Feuille de personnage Options : Niveau du sorcier : Double compte : Une furie, un Prince de Lu Déchu, un Indiana Jones
Sujet: Jake A. Jugson # I find no comfort in what my mind can comprehend Jeu 15 Mai - 17:34
Jacob Archibald jugson
This is 10% luck, 20% skill 15% concentrated power of will 5% pleasure, 50% pain And 100% reason to remember the name
Nom de famille :
Jugson. Peu de personne se rappelle véritablement de la participation des Jugson à la cause des mangemorts même si les allégeances de mon père n'ont, selon moi, jamais fait de doute.
Prénoms :
Jacob est mon premier prénom et par conséquent celui le plus usité. Mon père cependant s'acharne encore et toujours à m'appeler par mon deuxième prénom, Archibald, que j'ai hérité de mon grand-père ... Un homme que je n'ai jamais connu mais de ce qu'on m'en a dit, il s'agissait d'un homme imbuvable.
Age :
21
Date et lieu de naissance :
7 juillet 93 à Londres
Qualité du sang :
Mêlé (du côté de sa mère)
Orientation sexuelle :
Hétérosexuel
Statut social :
Célibataire
Avatar :
Chace Crawford
Le choixpeau m'a envoyé à
Serdaigle
L3 Recherche en magie expérimentale
Baguette Magique :
Bois de Sycomore, 31cm, crin de Kelpy
Balai :
Eclair de feu
Animal de compagnie :
Lux (prononcé Loux), est un fléreur de 8 ans à la fourure ocellée
Épouvantard :
Mon épouvantard est l’exacte copie de mes terreurs nocturnes : j’y vois ma mère, agenouillée, avec 3 personnes encagoulée la menaçant d’une baguette. Au dernier moment l’un d’eux dévoile son visage et je reconnais mon père. Il pointe alors sa baguette sur moi, s’apprêtant à prononcer le sortilège impardonnable, alors que les deux autres s’occupent de ma mère.
Ridiculus :
Je n’ai jamais réussi à produire à Ridikulus digne de ce nom. Dans mes maigres tentatives, ils arrachent tous leurs cagoules, sortent des feux d'artifice magique, s'apprêtant à faire la fête, ma mère y compris. Au dernier moment, une engueulade violente éclate entre eux et retour à la case départ.
Patronus :
Un fléreur
Matière préférée :
Potions
Matière détestée :
Histoire & Civilisations du monde magique
Options (minimum deux) :
-Alchimie
Rêve d'avenir :
Sur le plan personnel, mes priorités sont d'arriver à dépasser mes terreurs nocturnes et l'autorité tyrannique de mon père et d'élucider le meurtre de ma mère -et, éventuellement, de faire payer à qui de droit. Sur le plan professionnel j'aimerais continuer dans la recherche expérimentale afin de faire avancer la médecine magique. Et pourquoi pas, un jour, inventer le premier concours sorcier d'invention de potions... On l'appellerait le Prix Jugson !
Son caractère
Vis ma vie : Dans la tête d'un Fléreur
Si on devait demander leur avis aux gens qui connaissent peu Jake, la première chose qu’ils vous diraient serait sans doute quelque chose comme « Jugson ? A Serdaigle ? Je ne sais pas ce qu’il a pris le choixpeau ce jour là, mais ça devait être de la bonne ! Sages érudits, qu’ils sont censés être, les bleus et bronzes … J’ai du mal à voir ce qu’il y a de sage chez ce bouffon d’ivrogne. » Les façons de le dire varient, le fond, lui, est constant.
Derrière des airs légers et peu sérieux, il est extrêmement réfléchi. Il aime cependant faire croire aux gens qu'il est insouciant et immature parce qu'il préfère qu'on le sous-estime. Il n'aime pas que l'on mette trop d'attente sur lui estimant que son père le fait déjà bien assez pour tout un régiment. De ce fait, Jake passe souvent pour bien plus bête qu’il ne l’est véritablement.
La relation conflictuelle que Jake a avec son père détermine grandement sa relation aux autres. Son paternel a en effet le talent incomparable de lui faire sentir qu’il est une déception permanente. Peu importe ce que Jake fait, ce n’est forcément pas assez bien. Ses décisions sont sans cesse remises en question, tant et si bien que le garçon n’essaye même plus d’en discuter. Régulièrement, à l’image de ce que certains étudiants peuvent penser, son père remet en question le fait qu’il soit chez les Serdaigles, ses phrases préférées étant « Toi, sage et réfléchi ? On aura tout vu, à quand un Serpentard mou du g’noux et un Gryffondor qui a peur de son ombre ? » « Je suis étonné qu’on ne t’ait pas encore viré de ta maison au vue de tes résultats et de ton manque d’intérêt consternant ».
Dès ses premières années à Poudlard, les professeurs s'accordèrent pour dire qu'il avait du potentiel, mais tous leurs encouragements ne le firent pas s'investir d'avantage : Jake faisait le strict minimum. Lassé de subir la pression de son père, il avait vite compris que plus il passerait pour un élève médiocre, plus on lui ficherait la paix. La seule exception était le cours de potion dans lequel, inexplicablement, le garçon s'investissait remarquablement. Ce qu'aucun professeur ne sut jamais, c'était le motif derrière cette bonne volonté : Jacob avait rapidement identifié les potions comme étant une de seules solutions à ses terreurs nocturnes, et la maîtrise de cet art lui apparaissait donc comme essentiel, pour ne pas dire vital. Son implication dans cette matière était de plus une excellente excuse pour négliger les autres cours et se fondre dans la masse.
Pourtant, en passant un peu de temps aux côtés de Jake, on se rend rapidement compte que le garçon est bien plus malin que ce qu’il veut bien montrer. Très adroit avec les mots, beau parleur diraient certains, il règle tous ses conflits par la discussion. Il aurait probablement fait un excellent négociateur ou diplomate, mais il se fiche trop de tout pour s’engager sérieusement dans cette voie. Pendant que le reste du monde perd son temps à le sous-estimer, il a tout le loisir de faire ce qu’il veut de sa vie : régler ses problèmes, construire ses projets. Et s’il sait ce qu’il veut, on ne peut pas vraiment dire qu’il est ambitieux. Au contraire, comme pour s’opposer encore d’avantage à son père, Jake a des visées plutôt modestes en termes de position sociale ou professionnelle. Clairement : le jeune homme a autre chose en tête.
Et lorsqu’il est sous les effets de la potion d'ivresse, le cerveau de Jake est anesthésié et ses capacités cérébrales quasiment annihilées. Le Serdaigle devient alors une espèce de coquille vide, dotée d'une parole dont il ne sait plus quoi faire : les cordes vocales sont là, l'esprit n'y est plus. Et si d'habitude il joue merveilleusement à l'imbécile, dans ce cas précis il est un parfait imbécile.
Personne ne s’étonnera vraiment si je vous dis que ce cher Jacob a été célibataire presque toute sa vie ? Après tout, avec la réputation ignoble qu’il se trimballe, difficile de vraiment séduire ces demoiselles… sans compter son côté très torturé, et le fait qu’il préfère laver son linge avant de s’occuper de la lingerie des autres –et je le cite personnellement sur le sujet.
Il est cependant un ami fidèle et dévoué. Il faut dire que des amis, il n'en a pas beaucoup, alors forcément il les soigne aux petits oignons. Jake peut se montrer très attentionné lorsqu'il tient à quelqu'un, et vous pouvez certains que ce que vous lui offrirez, il vous le rendra en mille.
Ironie du sort, même si beaucoup de gens pensent que Jake est un peu con, ils s’accordent également pour dire qu’il a un instinct particulièrement fiable, presqu'un détecteur de mensonge intégré… alors que tout le mérite me revient. Peu de gens le savent mais les fléreurs ont un 6eme sens concernant les gens auxquels ils peuvent se fier ou non, et je ne fais pas exception. De ce côté, Jake me fait une confiance aveugle : si je me méfie de quelqu'un, il sait à quoi m'en tenir. Du reste, le Serdaigle sait que je suis son meilleur allié et confident : ce n’était pas comme si je pouvais vous répéter tout ce que je sais sur lui après tout.
Sa vie
« Quand exactement ont commencé les terreurs nocturnes ? »
Assis sur le petit canapé plus confortable qu'on ne l'aurait cru au premier coup d'œil, j'étouffai un bâillement. Ce n'était pas qu'elle m'ennuyait avec ses questions, mais le principal souci des terreurs nocturnes, c'était que je dormais peu et mal. Pour quelqu'un qui, comme moi, avais besoin de beaucoup d'heure de sommeil, c'était une vraie torture. Une torture qui durait depuis des années déjà. 9 ans, c'était le nombre d'années qu'il avait fallu à mon père pour réaliser que je n'étais pas un enfant capricieux qui s'amusait à lui massacrer les tympans la nuit par choix. J’avais du attendre 14 ans pour consulter pour la première fois quelqu’un, et aucun « conseiller » n’avait jamais véritablement réussi à m’aider depuis.
« Depuis la mort de ma mère »
Répondis-je finalement, plaçant ma main devant ma bouche pour dissimuler un autre bâillement. Une fois que c'était parti, impossible de les stopper.
« Diriez vous que les deux événements sont liés ? »
Là, je fus bien obligé d'hausser un sourcil. Si les deux événements étaient liés ? Non, non, sans doute une heureuse coïncidence. J'étais dans tous les cas trop fatigué pour hausser le ton ou m'énerver, aussi me contentai-je d'un :
« Je dirais que les deux événements sont reliés, ouais »
Elle hocha la tête, et la plume à côté d'elle se mit à noter quelque chose sur le carnet rouge sang posé à côté d'elle.
« Cet événement n'est pas récent, n'est-ce pas ? »
Je passai ma main sur mon front, songeant que la migraine n'allait pas tarder à ramener sa fraise à ce rythme là.
« J'avais 5 ans, donc non, pas franchement récent »
J'en étais encore à essayer de comprendre en quoi me faire dire tout ce qu'elle savait déjà allait m'aider avec ses fichues terreurs.
« Connaissez vous les circonstances exactes de sa mort ? »
Elle osait poser ce genre de question avec un air égal et froid, comme si elle me demandait si je savais faire monter une mayonnaise -et la réponse était non.
« Non, j'étais trop petit »
Mentis-je. Ou était-ce un mensonge ? Je ne le savais pas moi même. Si j'avais accepté de venir ici c'était avant tout dans l'espoir d'en savoir plus, mais cette femme ne m'inspirait pas confiance, ce qui ne me donnait pas la moindre envie de me confier.
La vérité, c'était que je pensais que le contenu même de mes cauchemars était en fait ce dont je me souvenais de cette soirée, mais il m'était impossible d'en être sur, ce qui amenait d'autant plus de frustration.
Le meurtre de ma mère avait eu lieu en période de guerre. Mes parents s'étaient séparés parce qu'ils ne partageaient pas les mêmes points de vue idéologiques, et je vivais donc seul avec ma mère à ce moment là. À part ceci et la date de sa mort, je n'ai aucune certitude quant aux détails de ce que je pense être son meurtre. Dans ces terribles visions qui hantent mes nuits, je vois 3 personnes encagoulées qui font irruption dans notre maison, font s'agenouiller ma mère en ignorant ma présence et mes pleurs, avant de l'achever d'un Avada Kedavra. Je ne saurais dire pourquoi, mais j'ai toujours été persuadé que mon père était derrière tout cela, sans jamais pouvoir le prouver à quique ce soit, pas même à moi même. Je n'en ai par conséquent jamais parlé à personne.
Depuis ce jour, j'ai vécu avec mon père. J'avais 10 ans lorsqu'il s'est remarié à Katrina. Cette femme n'a jamais été un substitut de mère pour moi mais je dois dire que je l'aime bien. Elle n'hésite d'ailleurs jamais à prendre ma défense lorsque mon père décide de s'en prendre à moi.
Les premières années à Poudlard ont été difficiles, je m'en rappelle encore. Les terreurs nocturnes me mettaient dans un état constant de fatigue. Je ne sais plus combien de potions l'infirmier a essayé sur moi, je sais seulement qu'aucune ne fonctionnait. Aucune surprise à ce que ma matière favorite devienne rapidement les potions : c'était la chance inespérée pour moi de trouver mon propre remède ! Mais cela prendrait du temps, un enfant de 11 ans n'étant bien évidemment pas capable d'inventer des solutions miracles. La découverte de l'alcool à 16 ans fut une vraie révolution pour moi. Du moment où je compris que l'ivresse réduisait les cauchemars, à défaut de les faire totalement disparaître, j'en fis ma consommation quotidienne. Les rumeurs sur mon alcoolisme commencèrent peu de temps après, et je me souviens qu'éviter mon renvoi fut une bataille de toutes les semaines pour mon père, qui avait au passage trouvé une autre raison de me mépriser. À partir de ce moment, je dus me faire beaucoup plus prudent sur ma consommation d'alcool. J'avais trouvé dans les fêtes étudiantes la planque parfaite pour boire sans passer pour un ivrogne solitaire. Ironiquement, ma réputation auprès des autres étudiants n'en fut que plus glorieuse. Buvez seul et vous êtes un déchet, buvez accompagné et vous êtes quelqu'un de fun.
Les rumeurs se tassèrent un peu, me rendant la vie moins miséreuse au moins à Poudlard. Évidemment, à le maison, c'était une autre histoire. Fils ingrat, fainéant, fouteur de merde, bon à rien, cas désespéré, la formule variait mais le sentiment demeurait : chaque jour passé aux côtés de mon père était un nouveau procès de ma personne. Ce qu'il me reprochait concrètement ? À part d'exister, je n'en étais pas certain.
Sortant de ma torpeur pensive, mes yeux bleus se posèrent sur la femme qui m’observait. M’avait-elle posé une question alors que j’étais dans la lune ? Je l’ignorais. Son regard était fixé sur moi, impossible de savoir si c’était parce qu’elle attendait une réponse de ma part ou simplement pour essayer de lire en moi. Elle pouvait toujours courir : j’étais passé entre les mains et sous les yeux d’un bon nombre de spécialistes, aucun n’avait réussi à percer ma carapace. Je ne voyais pas pourquoi celle-ci ferait exception.
« Comment qualifieriez vous votre vie, aujourd’hui, Jacob ? »
Le haussement de sourcil était tentant, mais je me forçai à garder un air neutre. De toutes les questions qu’elle m’avait posées dans la dernière heure, celle-ci était, de loin, la plus risible. Comment résumer ma vie ? Les terreurs nocturnes n’avaient jamais cessé de me fatiguer et m’affaiblir. Mes seules échappatoires étaient l’alcool ou cette potion que j’avais réussi à concocter il y a 4 ans. Maintenant que les visions d’horreur ne se cantonnaient plus aux cauchemars nocturnes, mais commençaient à envahir mes heures d’éveil, je redoutais de plus en plus le jour où la folie prendrait le dessus sur la raison. J’avais peur. Je cachais cette peur sous des couches de faux sentiments, mais elle était bien présente, et tenace. Combien de temps encore mon pauvre cerveau pouvait-il supporter tout cela ? Combien de temps avant que l’on ne décrète qu’une cellule à St Mangouste était plus appropriée qu’un dortoir pour moi ?
« Parfaite »
Soufflai-je, dissimulant mon envie de ricaner derrière un sourire délicat.
« Ma vie est parfaite »
Que pouvait-elle répondre à cela ? Sans doute rien. C’était le but. Elle avait eu sa chance, je ne voulais pas d’elle dans ma tête. J’avais trop de choses dans ma tête. La séance était terminée, et je ramassai mes clics et mes clacs par des gestes lents, maîtrisés. Tout maîtriser était devenu une obsession, comme si ça pouvait compenser ce que je ne maîtriserai jamais : ma santé mentale. Je fermai les yeux, un instant, préparant mon mensonge.
« Merci Madame, cette séance m’a beaucoup apporté »
Y croyait-elle ? Oui, non, peut être, je m’en fichais, comme de tant d’autres choses. Je ne comptais pas la revoir, et me préparai déjà à la discussion que j’avais eu 500 fois avec mon père, à base de « Il faudra bien que tu laisses quelqu’un t’aider » et « tu préfères devenir cinglé plutôt que de laisser quelqu’un s’occuper de toi ? ». De jolis mots qui voulaient plutôt dire « Arrête d’attirer la honte sur toute notre famille ». Les yeux inquiets de Katrina vogueraient entre lui et moi, ne sachant que dire pour apaiser tout le monde. Moi qui détestais l’inertie, l’ennui, la répétition, me voilà coincé dans ce schéma pénible, cette boucle infinie.
Derrière l'écran
Prénom ou surnom :
Lou
Age :
De toutes les déraisons
Région :
Est
Sexe :
I’m a Lady… ou presque
Comment as-tu découvert Ascensio ?
En y jouant un Serpy à l'esprit très famille et une Gryffone au coup de poing leste
Qu'en penses-tu ?
Je pense que Ascensio c'est le bieng
Autres chose ?
Me revoualàààà
Code du règlement :
Potty Pottam sur son nimbus2000
Dernière édition par Jacob A. Jugson le Jeu 29 Mai - 10:28, édité 18 fois
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Sujet: Re: Jake A. Jugson # I find no comfort in what my mind can comprehend Jeu 15 Mai - 17:37
Chace Crawford
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Jake A. Jugson # I find no comfort in what my mind can comprehend Jeu 15 Mai - 17:40
Bienvenue à toi, et bonne fiche
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Sujet: Re: Jake A. Jugson # I find no comfort in what my mind can comprehend Jeu 15 Mai - 17:56
Bienvenue à toi
Phineas Thornquill
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Messages : 1025 Galions : 165 Âge : 19 ans Classe : L1 Justice magique Avatar : Jesse Eisenberg
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Sujet: Re: Jake A. Jugson # I find no comfort in what my mind can comprehend Dim 18 Mai - 16:22
Merci encore et encore
Ooow Serenouillette, désolée de te perturber avec l'avatar J'essaierai de faire quelque chose de pas trop mal avec Chaçounet
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Sujet: Re: Jake A. Jugson # I find no comfort in what my mind can comprehend Dim 18 Mai - 19:17
Très jolie fiche, j'ai adoré la lire Jacob est super intéressant, j'ai bien hâte de voir ce que ça donnera en RP Réserve-moi un lien entre serdys en tout cas je te valide, n'oublie pas de poster dans le sablier
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Sujet: Re: Jake A. Jugson # I find no comfort in what my mind can comprehend Dim 18 Mai - 19:40
Re-bienvenue On manquait de serdaigles masculins et beau de surcroît