Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes
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Eleazar R. Jugson
Gryffondor
Messages : 222 Galions : 55 Âge : 19 ans Avatar : François Arnaud
Sujet: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Mer 24 Sep - 21:20
Eleazar Rohan Jugson
J'aurais bien voulu être un de ces gars au menton carré qui ne pleure jamais Qui s'en va qui s'en va sans regrets
Nom de famille :
Jugson
Prénoms :
Eleazar Rohan
Age :
19 ans
Date et lieu de naissance :
23 août 1995 dans la banlieue de Londres
Qualité du sang :
Sang-mêlé
Orientation sexuelle :
Hétérosexuel
Statut social :
Loser professionnel
Avatar :
François Arnaud
Le choixpeau m'a envoyé à
Gryffondor
L1 - Soins & Etude des Créatures Magiques
Baguette Magique :
Chataîgner et crin de Sombral. 20,5 cm, un peu tordue.
Balai :
Eleazar préfère de loin voler sur un hippogriffe
Animal de compagnie :
Une tortue du nom de Casper qu'il a héritée de son frère qui n'en voulait plus. Elea n'a pas d'affection particulière pour Casper mais il refuse catégoriquement de l'abandonner et la trimbale toujours avec lui.
Épouvantard :
Son psychiatre apparaît pour l'interner, une camisole entrave ses bras.
Riddikulus :
C'est son psy qui porte la camisole et qui va être interné
Patronus :
Un gros faucon
Matière préférée :
Soin aux créatures magiques et botanique
Matière détestée :
Potions. C'est pas tant qu'il déteste ça, c'est qu'Elea est du genre à toujours foirer ses potions.
Options (minimum deux) :
Divination Etude des mythes magiques
Rêve d'avenir :
Eleveur de sombrals ou botaniste, il ne sait pas vraiment encore.
Son caractère
Une chose est certaine, si ça n’est pour se venger de tous ceux qui l’ont traité de loser pendant toutes ces années et qui lui ont pourri la vie, Eleazar ne se tournera pas vers la magie noire. Le côté obscur de la force, honnêtement, ce n’est pas son genre. Eleazar est un bon type. Un loser dans l’âme, mais foncièrement pas un mauvais gars. Si vous ne lui cherchez pas de noises, ça n’est pas lui qui fera le premier pas. D’ailleurs, si vous ne le cherchez pas tout court, il ne fera aucun premier pas. Ce n’est pas vraiment de la timidité, mais Elea a terriblement peu confiance en lui, et de ce fait il ne va que rarement spontanément vers les autres. Pour qu’il se force, il faut qu’il y trouve une bonne raison. Sinon, il préfère rester seul, partant du principe idiot que les autres lui auront déjà collé une étiquette de loser avant même qu’il ne s’avance vers eux. A force de réagir comme ça, ce n’est plus tout à fait une idée en l’air.
Méfiant à force d’être pris pour un con en amour comme en amitié, Elea n’accorde pas facilement sa confiance. Il faut dire qu’il s’est fait avoir de nombreuses fois, et forcément ça laisse des traces. Mais gagnez la, et il vous la rendra au centuple. Elea ne demande qu’à être généreux et c’est un ami fidèle lorsqu’il a accordé sa confiance. Étonnamment, s’il se méfie des gens, Elea est resté crédule sur les paroles malgré toutes les conneries qu’on lui a racontées sa vie durant. Pour peu que vous sachiez être convaincant, vous pourrez lui faire avaler la lune et les petits hommes roses qui vivent dessus (Oui, roses, parfaitement, avec des pois verts les jours d’équinoxe).
Parce qu’il a peu confiance en lui-même, Eleazar a toujours eu besoin de prouver à tous, et surtout à ses parents et à ses frères, qu’il n’était pas qu’un incapable. Assidu en classe, il n’a pourtant que rarement ramené des bonnes notes. C’est que notre grand garçon est un rêveur, et qu’il a beau passer des heures à écouter les professeurs ou à lire de vieux bouquins poussiereux à la bibliothèque, son esprit est ailleurs et il peine à se concentrer sur les textes rébarbatifs. A l’inverse , depuis son jeune âge Elea a un don avec les animaux et les plantes. C’est finalement avec la nature qu’il se sent le plus à l’aise, et le fait qu’il ne se sente pas jugé sur tous ses faits et gestes lorsqu’il s’occupe des hippogriffes ou des mandragores n’y est sans doute pas pour rien.
De ce gros complexe d’inferiorité est née une certaine jalousie à l’égard de ceux pour qui, d’un point de vue extérieur, la vie n’est qu’amour et pâquerettes. De manière générale il n’aime pas beaucoup les sang-pur qui ne jurent que par la magie, et a toujours un peu le cul entre le monde moldu et le monde des sorciers. Eleazar n’est pas passionné par les moldus, il ne les trouve ni intéressants, ni exotiques, mais c’est tout simplement son monde et il n’aime pas le sentir rabaissé. Cette non-sympathie est souvent réciproque, les sang-purs qui lui font horreur ne sont généralement pas tendres avec notre quasi-moldu. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur (ahum…) des mondes.
Nous n’avons pas parlé de relations amoureuses et pour cause, Eleazar n’a jamais vraiment eu de relation sérieuse… ni non sérieuse d’ailleurs. Etre pris pour un loser n’aide évidemment pas, mais au-delà de ça, le fait qu’il pioche principalement dans la gente féminine pour ses amies ne joue pas en sa faveur. L’étiquette de gay lui colle à la peau bien qu’il ne soit attiré que par les filles. Mais c’est une question qui taraude assez peu Elea au final. La seule relation qu’il ait jamais eue, en deuxième année, s’est mal finie et il n’est pas spécialement pressé de renouveler l’expérience.
Sa vie
Mes parents ont toujours eu des idées saugrenues. Et quand je dis saugrenues, c’est pour rester poli. Tenez par exemple, Eleazar. E-LE-A-ZAR. Tu parles d’une idée saugrenue. Imaginez la tronche de mes camarades de classe quand ils ont appris mon nom. Un prénom tout droit venu du moyen âge spécialement pour moi. Paraît que ce prénom aurait été celui du grand père de mon grand-père. Faut croire que je n’ai pas été le premier à porter cette ignominie, comme quoi les idées bizarres ça traverse les générations.
Imaginez ces mêmes gamins un peu plus tard et toutes les railleries que j’ai subies par la suite, au milieu des Kevin, Jordan et autres Brandon. Parce que dans une école moldue, les prénoms du troisième arrière grand père, passés de mode depuis quelques générations, ça ne court pas les rues. Ah oui, j’ai oublié de dire que jusqu’à mon entrée à Poudlard, j’étais dans une école moldue. Né moldu ? Non, pas tout à fait, mon père vient d’une famille de sorciers avec une généalogie longue comme un bras. Ma mère en revanche est née moldue et elle a tenu à ce que je bénéficie d’une éducation semblable à celle qu’elle avait connue. Idées à la con j’vous disais. Ah oui, j’avais dit que je resterais poli, pardon.
Et pourtant, en ce qui me concerne, j’aurais pu naître moldu, c’eût été pareil. Mes parents ont fait en sorte que je ne soupçonne rien du monde magique avant mon entrée à Poudlard. J’ai vécu incognito dans une famille de sorciers pendant les douze premières années de ma vie, et ce sous le regard amusé de mes deux frères ainés, nés et élevés en parfait petits sorciers. Ah oui, je suis issu d’un remariage. La première femme de mon père, Anna-Lina, la mère de mes deux frères, a disparu quelques temps avant ma naissance. Mon père dit qu’elle est partie dans un pays lointain, mais Arlen et Isador, mes deux frères, disent c’est un mensonge et qu’elle a été tuée. Pour ma part je n’en sais rien et ça m’est un peu égal. J’ai d’autres problèmes à régler. Toujours est-il que mes deux frères sont des sang-pur et ont grandi dans une heureuse famille de sang pur. Jusqu’à ce que j’arrive.
C’est en entrant à Poudlard que je me suis rendu compte que pendant presque douze ans, j’avais été pris pour un con. Ou peut-être en étais-je simplement un. Arlen et Isador ont été mis dans le coup et prévenus qu’il ne fallait jamais utiliser la magie devant moi ni même la mentionner. Mes parents se sont d’ailleurs arrangés pour qu’à partir de leur entrée à Poudlard, nous ne soyons presque plus en contact. Je ne les voyais que pendant les grandes vacances, lorsqu’ils rentraient de « l’internat ». Et encore, lorsqu’ils ne nous envoyaient pas séparément en colonies de vacances. L’origine de ces idées de génie ? Ce serait sans doute la simplifier un peu que de l’expliquer par une simple querelle de grands parents, et pourtant on n’en est pas si loin. Pour une raison qui m’est encore obscure, ou bien que l’on a voulu me cacher comme tant d’autres choses, les parents de ma mère, moldus pur souche, n’ont jamais su qu’elle était sorcière. Elle ne vivait pas chez eux lorsqu’elle était jeune et… bref, c’est sans importance. Mais pour ma mère, ça en avait. Elle n’a jamais voulu que ses parents apprennent sa vraie nature et c’est la principale raison pour laquelle elle ne souhaitait pas que je connaisse mes origines, pas avant mon entrée au collège. Résultat, mes grands parents prennent mon père pour une espèce d’hippie allumé et essayent depuis des années de faire divorcer ma mère.
Ça aurait pu être simple, ou presque. J’aurais pu avoir une enfance ordinaire comme bien des moldus, et découvrir le monde magique des sorciers à mes douze ans. Mais je n’étais pas un moldu, mes parents non plus, et la sorcellerie bien que cachée, ça laisse des traces. Le grand père de mes frères, par exemple, sorcier sang-pur,a toujours trouvé d’une absurdité effroyable qu’on me laisse dans l’ignorance. Avec le recul, je suis assez d’accord avec lui. Il m’a toujours considéré comme son propre petit fils, et ça n’est que bien plus tard que j’ai compris que pour un sang-pur comme lui, c’était un grand geste. Moi aussi, je l’ai toujours considéré comme mon grand-père. Je l’adorais. Farouchement opposé à l’idée que l’on me cache la part magique du monde, mon grand-père n’a jamais caché ses hippogriffes en ma présence. Plus exactement, il me laissait les voir lorsque mes parents n’étaient pas là, et me faisait promettre de garder ce secret pour nous deux. Sous forme de contes et d’histoires pour enfant, mon grand-père me parlait des créatures magiques, des sorciers de légende. Parfois, je me surprenais à y croire, comme un enfant croit au loup et à toutes les belles histoires de contes de fées. J’y croyais toujours, à l’âge où tous les enfants ont déjà compris que la petite souris et le père Noël n’existent pas. J’y croyais dur comme fer parce que mon grand-père savait rendre ça réel, aussi réel que l’hippogriffe sur lequel il m’avait fait voler une fois quand j’étais petit. Et je racontais ça en classe. Que les licornes existaient, que j’avais volé sur un cheval-aigle ailé, qu’il existait des tas et des tas de créatures magiques.
Inutile de vous préciser que le petit Eleazar, 8 ans, affirmant à ses petits camarades que si si, les licornes c’est joli et ça vole dans le ciel, n’était pas aidé dans la vie et avait fini par devenir le souffre-douleur de toute sa classe. J’appris bien plus tard qu’à cette époque mon père aussi avait eu des soucis avec le ministère de la magie, qui appréciait moyennement ses petits tours d’intégration en milieu moldu. Mais au lieu de céder et de m’introduire au monde des sorciers, mes parents décidèrent de me faire consulter un psy. Par pure connerie, mes parents préférèrent me faire croire que j’étais fou plutôt que de simplement m’introduire au monde de la magie. Et cela fonctionna… relativement bien. Evidemment, je n’eus plus le droit de voir mon grand-père.
Je crois que c’est à partir de là qu’il fallut enterrer ce qu’il me restait de confiance en moi. Je l’avais déjà partiellement perdue en devenant la risée de ma classe, mais il y en avait encore un peu parce qu’au fond de moi je savais que ce que j’avais vu existait réellement, que j’avais vraiment volé sur le dos d’un hippogriffe et que si ces ignares ne me croyaient pas, c’était tant pis pour eux. Après mes séances de psy, je n’étais plus sûr de rien et surtout plus de moi-même. Mes frères faisaient de plus souvent des allusions à la magie et je pensais que c’était pour se moquer de moi et de mes soit-disant délires psychiques. En réalité, ce n’était que négligence de leur part, ils oubliaient parfois que je vivais dans un monde illusoire.
Cette soit disant protection face au monde magique n’est pas la seule à avoir abattu ma confiance propre. Bien que je commençais à cette époque à en douter, je n’étais pas complètement con, et pas aveugle non plus. J’avais bien remarqué que l’on me mettait à l’écart d’un tas de trucs, et que les discussions s’arrêtaient précipitamment lorsque je sortais de ma chambre. Soit disant que l’on voulait me protéger, moi et ma pseudo fragilité psychologique. J’ai assez naturellement pensé que j’étais moins doué que mes frères. Peut-être pas moins aimé, je n’avais pas moins d’attention de la part de mes parents, mais c’était une attention protectionniste, comme on s’occupe d’un faible d’esprit, d’un enfant handicapé ou malade. D’un boulet, en somme. Voilà, vous savez tout de mon complexe d’infériorité que je traîne depuis des années.
Déjà gamin, je ressentais ce besoin de prouver que j’étais capable de faire bien des choses. Lorsque mon grand-père me laissait m’occuper des hippogriffes, j’en éprouvais une réelle fierté. A la maison, j’essayais aussi de prouver ma valeur en faisant bien mes devoirs, en apprenant à faire la cuisine, en m’occupant du jardin ou en me mettant à plein de sports moldus comme le judo ou le tennis. Mais rien ne semblait vraiment m’apporter la fierté de mes parents. Il faut dire que ma mère était bonne cuisinière et que mon père se servait honteusement de la magie pour ce genre de banalités. Alors quand je réussissais à faire un gratin, ça n’émouvait personne. Je dois aussi admettre que ces opérations commando se soldaient souvent par un échec. Je n’étais pas un champion en sports et mon étourderie me fit oublier bien des plats sur le feu. Sans compter que la grammaire et la géographie ne m’ont jamais vraiment réussi.
Mais je m’appesantis beaucoup sur mon enfance qui fut, somme toute, assez ennuyeuse. Elle prit un tournant radical le jour de mon admission à Poudlard. Ce jour maudit où « tadaaaaaam, nous t’avons raconté des conneries pendant douze ans, on t’a bien pris pour un con, c’était drôle. Ah oui en fait, tu n’étais pas fou, bienvenue dans le monde réel ». J’ai avalé la pilule rouge, adieu la matrice, bonjour la réalité, les contrées enchantés, les licornes et les chapeaux pointus. Ce jour où, plus que jamais, je me sentis diminué, trop con pour ne pas avoir compris depuis des années le monde dans lequel je vivais, trop con pour ne pas avoir su que la magie était bien réelle. Mes parents bredouillèrent de rapides excuses, m’expliquant alors qu’ils avaient pensé en me plongeant dans ce monde imaginaire de moldus que je découvrirais la réalité bien plus tôt et qu’ils avaient été surpris eux même que je continue à les croire pendant tant d’années. La petite combine avait pris une toute autre importance que ce qu’ils avaient imaginé Sans doute pensaient-ils m’aider en me disant cela, mais ils ne firent qu’accentuer mon sentiment de stupidité. J’étais vraiment trop con pour ne pas avoir vu la réalité. Mes parents et leurs idées à la con, tout un roman.
Poudlard, fut à la fois une libération et une terrible découverte. Pour la première fois, j’avais l’impression qu’on ne me cachait plus rien. Et en même temps, j’avais l’impression d’être au bord d’un gouffre, que toute ma vie n’avait été que mensonges et supercheries. Une toute autre réalité s’ouvrait à moi et c’était effrayant. Allais-je être en mesure de comprendre ce nouveau monde ? Ou étais-je trop stupide pour appréhender cet univers ? Aussi bizarre que ça puisse paraître, comprendre que je n’étais pas fou et que mes seances de lavage de cerveau chez le psy n’étaient que mensonges n’apaisèrent pas mon esprit.
Nulle surprise que mes meilleurs amis en première année aient été des nés-moldus. J’étais bien plus proche d’eux que des prétendues personnes de mon sang. A ceci près bien sûr que mes amis nés moldus n’avaient pas grandi dans une famille où on leur avait menti toute leur vie. J’aurais aimé mettre ça de côté, me débarrasser rapidement de ce fardeau, mais au lieu de ça je l’ai traîné misérablement, tout comme j’ai traîné ma non-confiance en moi. Je me suis accroché à ce qui, d’après mes parents, n’était qu’un tout petit mensonge de rien du tout. C’est la première fois que j’ai revu des hippogriffes que je suis réellement retombé sur mes pattes. La vie de sorcier, c’était chouette en réalité, et mes parents avaient vraiment, vraiment eu une idée à la con en voulant me couper de ce monde. A ce jour, je ne leur ai toujours pas pardonné et ils me prennent toujours un peu pour le loser de service. Est-ce de leur faute si je le suis un peu devenu ?
Une nouvelle fois, j’ai voulu prouver ma valeur. Je n’avais pas été un moldu parfait, j’avais été un peu con, un peu naif, j’aurais pu mieux faire. Alors je me suis appliqué, me plongeant dans ces bouquins de potions, de sortilèges, passant bien plus de temps à la bibliothèque qu’à entretenir ma vie sociale. Contrairement à ce que j’ai pu croire à cette époque, ça ne m’a pas rendu service. Je suis devenu l’intello de service, les lunettes et les bonnes notes en moins. Et lorsque je me suis rendu compte que les cours et l’assiduité ça n’était pas mon fort, il était déjà trop tard pour ma réputation. J’ai l’étiquette de loser et d’intello qui me colle à la peau, et finalement ça ne change pas grand-chose par rapport à avant. A part les licornes et les fées, bien entendu.
Derrière l'écran
Prénom ou surnom :
Lyc
Age :
hum... un (petit) quart de siècle
Région :
Là hauuut sur la montaaagneuh
Sexe :
C'est un peu direct comme approche dites-donc !
Comment as-tu découvert Ascensio ?
Par Meg
Qu'en penses-tu ?
(au moins tout ça)
Autres chose ?
Euh... les smileys sont cool?
Code du règlement :
Code validé avec (dés)amour par Rubens
Dernière édition par Eleazar R. Jugson le Jeu 25 Sep - 22:12, édité 11 fois
Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Une furie, un Prince de Lu Déchu, un Indiana Jones
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Mer 24 Sep - 21:21
Dans la tradiction SMILEYINVASION de Ascensio :
Ouelkomeuh
Jake : Mon cousiiiiin
Meg : Mon faux copaiiiin
Pounz : POUNNNNZ (Parfaitement explicite XD)
Rubens Cassidy
Gryffondor
Messages : 593 Galions : 510 Âge : 19 ans Classe : L1 Justice Magique, au plaisir de créer ensuite des lois qui évinceront les sangs-purs de mon monde parfait ♥ Avatar : Robert Sheehan
Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Eugenia Bogart & Callum Hodgson & Billie Bambi Fawley
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Mer 24 Sep - 21:34
OH MERLIN TON AVATAR QUOI ! Tu as des goûts géniaux cet acteur est si doué, si parfait dans son rôle, si... bref je cesse de fangirliser, ce n'est pas dans mes habitudes sur les fiches mais là, c'est juste best choice ever Je te n'aime déjà
Mon perso beaucoup moins, j'sais pas, j'le sens pas
Bienvenue sur Ascensio, contente que tu nous ai rejoins et si tu as des questions n'hésite surtout pas à m'embêter, ou mes comparses
Milo E. Burton
Professeur
Messages : 161 Galions : 150 Âge : 32 ans Avatar : Chris Evans
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Mer 24 Sep - 23:41
Comme je le disais à Jakounet, bien que mon Brenny ne puisse tolérer qu'on détourne Meg, perso je suis plus qu'heureuse de t'accueillir dans la famille jolie luciole J'ai hâte de découvrir ton histoire et comme l'a dit Ruby, si tu as des questions ou demande surtout n'hésite pas <3
Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Marlow F. Hodgson
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Jeu 25 Sep - 3:36
Bienvenue !!
Avec le mauvais compte. Donc, si tu es le cousin de Jacob (mon autre compte) ça veut dire que tu es ... Quelque chose avec Marlow ? Je ne sais pas quoi, mais je vais finir par trouver.
Enfin, amuses-toi bien avec nous !!!
Alec Hudson
Professeur
Messages : 1180 Galions : 2120 Âge : 39 ans Classe : Ancien Serdaigle Avatar : Raphaël Personnaz
Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Un alcoolique, un Prince de Lu Déchu, un Indiana Jones
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Jeu 25 Sep - 17:57
Avoir des amis, ça n'a pas de prix ...
... Pour tout le reste il y a Eurocard Megcard (De rieeeeen )
Euphemia A. Grave
Serdaigle
Messages : 187 Galions : 200 Âge : 15 ans Classe : Cinquième année Avatar : Soairse Ronan
Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Abel T. McMillan
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Jeu 25 Sep - 19:49
Euphemia : I want this profile on my datas. [Je veux ce profil dans ma base de donnée)
Abel : Yes. Un looser de plus. On fait le concours ?
PARCE QUE LES WINNER C'EST OUTDATED !
Arya C. McMillan
Gryffondor
Messages : 318 Galions : 270 Âge : 20 ans Classe : M1 Art de la magie Avatar : Anna Speckhart
Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Serena Pendragon & Alan Davis
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Jeu 25 Sep - 21:53
J'aurai pu deviner de qui tu étais l'amie rien qu'en lisant ta fiche, décidément vous vous êtes bien trouvées toutes les deux et le forum n'est pas près de s'ennuyer avec deux loustiques pareils XD Evidemment, je ne pouvais prendre une autre peau que celle-ci pour venir valider ta magnifique fiche, ô grand ami Gryffon *SBAFF*
En tous les cas bienvenue au bercail potite luciole, te v'là officiellement des nôtres
Bienvenue sur ASCENSIO !
Tu es validé(e) !
Te voilà maintenant validé ! Un rang t'as été attribué selon tes informations. Si tu es un élève est donc membre de l'une des maisons de Poudlard, tu peux tout de suite te rendre dans la zone Sablier et poster un petit message dans le topic de la maison, afin de faciliter le comptage des points !
Tu peux donc désormais commencer à jouer. Pour ce faire c'est très simple, tu peux envoyer des MPs aux membres, ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus amples connaissance avec les membres, n'oublie pas d'aller faire ta fiche de liens, ainsi que ton répertoire de topics ! Tu pourras aussi rejoindre des clubs, ils sont importants pour l'intrigue du forum et te permettront peut-être de te trouver des liens plus facilement ! Pour toutes informations supplémentaires, nous te conseillons de jeter un œil à la partie vie scolaire qui regroupent toutes les informations importantes à savoir ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas, le staff est là pour ça !
Toute l'équipe d'Ascensio te souhaite un excellent jeu !
Eleazar R. Jugson
Gryffondor
Messages : 222 Galions : 55 Âge : 19 ans Avatar : François Arnaud
Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes Ven 26 Sep - 16:49
XD Dans le doute je prends ça comme un compliment ! J'ai pas l'intention de m'ennuyer effectivement Merciii pour la validation, j'ai hâte de RP par ici
Euphemia -> Yay, losers forever \o/
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Sujet: Re: Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes
Eleazar R. Jugson ~ Let's see how deep the rabbit hole goes