever agacé de me voir sombrer à ce point vers des penchants auxquels je n'aurais jamais du goutté.
Un soupir s'échappe de mes lippes fendant l'air alors que je quitte la grande Salle. Las, j'étais totalement las, tellement las que j'avais l'impression de ne plus pouvoir m'énerver, ou laisser s'extérioriser ma haine comme d'habitude. A l'ordinaire c'était ainsi, un violent coup de sang qui m'ôtait la capacité de raisonner le temps de quelques secondes. Puis c'était trop tard le mal était fait, à base de paroles cinglantes, de gestes violents, d'une rage si vibrante qu'elle faisait trembler les autres. Est-ce que je regrettais ces moments de rage qui m'était si habituel ? Non, jamais. Ils étaient mon quotidien, une part importante de ma personnalité et je ne voulais pas m'en défaire. A quoi bon devenir comme tout ces ignorants pensant que le dialogue pouvait calmer les conflits, les régler même. Ridicule. A-t-on déjà vu une guerre des mots ? La violence est maîtresse de notre monde. C'est au plus fort et au plus féroce que revient la couronne. Ce n'est pas le philanthrope qui l'emporte à la fin, mais au fin stratège, à celui qui aura combattus le plus ardemment. Et là j'étais juste agacé, ne sachant plus comment réagir, totalement désorienté par cette masse d’événements qui se déroulaient dans ma vie sans que je n'ai de main prise dessus. Je détestais avoir ce sentiment d'impuissance, de ne faire que subir sans pouvoir agir. J'étais conquérant pas un général raté.
Et puis Eugénia... Ma douce et traître Eugénia. Ma maudite fiancé. Je n'avais pas de remords pour ce que je lui avais fais. Elle avait fait pire. Ma jalousie me faisait trembler de rage lorsque je l'imaginais d'abandonner dans les bras de cet insecte, de cette goule bonne à servir lesWeasley. Avait-elle seulement imaginé que je ne le serais jamais ? Envoyé sa vélane sans vertu disséminé un mensonge auquel je n'avais pas crus un instant, surtout pas lorsque j'avais sus qui d'autre manqué à l'appel.. Un miroir de moins dans les toilettes.. Et encore c'était tellement peu à côté de ce que j'avais envie de leur faire. Eugénia, Haimon, Alyssandra, tous bon à subir ma colère éternelle. Si je ne pouvais plus compté sur ma cousine, je ne pouvais plus compter sur personne. Je n'avais plus d'appuis à part celui qu'Audric. Bien qu'il soit plus occupé à courir après sa blonde fadasse que de s'interroger sur des sujets bien plus important, comme son ascension. Ne fait pas mon erreur Audric, ne te laisse pas détourner du droit chemin par des sourires enchanteurs et des voix sucrée pleines de fausses promesses.
Je suis sortis par mes pensées noires par ce contact glacial. Toi. Celle pour qui j'ai à ce moment même plein de colère, désormais face à moi, m’entraînant dans une salle. Nous nous faisons face, deux statues figés dans leur colère. C'est au premier qui explosera, à celui qui finira par craquer le premier. Mes yeux tombent sur cette bague, si ancienne, ancestrale, presque sacré dans ma famille. A n'offrir qu'à la futur Bogart.. Un des biens que j'ai hérité de ma mère que tu as salis !
Elle est cinglante la serpentarde, tellement mordante. Tu me connais plus que nulle autre, plus que Alyssandra sûrement, tu sais pertinemment où attaquer pour changer les choses en ta faveur, pour me redonner la vigueur que j'ai perdus. Et je sens mon cœur s'emballer dangereusement lorsque tu me traite de faible. Je te laisse approcher, serrant les poings, la mâchoire serrée. J'ai tellement envie de te gifler, te voir ton visage se retourner et que tu cesses de me regarder avec tant de dignité.. Alors que cette dignité qui te faisais reine tu l'as perdu dans les bras de cet avorton.
« Je ne suis pas faible ! »
Je tonne, si mauvais, si dur, implacable. Je ne suis pas faible, je l'ai été, je me suis relevé tout de suite après. Je n'ai pas détourné mes yeux du choix que j'avais fais lorsqu'elle en a parlé, je n'ai pas hésité à tout sacrifié pour toi et mon trône. Je ne veux pas t'entendre dire cela, pas toi, surtout pas toi.. Veux-tu engendrer ta propre mort ? Histoire que j'aille balancer ton corps sans vie aux pieds de ton amant.
« Mais toi par contre tu n'es qu'une catin. »
Une salope, une ordure qui m'a trahis. Et avec tout les hommes existant sur cette terre, tu as choisis celui que je hais le plus.. Je n'ai fais que l'embrasser, toi tu t'es fais plaisir tout un week-end. J'ai envie de te couper le doigts et te retirer cet anneau qui te fait mienne, alors que tu t'en fiches, tu vagabonde d'homme en homme, tu me fais honte, tu salis mon nom.. Je me fais passer pour qui ? Le cocue de Poudlard ? Ce qu'il doit jubiler d'avoir réussis son coup.. Je lui ferais payer, je te le ferais payer, je leur ferais tous payer.. Les uns après les autres, ils ramperont à mes pieds !
« Tu pensais que je ne le serais pas ? Tu viens me voir, brandissant ta bague de fiançailles que tu as salis en allant le voir lui ! Je devrais te la retirer, annuler ces putains de fiançailles qui ne riment à rien.»
Tu devrais avoir honte, ce sentiment devrait te submerger et t'étouffer. Pourquoi ça me rend fou à ce point ? Parce que dans mes envies de conquérir le trône, j'ai voulus te conquérir toi ? Je te voulais, je te veux, tu es à moi et à personne d'autre. J'en ai assez de tout ces vautours qui tournent autour de nous, clamant que notre alliance ne serre à rien. Hurlant que tu devrais partir, t'échapper de mes griffes. Ne fais jamais cela... Je te le déconseille fortement. J'ai apposé ma marque sur toi, tu es ma future femme. Et si on en est là aujourd'hui c'est uniquement de ta faute ! Si tu avais joué le jeu, continuer de jouer les charmants couples aux yeux des gens comme je le voulais, comme j'ai essayé de le faire avec toi, on n'en serait pas là..
« On devait pas se venger ? J'espère qu'Haimon en a bien profité, il attendait que ça, m'atteindre encore, d'abord Hell, puis toi... Et toi comme la première des idiotes tu es tombé dans le panneau.»
Je te croyais bien plus intelligente que cela, bien plus perspicace. Je voyais dans tes prunelles azur la grandeur, une future reine, celle qui n'avait besoin de rien, pas même d'une tiare pour que l'on sache qui elle était. Tu n'es fiancé qu'avec cette bague, il suffit que je te la retire pour que tout soit détruit, pour que tout s'efface comme s'il n'y avait jamais rien eu.
« T'es venu me voir pour savoir quoi ? Que je l'ai embrassé le soir de nos fiançailles ? C'est ça que tu veux savoir ? Alors que t'étais à quelques mètres ? Heureuse ? »
Je crache ces mots à ton visage, tellement mesquin, tellement mauvais. Je veux te faire payer, je veux que tu sentes la trahison bruler ta chair, te rendre fou comme toi tu me rends dingues. Mes doigts se glissent sur ton visage, s'enroulant autour du bas de celui ci, le serrant avec force alors que je le rapproche dangereusement du mien, mes yeux emplis d'une colère inouïs.
«Ne le vois plus jamais ! JAMAIS ! »
La jalousie me fait vibrer comme jamais, me met dans un état second. Bravo Eugénia tu étais la solution toute trouvé pour faire renaître le Prince Noir..
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Eugenia H. Bogart
Serpentard
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥] Dim 4 Jan - 1:34
Tu peux t'énerver, vas-y, rage, mais je reste impassible face à toi. Pas même un sursaut sous ta colère, juste un sourire narquois : oh si tu es faible face à elle, Eren. La suite la fait perdre de sa superbe, son sourire s'envole et ses yeux s'assombrissent. Tu sais. Bien sûr qu'il sait, si elle le fait suivre pourquoi n'irait-il pas faire de même ? Prévenir Annabeth et Silver n'était pas suffisant, évidemment mais qu'importe, qu'il comprenne qu'elle ne le craint pas ! Elle est encore libre, qu'il s'imagine qu'il peut la perdre s'il n'est pas suffisamment bon pour elle ! Que ces deux hommes comprennent qu'elle seule n'est pas rempleçable. Mensonge mais Serena devrait perdre tout pour remonter et le monde sorcier n'en voudrait pas, elle-même n'en veut pas, non, elle, elle a d'autres projets... moi, je suis votre unique Reine. Oh vas-y Eren, menace moi de tout annuler et je m'en vais immédiatement récupérer un meilleur partit. Ta menace est si faible... si petite... c'est tout ce que tu peux faire ? Oh tu ne vaudras pas grand chose sans moi... je sais que plus que toi, tu aimes la pureté du sang. Salir les Bogart, non tu ne le ferais pas... Va, prend une autre femme, prend ta catin et prouve moi que tu es bien qu'un faible clébard face à elle. Prend Serena et ce serait le comble, une seconde branche je ne sais même pas ce qui est le pire, Alyssandra ou mélanger ton sang à celui de Serena.
Elle pourrait sauter sur l'occasion, briser net ces fiançailles qui lui serre la gorge mais son orgueil bat sa liberté. Oh Eren je ne vais pas te faire ce plaisir, si l'un de nous deux doit faillir ce sera toi. Ce ne sera pas moi acceptant de partir, oh non, tu les briseras seul ! Tu perdras tout s'il le faut mais je VEUX mon trône ! Je TE veux ! L'amour pour Haimon, la folie pour toi. Tu es à moi et quand tu me rabaisses au même rang que ta putain, c'est une gifle que je retiens. Ses yeux s’écarquillent sous la nouvelle, à nos fiançailles ? Tu... l'as... embrassé à nos fiançailles ?! Alors que j'étais à me débattre entre Phinéas et Caïn, à refuser de partir avec Phinéas, tu étais avec elle ?! Quand cette putain de Gryffondor a clamé coucher avec toi, tu pensais à sa comparse ?!
Tu as usé du même stratagème Eugenia et c'est bien pour cela que cela te met le sang à vif. Plus que le baiser, c'est le fait qu'il l'est fait pendant leur fiançailles, avec elle juste à côté, qui la blesse. Eren ouvre une plaie béante en elle, Merlin que nous nous ressemblons tout les deux ! Nous sommes les mêmes dans la noirceur, cette violence, cette rage, jusqu'à notre façon de faire, nous sommes similaires. J'ai usé du même stratagème si bien que j'arrive bien trop aisément à imaginer ce que tu as ressentit. J'ai perdu ma virginité dans le lit d'un Serpentard avec Haimon à côté, tu n'étais pas encore là mon cher cousin que déjà j'étais tordue de l'intérieur. Je ne t'ai pas attendu pour briser Haimon, encore et encore, chaque nuit dans le lit de son ennemi. Mon affection pour Simon ne valait pas le plaisir de savoir que j'humiliais Haimon qui savait très bien ce qui se tramait. Je jubilais de ma liberté, de la transgression, enfreindre les règles me faisaient planer Eren.
Prend mon visage, serre à me faire mal cela ne change rien, je te comprends bien trop pour ne pas souffrir dans ma chair et dans mon orgueil. Tu l'as embrassé, tu as surement rêvé de plus, moi je fais les choses en grand ! La gifle partit avec violence, résonnant sur son visage mais elle ne s'arrête pas là, son venin se déverse sur sa jalousie. Tu crois que je vais t'obéir ?! Je ne suis pas ta chose Eren ! Je le serais jamais ! C'est dommage, tu aurais pu tomber sur une femme soumise, tu aurais été si bien avec une femme parfaite mais manque de chance, tu tombes sur quelqu'un qui te connais parfaitement. Tu me connais, cela te surprend-il tant que ça que je me rebelles ?! Tu m'as vu torturer Haimon, tu me vois flirtant avec Phinéas juste ce qu'il faut pour qu'il me reste loyal. Je suis une peste Eren et tu le sais, je suis cupide, avide, je suis instable, je rêve grand et large, je veux tout et son contraire. Tu vas épouser un Paradoxe, cela te surprend-il vraiment que j'ai voulu t'atteindre ?! Que je gâche, salit, jusqu'à nous ?!
Je voulais Haimon et je l'ai eu ! Il a goûté ce que tu n'auras pas, il a pris ce que je donnais, encore et encore, alors que toi ta princesse ne t'offre que des miettes. J'ai été libre pendant tout un week-end, j'ai réalisé des fantasmes pendant que toi tu jouais au parfait copain attentionné. Laissant volontairement l'ambiguité sur ces "fantasmes" dont la réalité aurait sans aucun doute tiré un air blasé à Eren plus que de la jalousie, Eugenia poursuivit de ce ton autoritaire, supérieur qu'elle savait autant agaçant que preuve de sa noblesse. J'ai suivi Haimon car il s'est battu pour moi et il n'est pas le seul homme à le faire, ils sont tous là, à me regarder avec pitié, à me suggérer de les rejoindre. Aucun nom ne suinte mais l'envie est partout farouche de tous les dénoncer pour qu'il cerne l'étendue de son problème. Tu me considère comme un acquis parce qu'avant cette bague nous étions déjà ami, sache le Eren, je ne vais pas bêtement t'obéir. Oh non, toi et Haimon êtes interchangeable moi non, à la fin il n'y a que moi qui gagne. J'ai l'avantage alors jouie bien de tes petites transgressions avec ta catin car ça ne va pas durer !
Eren H. Bogart
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥] Dim 4 Jan - 3:28
Eugenia & Eren
Je crève sous la jalousie, et cette peur nouvelle fait renaître le Prince Noir.
Deux monstres qui se toisent, s'affrontent de leurs opalescences azurs. C'est à celui qui sera le plus mauvaise, le plus chef, ayant le plus la carrure royal. Nous agissons déjà en souverain, assoiffé de pouvoir. Notre course au trône nous fait vivre. Elle nous emporte dans des contrées endiablés. J'ai trouvé mon équivalent féminin en matière de haine et d'horreur. Ils ont beau dire que c'est moi qui te rends ainsi je sais que c'est faux. Je sais que tu étais déjà infect à la naissance, que tu es mauvaise depuis ton premier souffle, qu'il ne s'agit que d'un gêne que nous partageons. Nous sommes du même sang, du même nom, du même berceau gorgé par Satan. Enfant du diable, futurs empereurs des enfers.
La garce touche un point sensible et gifle ma fierté avec force. Je ne suis le chien de personne, je ne suis au pied de personne. Ce n'était qu'un moment de faiblesse, preuve que je suis un homme en plus d'être un monstre. Mais je ne me laisserais plus avoir, et encore moins avec toi. Je vais te faire ravaler tes propos, ils vont brûler ta gorge, enflammer ta trachée. Je vais te faire ingurgiter du souffre et de la lave. Tu vas tellement regretté tes mots, ta conduite, j'en fais la promesse. Ce sera toi la chienne à mes pieds, et je serais celui qui n'écoutera que d'une oreille tes supplications. Observe un peu comment je l'ai rendu faible et dépendante, je suis devenu sa drogue, fait attention où je finirais par venir t'infester pour me venger. Une seconde blonde qui se suicidera pour mes beaux yeux... Je te ferais boire un nectar empoisonné, je te noierais dans ta fausseté. Nous nagerons dans notre sang s'il le faut, nous danserons au doux chant de nos os que nous briserons en nous frappant tour à tour. Vois comme tu fais revivre la flamme profondément morbide qui m'habite, qui luis en moi, qui détruit toute pensée cohérente pour n'être que toute seule parmi mes démons.
Je ne veux pas de Serena, jamais je n'envisagerais un couple avec elle. Je la déteste depuis mon enfance, j'ai envie de la jeter d'un pont depuis que je la connais. Alors l'épouser.. Plutôt crever que de la faire mère de mon héritier et de mélanger mon sang à celui de la branche qui effleure le sol, dont elle fait partie. Nous, nous sommes en hauts, trônant sur la cimes des arbres. Quant à Alyssandra, tu es tellement aveuglé par ta rage envers elle que tu ne sais même pas, que j'ai refusé de me détourner de toi. J'ai fais mon choix, et je ne l'ai pas changé à ses côtés, tu seras ma reine, tu seras mon destin. Elle est mon passé, une boucle est bouclé, tu es mon futur. Mais à te comporter de la sorte, tu n'es plus qu'une erreur qui ébrèche mon présent, un moucheron que j'ai envie d'écraser, une pie que j'égorgerais bien pour la faire taire. Prends garde on ne provoque pas Hadès de la sorte sans en souffrir...
Mais tu n'auras pas ton histoire avec Haimon. Si tu le veux lui, tu souffriras à mes côtés pour pouvoirs l'aimer. Et je te comblerais de honte en enchaînant maîtresses après maîtresses sous ton nez. Je suis capable de faire bien des sacrifices si c'est pour sentir ta rage vibrer lorsque tu auras fais trembler la mienne. Tu seras ma reine, ma femme, la mère de mon enfant, tu ne seras qu'à moi pour le restant de tes jours. Enchaînée, prisonnière d'une prison rouillé après avoir été dorée. Je sais que tu joues les insoumise, mais je ferais de toi mon esclave. Et pourtant tu ne sais pas combien ton comportement m'attires, à quel point tu fais naître en moi un autre torrent que celui de la colère. Peu me tiennent têtes, peu me provoque. Il y a toi, et il y a Elle. Deux carrures bien différentes, l'une qui a finis par faiblir sous la pression de ma haine qui détruits tout sur son passage, et toi toujours si forte, si puissante, un mur imprenable, une forteresse dont je veux à tout prix m'emparer, faire mienne.
Et tu exploses, tu me prouves que je t'ai blessé, que j'ai gagné une bataille. Tu as voulus me faire mal, je t'ai rendus la pareille. Et je peux aller bien plus loin, je peux tout décimer si c'est ça qui peut te faire souffrir. La gifle je la sens, elle me brûle la joue, elle laisse sûrement la marque de ta main. Et pourtant je ne desserre pas la mâchoire, je ne baisse pas le regard, je reste presque inerte, allant même jusqu'à esquisser un fin sourire narquois, provocation ultime. Mais tes mots me prennent de court, le faisant mourir presque instantanément. Je ne veux pas savoir ce que tu as fais avec ce salop qui ne mérite pas de toucher à ce qui m'appartiens, à l'une de mes plus belles pièces. Tes fantasmes ? Je vais te les faire connaître moi tes fantasmes, mieux que quiconque ! Pourquoi prends-tu la peine d'aller prendre du plaisir ailleurs alors que le seul à pouvoir t'en donner se trouve face à toi. Alors je te rends ta gifle, me fichant éperdument que tu sois une femme, que tu sois ma promise, je te la rend. Je n'y mets pas toute ma rage, mon but n'est pas de te faire mal, mon but et de te faire comprendre que je ne me laisserais pas marcher dessus par toi. Par toi et ta vertu flouée, ta conduite de catin de bas étage, de vulgaire fille du peuple...
Je finis par te plaquer, presque sauvagement contre le mur derrière toi, cherchant à te faire taire, à ce que tu la fermes pour de bon. Un bras en travers du dessus de ta poitrine, mon autre poing qui s'abat violemment dans le mur, si proche de ton visage. La jalousie me fait devenir fou, totalement dingue, je ne supporte tout simplement pas que d'autre te veulent, que d'autres t'aient, que d'autre te touchent. Tu es à moi et seulement à moi. Tu as beau scander je ne sais quel liberté, rends toi à l'évidence, tu as au doigts une bague que je collerais à vie à ton derme si tu essais seulement de l'enlever. Désormais plus question de te la retirer, ma seule envie est que tu la gardes à vie.
« A quoi bon allait voir les autres quand tu sais que je serais le seul capable de te faire vibrer d'un plaisir inhumain. »
Je ferais danser ton plaisir, s'extérioriser comme jamais. Je ne serais pas doux, câlin, tendre. Je serais moi. Nous serons nous, enfin nous même parce que nous ne pouvons l'être totalement que dans les bras l'un de l'autre. Alyssandra fait naître un autre Eren, parfois plus doux, plus attentif. Toi tu libères le cavalier noir, le princes destructeur des ténèbres, la machine de guerre.
« Je te connais mieux que quiconque, mieux que ton cher salop d'Haimon je suis sur. Rends toi à l'évidence cousine, tu es exactement pareille que moi, et il n'y a qu'avec moi que tu seras complète. »
Nous serons pleinement les démons que nous cachons derrière nos masques. Plus de limites, plus de faux sourire. Juste des horreurs, des enfants des ténèbres, des monstres aux physique enchanteurs et trompeurs. Mon poing se décrispe jusqu'à ce que ma main se glisse sur ta joue que j'effleure, avant que mes lippes ne se glisse jusqu'à ton oreille pour y susurrer si mauvais et pourtant si sur de moi, plein de confiance et de détermination.
« Je ne te laisserais pas appartenir à un autre. Haimon ne s'est pas battus pour toi, il ne t'aurait pas laissé dans mes bras sinon. Je suis celui qui se battra le plus pour ta chère petite personne pourrie de l'intérieure. Parce que je ne lâcherais jamais l'affaire, j'y mettrais plus de hargne que n'importe quel connard osant regarder ce qui m'appartient ! »
Je ne veux pas d'un bâtard, tu vas arrêter de papillonner de droite à gauche. Je ne le supporte pas et tu le sais. Toi me blesser par ton comportement ? Non. Ou bien si, très certainement même, mais jamais je n'oserais l'avouer. Te le dire te ferais trop plaisir. Ça enflammerait ton quotidien d'un plaisir jouissif que je veux t’empêcher d'avoir à mes dépends. Ma voix vibre de rage, je ne me démonte pas, je suis toujours aussi bourré de haine et de colère. Et je tiens à te le faire savoir.
« Tu l'entends ça ! Tu es à moi et tu ne cesseras jamais de l'être ! Je n'arrêterais pas de le revendiquer et de me battre pour te garder ! Mais ose une fois encore te détourner du chemin que je te trace et tu le paieras ! Tu as besoin de moi pour être toi. »
« Nous sommes les mêmes Eugenia, ouvre les yeux, chaque fois que tu agiras, je ferais pire. Jusqu'à notre destruction totale.
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Eugenia H. Bogart
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥] Lun 5 Jan - 20:06
La pierre fait résonner son esprit, crac et sa tête s'enflamme d'une douleur cuisante. Un rictus de douleur traverse son visage et, instinctivement, elle détourne la tête quand son poing s'abat contre le mur. Souffle court, douleur dans la nuque, le froid qui brave la chaleur de la rage qui attise son corps, elle suffoque sous la pression de son bras. Tiens bon. Elle redresse fièrement le menton, hautaine, méprisante, ô combien hautaine allant jusqu'à lui sourire. Voilà le monstre que je crains, voilà l'homme qui m'a donné des envies de fuite, qui a animé le désespoir en moi. J'ai changé Eren, je ne vais pas laisser ma lucidité m'abattre : tu es le pire mais jamais je ne courberais l'échine. Je suis au dessus de vous tous ne l'oublie pas, je suis l'irremplaçable ! Plutôt saigner que m'avouer vaincu ! Cette nuque, cette poitrine, tu ce que tu opprimes va se libérer et Merlin je jure qu'à la fin de cette querelle, tu seras à mes genoux.
L'orgueil les détruiras. Ils pourraient dialoguer, ils pourraient s'entendre sur un compromis mais l'orgueil les pousse à jouer cet acte malsain. Nous sommes les mêmes, nous sommes de ceux qui aiment contrôler, le monde, nous, nous le dominons ! Le hasard n'existe pas et les fous qui oseraient compromettre nos plans, nous les écrasons ! Alliés nous sommes l'élite, la perfection, mariés nous allons nous briser mutuellement la nuque pour savoir lequel de nous deux portera la plus grande couronne. Nos actes perdent en raison, je te devines jaloux et au lieu de m'en flatter, je jubile. Je devrais me retirer, je n'ai que plus envie de te faire mordre la poussière, te pousser encore et toujours dans tes retranchements. Allez Eren, je sais que tu peux être pire que ça... Allez Eren, voyons lequel de nous deux l'emporte dans notre assassinphonie. Il est vraiment vexé. Jubile Eugenia, il est là à ce vendre, le grand Eren qui a besoin de s'affirmer... sourire narquois, elle ne répond même pas, laissant le doute planer. Oh vraiment ? Avec toi je serais comblée ? Laisse moi en douter... Nous sommes les mêmes. Aimant la douceur mais cruel au fond, fascinés par le Bien mais le coeur pourrit. Je rêve de redevenir une bonne personne, et toi, y penses - tu ? Nous sacrifons nos vies sur l'autel de nos ambitions. Je te souris, mordillant ma lèvre inférieur, suggestive sans être provocante. Je ne serais pas sage, je serais expéditive, enflammée, tout ton corps je marquerais de mes griffes. Je n'ai de délicate poupée que l'apparence, nul domaine où je n'appose ma marque. Nous sommes tellement similaire que cela nous détruis.
Quel fou celui qui a dit qui se ressemble s'assemble.
Enfin il cesse de l'étouffer, toussant malgré elle, se maudissant de sa faible carrure, elle n'affiche qu'un dégoût non ressentit quand il effleure sa joue. Non, tu n'es pas celui qui me connait le mieux, désolée de te décevoir mais là aussi je me tairais. Cela te plairait pas, je n'ai pas envie de la mêler à ça, oh oui, cela ne te plairait pas de savoir que seule Annabeth peut prétendre à ce titre. Voilà... un frisson aussi délicieux que désagréable traversa Eugenia. Je suis celui qui se battra le plus pour ta chère petite personne pourrie de l'intérieure. Parce que je ne lâcherais jamais l'affaire, j'y mettrais plus de hargne que n'importe quel connard osant regarder ce qui m'appartient ! . Voilà ce que je voulais entendre. Ta jalousie, ta déclaration à mi-mot pour ma personne, rampant, obligé de devenir violent et insistant... c'est parfait Eren. Alors qu'il hurle, elle n'a plus qu'un franc sourire moqueur. Le regardant par en dessous, ses yeux bleus brillant d'orgueil.
Quel est l'idiot qui a chanté que l'amour était le plus fort des sentiments ?
Tu es le Roi des Enfers. Mon Prince noir, voilà ce que tu es, l'homme sanglant qui détruit, maître des morts et terreur des vivants. Le sang est ton quotidien. Tu as la majesté et la folie des Rois, avide Prince enfermé dans les tréfonds de la Terre qui devient fou d'orgueil maintenant qu'il est à la Lumière. Oh Eren Hadès tu vas ensanglanter ma vie mais je m'y refuse, je ne suis pas Alyssandra, mon sang ne pavera pas ton chemin.
Le moteur qui fait tourner le monde était, est et sera toujours l'orgueil.
Tu es mon Roi des Enfers, de ce royaume que nous construisons sur nos douleurs et leurs sangs. Un beau royaume merveilleux où l'ont sera crains et aimé. Tout ce que tu as rêvé car je t'appartiens Eren, ici et à jamais je suis à toi. Oh oui tu auras un merveilleux royaume que je vais détruire avec une jouissance sans pareil. Tout détruire pour tout reconstruire à mon image.
Si similaire. J'ouvre les yeux et mon orgueil détruit les limites en moi.
Tu es Hadès autant que je suis cette poupée d'Hélène qui fit tourner des têtes pour le plaisir de voir des royaumes se déchirer.
Continue à te battre pour moi, oh tu craqueras, je le veux et le sens. Déjà tu en as dis plus que moi... les femmes qui s'imaginent qu'en se donnant gagne l'homme ont perdu, plus je me refuse à toi, plus je m'éloigne et plus tu t'accroches.
Il va me tuer. J'ai la tête en feu. Et le coeur gonflé d'orgueil.
NON ! TU AS BESOIN DE MOI POUR ETRE TOI ! J'appartiens à n'importe qui alors que tu es enchaîné à Audric et Alyssandra ! Les Leigh, les Thornquill, les Nott, les Carrow et je ne te parle pas des familles mineures ! J'élève notre alliance alors que tu la cantonne aux règles d'Audric ! JE suis une figure reconnue alors que tous voudraient te poignarder dans le dos !
Allez, Eren, laisse mon venin piquer ta vanité.
Sans moi, tu n'es qu'un Bogart qui va entrer au ministère l'an prochain, moi je suis encore ici que j'ai déjà des relations de part le monde.
Ta rage face à mon mépris. Visage hautain, si supérieur, si orgueilleuse. Brillant de fierté d'avoir tout sacrifié, d'avoir mentit, de s'être immiscé partout et regarder la vérité en face : je m'en sors très bien toute seule !
Ce week-end était parfait car il m'a aidé à affirmer quelque chose, Haimon, toi, c'est pareil. Je suis la seule qui compte et je me trouve vraiment, vraiment, très bonne dans mon rôle. Ses lèvres roulent chacun de ses mots, ses hanches chaloupent alors qu'elle se rapproche de lui et que sa main s'en va effleurer son propre ventre. Un simple effleurement qui veut tout dire, toi, lui, d'autres, j'ai bon goût en matière d'homme, ne t'en fais pas, ton bâtard, sera un sang-pur. Son sourire s'efface alors que l'autorité vient le remplacer, sa voix se hausse, implacable. ! Je ne te serais JAMAIS soumise ! JAMAIS ! Toi, Haimon, toute notre famille, vous allez comprendre que maintenant on joue selon MES règles !
Tu n'as plus qu'à sortir Eren, maintenant je suis la figure des Bogart et toi, tu n'es que mon fiancé.
Eren H. Bogart
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥] Lun 5 Jan - 23:03
Eugenia & Eren
Je crève sous la jalousie, et cette peur nouvelle fait renaître le Prince Noir.
Deux monstres d'orgueil qui s'affrontent. C'est explosif, bien trop fort, ça fait des étincelles, c'est tellement dangereux. On devrait s'arrêter là au risque de continuer et de nous détruire. Et pourtant nous enfonçons le clou, nous dépassons les limites, nous franchissons ensemble les portes de nos Enfers. Je ne t'ai jamais vu ainsi, si impétueuse, si forte, et si fière. Avec moi tu ne t'es jamais conduis de la sorte. Après tout tu n'es qu'une femme, une future mère, la poule du clan bonne à donner des enfants. Seulement tu prends ton envol, tu t'imagines beaucoup trop de choses, tu tisses des scénarios en ta faveur, espérant sans doute que tes songes deviennent réalité. Une poupée qui se pense déjà reine, un pantin dont la langue se délie avec bien trop de liberté. L'oisillon est devenu véritable rapace avec des griffes acérés. Mais je suis toujours là, toujours présent, toujours si avide de pouvoir. Même si tu t'opposes, je resterais face à toi, véritable mur que tu n'arriveras jamais à détruire, forteresse imprenable. Tu crois pouvoir m'écraser, avoir un quelconque pouvoir sur moi, seulement c'est faut, incroyablement faux. Tu as peut-être de l'influence sur la famille, sur ton toutou d'Haimon qui lui même réussit à te tourner au ridicule, mais pas sur moi. Avec ou sans toi, je suis roi. Hériter ou paria, je suis chef.
Il n'y a pas de dialogue entre nous, plus depuis nos fiançailles. Il ne reste de notre amitié, de nos liens de sang, que des éclats de voix qui explosent contre les murs. Des échanges explosifs, des insultes, un jeu tellement mauvais et malsain qui se jouent entre nous. Brillante comédie noire dont nous sommes les acteurs principaux. Je ne baisserais pas ma garde, je ne diluerais pas mon venin, je rendrais coups pour coups, y ajoutant toujours plus de haine et de hargne que toi. Je n'ai pas peur de ce qu'il pourrait advenir si nous tirons trop sur cette corde bien trop fragile. C'est enflammé, de grandes flammes émeraude, qui nous dévore, comme le feu des enfers dans lesquels nous sommes nés.
Tu n'es pas ma Perséphone, tu es Éris et Aphrodite à la fois.
A la fois discorde et luxure, tu me donnes envie de t'embrasser comme de te gifler. Tu crées l'envie et tu sèmes la colère. Mélange d'émotions trop fortes, qui me font perdre la raison. Je me hais d'être tant dans l'indécision, mais je te hais encore plus de la créer en moi. Tu ne devrais pas, tu n'es pas censé me rendre dans un état de ce type. Tu as toujours été celle sur qui je pouvais me reposer, pas cette harpie sans limite, assoiffé de chose qui la dépasse... Mes mains sur tes hanches je te colle sèchement contre moi, mon corps bien trop proche du tiens, nos formes s'épousant, se mariant presque parfaitement.
« Tu te crois fortes, tu te crois puissante, tu ne seras rien d'autre que la putain Bogart qui fera honte à son nom, son sang, à sa famille. La risée de tous qui pensera avec son entrecuisse plutôt qu'avec sa tête. Tu n'es qu'une femme destinée à faire des héritiers. Ne rêve pas trop ce sont les rois qui mènent la danse, pas toi. »
Les rumeurs se font vite, tu penses vraiment qu'après quelques amants personnes ne le seras. Notre héritier ne sera vu comme un bâtard, on pariera sur son père, on rira sur sa mère, toi la traînée qui se joue de son mari. On se moquera du dindon de la farce, moi. Ai-je un faciès à être humilité de la sorte ? Non je cède ma place à mon cousin. Je n'ai pas peur de la perdre, puisque tu penses tout diriger. Tu penses que je n'ai que peu de relations, que mon pouvoir se borne à suivre Audric aveuglément. Mais toi que fais-tu ? Ne l'écoutes tu pas toi non plus ? Ta logique se perd dans ton futur que tu idéalises bien trop. A jouer aussi dangereusement tu finiras seule. Dans moins d'un an je commencerais mon ascension au Ministère. Je garderais mon nom, je ne serais peut être pas l’héritier, mais je serais un Bogart qui montera en puissance. Par tes simples menaces, tu viens seulement de réorienté totalement mon esprit, en graisser les rouages rouillés. Je ne m'étais concentré que sur une seule voix, celle du mariage avec toi.. Mais tu n'es plus que la traître, celle qui me plante un ultime couteau dans le dos.. Si c'est pour me voler tout le pouvoir et régner seule, trouve un autre bouffon. C'est moi le roi, pas toi.
« Tu n'as plus rien de la Eugénia que je voyais comme une reine. Prends qui tu veux, Haimon le paria, détesté par les notre. Ou un autre qui ne serait pas moi. Je commence à me demander si le trône à TES côtés vaut le coups. »
Une princesse, une simple princesse pourrie gâtée, dont le pouvoir lui ait tellement monté à la tête que ça te rend folle. Je ne sais plus quoi penser de toi, tiraillé entre l'envie de t'embrasser, de te faire comprendre et celle de te frapper pour me venger. Je veux mon trône, tu n'es qu'une Bogart facilement remplaçable. C'est la figure masculine qui prône, pas celle qui l'accompagne. Médéa ne t'a-t-elle jamais enseigné cela ? Entre une volage et quelqu'un qui aura adoucit son image, qui aura de vrai contact et pas seulement grâce aux bals. A-t-on avis qui brillera ? Je serais avec Audric, cousin avide, qui brillerons comme l'or au soleil, pendant que tu croupiras entre ces murs. Réjouis toi, il te restera Haimon, s'il reste bien sur. Lui qui t'a déjà abandonné une fois, qui te dit qu'il ne recommencera pas.
« Je pourrais aller plus loin, plus haut que ça, si j'ai quelqu'un de fiable à mes côtés. La seule raison qui me poussait à te vouloir toi, c'est parce que j'avais confiance. Seulement tu as détruits cette seule chose. »
Mes lèvres se glissent de ton oreille jusqu'à tes lèvres, les effleurant dangereusement, mon souffle se mêlant au tien. Je suis là, près à t'embrasser, mes yeux cherchant les tiens jusqu'à ce que je finisse par souffler, si acide et mauvais, et pourtant si sincère au vu de tes dernières paroles. Si venimeux, la colère si froide pulsant dans tout mon corps, alors que mes mains se resserrent sur tes hanches. Tu te montres orgueilleuse, froide, fière. Ce n'est plus seulement ma jalousie que tu as enclenché, ni ma colère, c'est bien pire, ma déception.
« Tu me dégoûtes. »
Quoi que tu fasses, quoi que tu décides, tu ne plieras jamais Eren Bogart sous ta volonté. A trop vouloir que l'on te désire, on va te haïr.
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Eugenia H. Bogart
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥] Dim 11 Jan - 14:39
Tu appuies là où ça fait mal. Mes blessures, mes fêlures, tu les connais par coeur. Mon dégoût et mes désires te sont familiers. Tes mains sur mes hanches, collée à toi, je me sens femme dans le plus mauvais sens du terme. Femme pondeuse, ventre sur patte, ne me dis pas Eren ces mots que l'on m'a toujours sursurré. Tu me souffles ton venin et la honte me cloue sur place autant que l'envie irréprésible que tu me comprennes. Ne m'abandonne pas, ais-je envie de confesser. Je pourrais aller plus loin, plus haut que ça, si j'ai quelqu'un de fiable à mes côtés. Tu ramènes toujours tout à toi, cela ne m'échappes pas. Toi, toi et encore toi, le nous n'existe que si l'ont marche côté à côté, que si je t'obéis. La seule raison qui me poussait à te vouloir toi, c'est parce que j'avais confiance. Comme si tu m'avais choisi, que tu m'avais fais la grâce de me tendre la main. Eren... soyons lucide, veux tu ? Je sais ta jalousie, elle est tellement forte qu'elle ne peut se cacher et moi, ma provocation d'orgueilleuse, mon crie pour être libre, ne vois-tu pas ? Ne comprend tu donc pas ? C'est un jeu pour savoir qui gagne car on ne veut pas courber l'échine, car on a grandit à deux dans ce jeu de provoquer les autres, de les manipuler et d'être taquin l'un vis a vis de l'autre. Toujours à se provoquer, moi dansant entre toi et Haimon, toi qui l'insulte pour m'exaspérer... Je tiens à toi, on crèverait plutôt que ce dire ces mots. Je tiens à toi.
A la place tu me tiens comme un mari de notre sang retient sa femme qui se refuse à lui. C'est ça que tu veux ? Que je me donne à toi comme la traînée que tu penses que je suis ? J'ai envie de te souffler que tes mains peuvent bien rester sur mes hanches, un sort contraceptif nappe Poudlard, cela ne servirait à rien. Tu restes, je te dégoûte, tu restes. Je ne te crois pas, je pense qu'au contraire je t'exaspère à m'entêter à croire en ma liberté. Je te résiste et ça te blesse. J'en ai besoin Eren, j'en ai besoin. J'ai foi en mes qualités et, Merlin, quand nous serons mariés tu devras l'accepter : je ne suis pas un pion. Pas dans tes mains ! Pas toi ! Je ne suis pas un pion !
Je ne suis pas ta poule pondeuse.
Passée la déception, le choc et l'envie de le retenir, la colère reprend ses droits. On a quelque chose en commun et on se cotoie depuis toujours Eren... ne t'avise pas de me voir comme une simple épouse. Tu sais que je vaux plus que ça, que je suis aussi importante et puissante que toi. Tu parles comme ma mère, comme ton père mais je ne suis pas dupe... Je suis une serpent, fourbe, manipulatrice et si mes hurlements ne te font pas plier, j'userais de d'autres stratégies mais jamais, jamais, ô grand jamais, je ne te laisserais me quitter de cette façon. Saute sur l'occasion, Eugenia, libère toi de lui, continue à être détestable cela fonctionne. Ensuite fuit ailleurs. Non, si l'un doit plier, cela sera lui. Non, car je tiens à être dans ses bonnes grâces. Ridicule, un divorce entre vous sera sanglant. Non, je tiens bien trop à toi. Tu es idiote, idéaliste, ouvre les yeux, tes désirs sont contraires.
Tu n'iras nul part sans moi.
Voix suave, je suis une traînée c'est bien ce que tu as dis ?
Tu sais qu'il vaut le coup mais cela t'effraie... Cette fois c'est elle qui se colle contre lui, plaquant ses mains sur celles d'Eren elle appuie pour accentuer la pression sur ses hanches, car je ne vais pas t'obéir aveuglement. Compose avec moi et ça ira, arrête de me voir comme un outil, arrête de me menacer. Haimon, toi, Caïn, tous à me juger, tous à me dire ce que je devrais ou ne devrais pas faire et personne pour m'écouter. Personne pour m'obéir. Je suis au dessus de vous, je suis votre égale même si je suis née femme. Ca te fais peur d'avoir une épouse qui n'obéis pas bêtement ? Toujours sensuelle. Je suis un risque dans ta vie. Tu es ma menace autant que je suis la tienne. Pression plus forte, ses lèvres caressent, effleurent, les siennes. Plie Eren, plie, accepte l'évidence, nous sommes incroyable à deux mais seul égaux nous pourrons marcher. Accepte, courbe, que je me sentes vainqueur, reconnue. Mon roi en carton, accepte le risque.
Elle le lâcha d'un coup.
Eren H. Bogart
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥] Lun 12 Jan - 23:42
Eugenia & Eren
Je crève sous la jalousie, et cette peur nouvelle fait renaître le Prince Noir.
J'ai besoin de toi, plus que je ne pourrais jamais le dire. Tu es celle avec qui j'ai grandis mon seul repère dans ce château. Et là j'ai l'impression que tout s'envole, que tout s'effrite. Nos fiançailles sonnant le décompte de notre auto destruction. On aurait pas dus c'est ça ? Et pourtant je veux toujours être roi, j'en crève d'envie, je ne souhaite que cela. J'aurais ce trône, seul ou avec toi. Je me couronnerais seul, que tu sois sur le trône près de moi, ou loin, traité comme une paria. Tu t'avances dans un chemin dangereux, tu marches et tu t'écorches. Tu vas non pas vers moi, mais tu me fuis, tu t'échappes de l'étau maléfique de mes bras pour courir je ne sais où. Sache que tu ne seras jamais glorieuse loin de moi. Tu ne grandiras pas si je ne suis pas là. Tu resteras cette capricieuse, cette arrogante ? Ce double féminin de celui que je suis ! Pourquoi m'échappes-tu ? Pourquoi te refuses-tu à moi ? Je suis ton roi, ton chef. Pars avec moi ou...disparais.
Un rire amer traversa comme une pique la barrière de mes lippes, alors que je passais une main presque rageuse dans mes cheveux. Une rage intense s'emparent encore de moi. Tu as le don de faire ressortir le pire qu'il y a en moi, du moins, tu ne fais que l’accentuer. Que me rendre plus mauvais. Est-ce bien raisonnable ? Sûrement. Je ne souhaiterais que cela si j'étais certains de pouvoir te faire confiance... Et cette confiance je te l'ai accordé bien trop aveuglement. Pour le moment je m'exalte seulement dans ma fureur. Parce que comme ça a toujours été le cas, c'est la seule chose qui me tient debout et vivant.
« Ce que tu peux être hypocrite. Depuis que je t'ai demandé en fiançailles je n'ai cessé de parler d'un nous plutôt que d'un je ! N'inverse pas les rôles ! J'ai voulus que l'on soit tout les deux tournés vers le même horizon, pour que l'on arrache le futur qui nous est du ! Mais toi... »
Je te l'ai répété mille et une fois, que je voulais un monde gouverné par NOUS, je voulais un royaume qui porterait NOTRE nom. Mais évidemment tu retiens seulement ce qui t’arrange, tu te cures bien de ce que je pense réellement. Je te voulais toi, je t'avais choisis toi, je souhaitais que tu sois ma reine. Je pensais que tu étais la seule à en avoir la carrure.. Forcé de constater que je me suis trompée.
« Toi tu n'as jamais cessé de ne penser qu'à toi ! J'ai essayé de jouer le jeu, que l'on soit les parfaits amants maudits, mais tu ne cesseras jamais de me trahir, de tout faire dans mon dos ! Et après tu oses me parler d'égalité ! Mais comment suis-je sensé te traiter en égale alors que tu ne comptes pas le faire avec moi ? »
Mes mains se posent sèchement sur tes hanches alors que je te ramène vers moi pour planter mon regard dans le tien, comme des lames se ficheraient dans une chair tendre. Petite individualiste, gamine insolente et capricieuse, ce n'est pas comme cela que tu gagneras ta couronne. Au contraire tu ne fais que t'en éloigné, tu l'as détruits parce que tu te déplaces seule, ou parce que tu choisis les mauvais cavaliers à tes côtés. On aurait été les plus grands souverains, nous aurions été des figures historiques, l'âge d'or des Bogart auraient eu lieu sous notre nom. Mais non, tu n'en veux pas, tu me le fais comprendre chaque instant, chaque moment est bon pour que tu te défiles.
« Crois moi le temps du cousin qui te voyait comme une reine est révolu. J'ai pas besoin de toi, le roi en carton, n'a besoin de personne, j'ai toujours été seul je ne vois pas pourquoi ça changerait. »
L'âme d'un solitaire, celui qui n'a jamais accepté quiconque à ses côtés. Sûrement parce que je suis bien trop égocentrique, bien trop égoïste. Pour moi ce ne sont pas des défauts mais des valeurs. Des petits bouts qui font celui que je suis aujourd'hui. Et j'en suis fier. Pourquoi t'as tout gâché Eug ? Faute d'être parfaitement heureux, on aurait pus briller tout les deux. Mais tu as tout brisé, tu as pris une direction opposé, comme elle... Je dois être condamné à cela, à ce que mon âme rongée par les ténèbres soit solitaire.
« Oui j'ai embrassé Alyssandra le soir de nos fiançailles. Et tu veux savoir quoi ? Je ne regrette pas, je le referais s'il le faut. Parce qu'elle est tout ce que tu ne seras jamais ! »
Elle me rend vivant lorsque toi tu me tues, elle me tire vers le haut, lorsque tu tentes de me rabaisser et de m'écraser. J'en peux plus de ces jeux qui nous tues, j'en ai marre de ce cœur qui ne bats plus. J'ai voulus suivre ce que l'on m'a toujours enseigné, épousé une Bogart, être un digne hérité au trône, être un vrai tyran de mon espèce... Et voilà tout ce que j'ai récolté en voulant suivre les règles, une fiancée tout aussi pourris que moi, qui parle d'égalité alors qu'elle veut sans cesse avoir le dessus. Mes lippes s'approchent des tiennes alors que je te repousse sèchement, retirant sans aucune douceur mes mains de tes hanches.
« J'en viens à me demander comment j'ai pus la repousser pour toi à l’hôpital. Tu n'en vaux juste plus le coups. »
Tu fais partis du passé désormais. Je suis tombé de bien trop haut en te donnant autant d'estime alors que tu ne mérites pas que je me donne ce mal...
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Sujet: Re: Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥]
Éteins la lumière, montre-moi ton coté sombre [Erenia ♥]