Oh ! La belle petite fille ! Elle est trop mignonne et si gentille ! Et son sourire … Oh ! Il me fait fondre !

Ouais, voici ce que les adultes pensent et disent généralement de Marlow Flora Hodgson. Il faut avouer qu’elle a toujours le sourire aux lèvres. Telle une fleur, c’est une jeune fille épanouie et optimiste. Elle est si gentille n’est-ce pas … Hm, j’ai manqué quelque chose ? Marlow Flora Hodgson gentille ? Ok. Ici, nous allons décrire son véritable caractère.

Marlow peut apparaître en la fille bien éduquée et gentille, mais c’est certainement pour bien paraître en société. Elle aime paraître telle une personne plus grande et mature. C’est bon pour son père au Ministère de la Magie certainement. Marlow est intelligente et sait quand il faut être correct après tout. Et nah ! En fait, elle n’a absolument pas la langue dans sa poche. Franche, elle fera entendre aux autres ses opinions. Ok, elle peut aussi être manipulatrice et mentir … Mais c’est toujours pour la bonne cause voyons. Certaines personnes sont bonnes à recevoir des leçons. Ils sont méchants. Elle peut être sarcastique, ironique voir se moquer et rire des gens. Elle a le rire facile et malheureusement dans des situations peu recommandables. Ok, Marlow peut être agaçante surtout lorsque les gens l’agacent eux-mêmes : notre pauvre petite fleur innocente. Innocente !!! Hrm, passons je vous pris.

S’il y a un problème, ce ne sera jamais de sa faute. Vous entendez ! Jamais. Puis, si on continue à vouloir la rendre coupable, Marlow peut se tourner vers son père. C’est son modèle. Froid, grand, fort … Elle veut avoir un poste au Ministère de la Magie comme lui dans l’avenir. Pour tout vous dire, malgré tout, malgré qu'elle ne vive plus avec lui la jeune fille l'aime vraiment beaucoup. Elle n'a rien compris du divorce de ses parents. Elle, elle aime encore son papa même si sa maman semble penser l'inverse. Marlow est quand même ambitieuse comme vous avez pu l'observer ci-haut et sans aucun doute déterminée. Vous savez que ses sourires s’étiolent et un sérieux s’empare de son visage lorsqu’en grande concentration. Par exemple, avant sa rentrée à Poudlard, la jeune fille jouait dans une équipe de football. Si concentrée et compétitive, elle jouait pour gagner. Elle joue toujours pour gagner et évidemment actuellement elle veut entrer dans l’équipe de Quidditch de sa maison à Poudlard. Peut-être un tantinet égoïste, elle n’en reste pas moins à aimer ses amis, sa famille. Ok, elle les amène toujours dans les endroits où à faire les conneries les plus tordues. Mais … Mais … C’était pour s’amuser voyons. Elle n'a pas peur de faire des choses pas très légales. Elle veut s'amuser et ne pas rester toujours les fesses sur une chaise à étudier. C’est surtout sa vilaine curiosité qui l’amène à fouiner partout et la rend rebelle. On ne sait jamais ce que l’on trouvera au détour d’une rue ou d’un couloir après tout. Petite fille, elle pensait aider sa mère, pour le journal où travaille celle-ci, en fouinant soit sur le web – qu’elle savait utiliser à ses 5 ans – soit dans la rue ou en espionnant les voisins. Pauvres voisins doit-on dire. Oui, car elle finissait toujours par attirer leurs foudres sur sa famille. Et ses parents qui tâchaient de régler le tout. Enfin, c’était surtout sa mère son père étant alors rarement à la maison.

Marlow est très sociable. Elle est bavarde et adore faire la fête. Longtemps, ok encore aujourd’hui, elle était très capricieuse. Toute petite, elle voulait se coucher seulement lorsqu’elle l’avait décidé. Elle mangeait ce qu’elle voulait … Heureusement, son père savait se montrer autoritaire. Il lui fait peur alors ! Oh ! Mais elle l’adore quand même. Oui, car Marlow est quand même très chouchoutée. Par ses deux parents même si elle voit plus vraiment son père maintenant. Elle a un Wii dans le salon de sa demeure et y joue avec ses amis. La jeune fille adore toute sa famille. Marlow est aussi peu courageuse qu’elle est casse-gueule – je veux dire téméraire. – Les rollercoaster, le sport et les contacts, le BMX, l’escalade dans un arbre ou peu importe quoi d’autre même elle adore. Seulement, mettez-là dans une forêt la nuit avec des loups qui hurlent et elle tremblera de peur. Marlow n’est pas habitué à l’inconnu ou ces endroits peu conviviaux. Il faut, au moins, qu’elle soit accompagnée par des amis ou sa famille. Ah là, elle se fera tout un défi d’y aller quand même. Elle est fière notre petite Marlow. Fière, mais pleurnicheuse et adore avoir de l’affection de par ses parents. Hm … Les deux n’allant pas ensemble, notre fière petite fille évite de trop coller ses parents au-devant de ses amis. Et puis, c’est alors souvent pendant des fêtes publiques. Oh non ! Vous n’avez pas oublié qu’elle veut bien paraître en société.

Certes, malgré tous ses défauts, c’est une bonne amie. Ok, elle est forte et n’aime pas la faiblesse – malgré qu’elle puisse l’être aussi parfois, mais chut. - C’est une personne qui, si vous êtes dans son cœur, pourra tout faire pour vous. Attention, elle vous en voudra si c'est l'inverse.

   

Marlow Flora Hodgson née le 5 août 2004 soit un bouton de rose qui se transforme de plus en plus en une merveilleuse fleur. Son deuxième prénom est celui de sa grand-mère maternelle alors que sa mère le trouva juste pour sa petite fille chérie. Le prénom Marlow a été choisi par son père. Aller donc savoir ce qui traversa l’esprit de cet homme pour trouver un prénom aussi original pour sa fille. Bah, notre innocente fleur aime son prénom et aime encore plus son père. Elle ne s’en formalise absolument pas. Les Hodgson vivent à Londres dans une demeure toute britannique pouvant rappeler celle du 4, Privet Drive même. – Vous connaissez le 4, Privet Drive quand même ? Ouf. Ok, merci. – Marlow a été très chouchoutée durant sa toute petite enfance voir même son enfance. Malgré que son père ne fût pas toujours à la maison, elle lui sautait littéralement dessus dès son retour. Marlow adore son père. Toute petite, elle imitait son attitude froide et austère à la manière d’un petit soldat à la guerre. C’est son modèle pour tout dire même si elle n’était pas toujours d’accord avec les règles instaurées.

Va dormir à 20 h : 30, monte dans ta chambre, ne vas pas descendre la rue en rollerblade parce que c’est dangereux. Beuhhh … Marlow faisait alors tout le contraire. Puis, plus l’activité est dangereuse et plus la jeune fille semble y être attirée comme un aimant. Comme son escalade d’un arbre à 6 ans. Tout ceci s’était terminé en pleurs et à l’hôpital. Quoique, un mois plus tard après qu’on lui enleva le plâtre, notre jeune demoiselle recommençait au grand dam de ses parents. Sa mère, surtout, avait très peur pour sa petite fille.

Ah oui en parlant de sa mère ! Il faut que l’on parle absolument de l’idée lumineuse de Marlow. Elle avait 5 ans tout juste un an avant le petit incident de l’arbre. Sa mère travaillait à son journal et, au sol, vous aviez la petite Marlow qui farfouillait dans les papiers de recherches. Elle trouvait pleins de choses intéressantes : les derniers résultats sportifs, l’horoscope, les affaires politiques dont elle ne comprenait absolument rien évidemment, les nouveautés cinématographiques et … Les meurtres. Horrifiée de voir sa petite fille le nez sur un article plutôt sanglant, sa mère le lui pris des mains. Elle lui proposa alors de l’aider en cherchant des articles intéressants sur Internet. C’était plutôt une idée innocente pour trouver une autre activité à sa fille que celle de fouiller dans les derniers meurtres londoniens. Certes, Marlow l’amena un peu trop loin elle. Tout le reste de l’après-midi, elle chercha des données sur le web malgré que ce fut plutôt « s’amuser en trouvant des chansons et des bandes-dessinées en ligne. » Elle décida, munie de ses jumelles, d’espionner les voisins. Bah oui, elle va certainement trouver le scoop pour sa mère. Non ? Derrière sa clôture ou même dans la rue elle pouvait alors passer des heures à observer le voisinage. Soupirant, sa mère ne s’en faisait pas trop. Du moment que Marlow s’amusait. Elle ne faisait rien d’illégal après tout. Devrait-elle pourtant s’en faire ? Oui, car Marlow trouva son voisin de gauche très louche. Il allait absolument tous les jours dans son garage ce dernier restait alors éternellement fermé. Tous les jours, notre petite curieuse observa cachée derrière sa clôture et les jumelles en main l’homme étrange. Un jour, il la vit. Surprise, elle eut tellement peur. La petite fille se figea sur place et soudainement une explosion eut lieu ! Le garage du monsieur prit feu. Horrifiée, Marlow détala dans sa chambre. Elle y resta cachée tout l’après-midi. En tout cas, tout le temps où les pompiers et la police restaient présents pour soit éteindre les flammes soit faire une enquête sur la cause de tout cela. Le voisin vint discuter avec sa mère, par la suite, de l’incident. Il pensait Marlow coupable de quelque stupidité. En somme, personne ne comprit vraiment le pourquoi du comment de la soudaine explosion du garage annihilant par le fait même la sculpture en bois que fabriquait le pauvre homme. Et non Marlow ! Le voisin ne cachait pas de cadavre ! Seuls les Hodgson purent comprendre ce qu’était l’explosion. Par la peur, mais surtout la surprise encourut, Marlow usa pour la première fois de magie. Un membre du Ministère de la Magie tout comme des Oubliators firent même un petit tour dans le quartier. Oui, on était mécontent. Certes, les Hodgson étaient aussi heureux pour leur petite princesse. Elle était une Sorcière : c’était maintenant confirmé. Cela redonna le sourire à Marlow et encore plus lorsqu’un Oubliator lui dit sur un ton jovial et gentil: « Mais non, on n’envoie pas un enfant à Azkaban parce qu’il a fait explosé le garage de son voisin. »

Alors, la vie reprit son court. Non, Marlow n’arrêta pas d’être curieuse ni fouineuse au grand dam de tout le monde. Elle apprécie beaucoup, toutefois, les Oubliators pour avoir fait oublier au voisin cette mésaventure. Avant la visite des Oubliators, le monsieur observait la petite fille sur un air ronchon semblant vouloir dire : « Ah ! Cette petite ! J’aimerais qu’elle disparaisse de ma vue ! » Certes, dès que notre Marlow devint élève en école primaire, elle devint pire encore. Dynamique, sociable elle ramenait toujours des amis à la maison. Là, ils jouaient voir on se rendait aussi compte d’escapades dans le quartier à la recherche de choses étranges. Merci Marlow. Étant enfant unique, elle voulait inconsciemment discuter et jouer avec des enfants de son âge. Toutefois, Marlow était aussi une bonne élève. Ok, lorsqu’elle n’était pas toujours en retenue pour bavardage incessant ou moquerie envers l’un de ses pairs. C’était une élève très populaire qui s’habillait toujours au goût du jour. – Au fait, elle continue encore d’être à la mode. – Marlow préférait les matières où on bougeait. Ok, il n’y en avait pas beaucoup effectivement. En art, on restait debout et elle aimait créer. Parfois, on s’occupait des plantes ce qu’elle aimait aussi. Ok, même les mathématiques. Bien oui, elle se concentrait tellement qu’on ne l’entendait plus. Enfin, un peu de silence que nous pourrions dire. Néanmoins, la matière préférée de Marlow était bien l’éducation physique. Elle se faisait même une fierté de battre les garçons à la course ou au football. Elle était inscrite dans une équipe junior féminine de football. Plutôt bonne attaquante, elle s’attristait que son père ne vienne pas souvent la voir jouer. Cela commença vers ses huit ans surtout. En fait non ! Son papa travaillait fort au Ministère de la Magie. Ce n’était pas de sa faute. Puis, Marlow voulait jouer au Quidditch aussi. Dès qu’elle sera en âge d’aller à Poudlard, se disait-elle toujours, elle jouerait au Quidditch. Elle adore les hauteurs et le vent … Elle aime ressentir le vent se fouetter sur son visage. Pour le moment, même si elle en voudrait plus, Marlow joue au football et fait la fête avec ses coéquipières – et amies même – après chaque victoire.

Puis, la catastrophe arriva. Dans le cœur d’une jeune fille telle que Marlow l’apparition de la marque des ténèbres à l’automne 2013 lui passa littéralement par-dessus la tête. Puis, elle était si loin de Poudlard. Non. C’était ses parents qui semblaient se disputer de plus en plus. Noël fut rude. Enfin, gracieuseté de la parenté – sauf son grand-père paternel qu’elle ne vit jamais pour une raison inconnue – la fête alla bien. Entourée de ses grands-parents maternels et de cousins, Marlow s’amusa bien. Certes, la jeune fille de 10 ans tâchait toujours d’approcher ses parents. Elle leur soufflait d’arrêter de discuter avec ce ton. Rien à faire. Ils étaient aussi têtus l’un que l’autre. Un jour, on était au mois de janvier, sa mère parla de quitter la maison et de l’amener avec elle. Laissant derrière les choses trop lourdes telles son Wii, mais c’était surtout son père qu’elle ne voulait pas quitter, Marlow essaya de comprendre pourquoi sa mère ne voulait plus vivre avec lui. Elle eut une réponse étrange, mais surtout que la jeune fille ne comprit absolument pas.

Aujourd’hui, Marlow vit encore avec sa mère dans la maison de ses grands-parents maternels. C’était une demeure typiquement sorcière cachée aux yeux moldus indiscrets dans Londres. Il y avait une odeur de boule à mite dans toutes les pièces et … Aucune télévision ! Aucune ligne internet que ce soit Wi-Fi ou autre. À croire que les Sorciers de l’ancienne génération étaient restés scotchés en 1900 et n’avaient pas évolués depuis. Nul ! Avec la Gazette du Sorcier, Marlow apprit quelques actualités justement telle que les complots subsistants sur un renouveau de la marque Mangemort. « Si on doit abandonner toute notre technologie, s’habiller en noir et sentir la boule à mite toute la journée, pour moi c’est non » pensait-elle alors.  Au moins, Hebdo Sorcière apportait des articles plus intéressants comme la nouvelle coupe de cheveux féminine à la mode. Marlow restait au moins dans la même école. Sa meilleure amie lui faisait oublier tout cela malgré qu’elle ne put inviter personne dans sa nouvelle demeure faute qu’elle soit trop « Sorcière » pour des Moldus. Parfois, la jeune fille retrouvait son père. Elle s’ennuyait de lui, mais n’osa pas lui demander ce qui a causé la séparation et tout le bouleversement qui s’ensuivit. Enfin, pour le moment.

On approchait les vacances d’été et les élèves de Poudlard allaient terminer bientôt une nouvelle année. L’excitation commençait à se percevoir chez Marlow. Elle avait dessiné les quatre logos des maisons de Poudlard et ils étaient maintenant accrochés au-dessus de son bureau. Dans quelle maison serait-elle ? Elle allait recevoir dans un mois tout au plus sa lettre de Poudlard. Bientôt …