Un petit bruit sec d'ailes réveillât le sorcier endormis. Sur une étagère, un vieux faucon venait de se réveiller et ne supportait pas de voir son maître encore dormir alors que lui même était debout. Vitali se redressa dans son lit, se grattant doucement la joue ou une fine barbe drue et grise avait poussé dans la nuit. Grognant un bonjour dans sa langue maternel destiné à l'oiseau mal luné, en réponse le faucon secoua ses plumes, levant un petit amas de poussière dans la lumière de l'aurore qui filtrait au travers des lourds rideaux qui cachaient les grandes fenêtres de la chambre du professeur. Après s'être assis sur son lit, le sorcier russe passa ses pieds dans ses pantoufles et attrapât sa canne, toujours un peu plus courbé le matin que dans le reste de la journée, ou il gardait une posture droite et distinguée, il se dirigeât vers la salle de bain afin de s'y préparer sans prendre le temps de regarder l'heure qu'il était vraiment, si il avait prêté plus d'attention à son horloge, il aurait certainement eut la surprise de voir que son animal de compagnie venait de le sortir du lit avec une bonne heure d'avance sur l'emploi du temps matinal de Vitali.
Après s'être fait tout beau, le professeur passa une chemise noir, une cravate violette et mis sa veste rayée sur les épaules. Passant ses chaussures laquée, il jeta un coup d’œil à son profil dans le miroir, il se ressemblait, toujours le même visage froid que certains considéraient comme hautain alors qu'il était bien plus doux et généreux que ce que laissait entrevoir son physique ou les échos que l'on pouvait avoir de son passé. Traversant la pièce afin de faire son lit et d'ouvrir les rideaux, il déposa quelques graines sur l’étagère ou se trouvait son compagnon de toujours et se dernier le gratifia d'un coup de bec amical sur la main en remerciement. Les rayons encore timide de la matinée entrèrent dans la pièce éclairant le lieu. Une fois le lit fait et ses quelques affaires rangées, le professeur jeta enfin un regard vers l'horloge, un fin sourire se dessina sur ses lèvres, puisqu'il était debout, autant profiter un peu du calme de l'école. Son bureau se trouvait au cinquième étage, là ou se trouvait la salle d’entraînement où il officiait, mais aussi là ou se trouvait ses appartements, Vitali avait longtemps cru que la Directrice de l’École avait mis tous cela en place en pensant aux commodités à apporter à une personne souffrant de handicape comme lui, mais en faisant quelques recherches sur l'école il se rendit vite compte que ce n'était en réalité qu'un heureux hasard et un concours de circonstances. Malgré son boitement, Vitali avait une démarche souple et alerte, il se mouvait avec facilité dans Poudlard et il lui arrivait même d'être plus discret et rapide que certaines personnes ne possédant pas sa mobilité réduite. S'approchant du faucon il lui adressa deux mots en russes et ce derniers se plaça sur son épaule. En règle général, Vitali ne se déplaçait pas avec Boursk, mais ce matin il avait envie que son ami et animal l'accompagne, une fois que les cours commenceraient l'oiseau vivrait sa vie dans le château, mais ce matin c'était en duo qu'ils quittaient les appartement du Professeur Oulianov et qu'ils arpentèrent les lieux. Dans les tableaux beaucoup de personnages dormaient encore. L'heure n'était pas au réveil et l'école encore en majorité endormis ne devait fourmiller pour le moment que dans les sous-sols, ou les elfes de maisons, payés et actifs devaient être en train de préparer les copieux petits déjeuners des élèves. Le petit déjeuner était un moment important pour tant de jeunes gens en pleine croissance et qui utilisait tant leurs méninges et leurs physiques dans la journée. Vitali étant particulièrement gourmand, appréciait ce moment ou il pouvait observer chacun se réveiller autour de leurs assiettes, là ou fourmillait la vie, fourmillait l'espoir après tout.
Traversant deux étroits couloirs il se retrouva dans un prolongement plus long d'où les fenêtres donnaient à vu le lac noir, sublime en ce début de matinée, marchant avec allégresse, faisant claquer sa canne à chacun de ses pas, Vitali profitait du moment. C'est alors qu'il arrivait au bout de ce lumineux couloirs enchanteurs, qu'il vit devant lui une petite tête brune, deux yeux bridés et un air quelque peu perdu. Inclinant légèrement la tête sur le coté il considéra un instant le jeune homme. Un Serdaigle, il lui semblait bien que c'était un septième année, il l'avait déjà croisé à plusieurs reprises dans le châteaux et si sa mémoire était toujours aussi bonne et ses souvenirs exacts, il possédait lui aussi un handicape, quoi que beaucoup plus contraignant que celui du professeur.
S'approchant du jeune homme il s’arrêta à son niveau et lui sourit simplement. Sur son épaule, Boursk poussa un petit cri perçant avant de fixé à son tour le jeune homme.
Vitali sorti alors sa baguette, et la gigota en cercles précis dans les airs, de fines lettres en paillettes d'ors s'inscrivirent alors dans les airs.

- Que faites – vous dans les couloirs de si bon matin Monsieur Williams ? -

Le professeur de Duel avait une très bonne mémoire des prénom, surtout lorsque celui-ci était possédé par un élève possédant une si rare particularité, en effet Yezekiel Williams était sourd et muet, et prenait un traitement spécial afin qu'il puisse suivre à peu près correctement les cours. Les professeurs de l'établissement avaient parlé à quelques reprises du cas du métis, et Vitali avait porté une attention particulière à leurs discussions, bien que ne le possédant pas dans son cours, comment rester indifférent à une personne si différente des autres ?

Marcher, marcher et encore marcher. Je ne me rendais pas compte d’où j’allais, tout ce que je savais c’est que j’étais perdu dans ce couloir qui me paraissait à présent tellement grand. Je commençais d’ailleurs à respirer doucement pour ne pas que je fasse une crise, je n’avais aucune envie de me mettre à pleurer ici. Tout ce que je voulais, c’était partir d’ici et ne pas croiser de gens susceptibles de s’en prendre à moi. Je finis pourtant par m’arrêter pour regarder aux alentours, espérant reconnaitre un élément qui pourrait m’indiquer ma position ou au moins me dire si je suis déjà passé par là ou non. Une ombre près de moi me fait relever la tête et je vois un homme qui m’offre un sourire. Il est plus grand que moi, je ne suis pas spécialement grand pour mon âge, et il a un air majestueux avec son faucon sur l’épaule. J’en fus bouche bée et je ne sus que faire pendant plusieurs secondes, restant là à le regarder. Il était plutôt élégant et je crus reconnaitre un professeur que j’avais déjà vu de loin. Un professeur des cours universitaires, semblerait-il. J’eus l’impression que le faucon me toisait perché ainsi et cela me fit reculer un peu. Je n’avais pas l’habitude de voir un tel oiseau ici, mais il était plutôt beau et mes yeux brillèrent un peu face à sa beauté et sa majesté. Mes yeux furent ensuite attirés par quelque chose. Je baissai les yeux pour voir la baguette du professeur qu’il venait de sortir. Il l’agita en cercle et des lettres dorées apparurent devant mes yeux. J’en fus bouche bée et je l’ouvris comme si je voulais parler, mais bien sûr aucun son n’en sortit. Mes yeux s’écarquillèrent de surprise. On m’avait parlé de diverse manière, mais celle-là était de loin la plus magnifique.

Je levai ma tête vers le professeur, les yeux brillants comme ceux d’un enfant. Que je l’enviais de savoir faire cela. Il devait avoir une sacrée maitrise de lui-même pour arriver à faire ce genre de chose. J’en suis bien incapable pour le moment, je ne dois pas avoir la maturité pour. Mais je pense qu’il voulait avoir une réponse alors je commençai à fouiller mon sac dans le but de trouver mon parchemin enchanté pour lui répondre. Mais l’excitation d’avoir vu une chose aussi épique et mon stress d’avoir été abordé par un homme tel que monsieur Oulianov rendait la tâche plus ardue que ce que je pensais. Il fallait que je le trouve ce fichu parchemin pourtant ! Je ne pouvais m’empêcher de regarder les lettres d’or qui flottait encore devant moi avec toujours la même admiration. Je sortis enfin le bout de papier tant recherché et l’air triomphant sur mon visage avait quelque chose d’assez amusant. Il fallait que je me concentre sur ce que je voulais dire et je lui montrai pendant que les lettres apparaissaient une par une plutôt rapidement, signe que mon cerveau était en effervescence, mes neurones travaillaient très vite et cela se voyait aussi sur le papier, car c’était plutôt désordonné :

« Je me suis réveillé un peu tôt et… Comment avez-vous fait pour faire apparaitre ces lettres ? C’est pratique. Et je me suis perdu dans les couloirs… Vous avez l’air doué en sortilège, j’ai encore du mal à maitriser les sortilèges informulés, c’est compliqué. »

J’aurais pu en être honteux si mon regard n’était pas encore reparti vers les lettres. C’est dans ces moments-là que j’en viens à adorer la magie même si c’est une vraie plaie en matière de potion, j’espérais vraiment que monsieur Sinclair allait pouvoir m’aider en améliorant cette fichue potion. Et en parlant de potion, dans mon agitation pour trouver mon parchemin, celle-ci avait doucement commencé à sortir de ma poche, la fiole étant plutôt volumineuse, car il fallait que j’en boive une certaine quantité pour qu’elle soit performante. Je retirai une de mes mains du parchemin pour déposer mon sac sur le sol, il commençait à me faire mal au dos et dans mon élan, la lanière tapa sur le goulot de la bouteille qui ne trouva aucune autre malice que de choir sur le sol dans un fracas. Je ne pus l’entendre, bien sûr, c’est quand elle roula vers les pieds du professeur que je commençai à rougir de honte de l’avoir fait tomber. Heureusement, elle n’était pas brisée et le liquide était toujours dans son contenant, le bouchon ayant bien fait son travail. Il me fallait maintenant la récupérer et mes yeux allèrent rencontrer ceux du professeur. J’avais honte d’avoir fait du bruit et de devoir lui demander de se pousser pour que je puisse ramasser la potion qui se trouvait maintenant à ses pieds. J’avais peur de le pousser dans ma gaucherie et je fixai le parchemin pendant plusieurs secondes pour que les lettres changent et deviennent quelque chose de bien plus ordonné, la vue de ce qu’il y avait d’écrit juste avant me fit de nouveau rougir de honte :

« Je suis vraiment désolée professeur… Est-ce que je peux vous demander de vous décaler juste un peu pour éviter que ma maladresse ne se retourne contre vous ? »

J’étais persuadé d’engendrer des maladresses quand les journées commençaient comme cela et je ne puis m’arrêter de rougir, toujours aussi honteux de mes bêtises. Je remarquai aussi que la lettre que je voulais envoyer à mes parents avait elle aussi commencé à se faire la malle, mais je pus la remettre dans ma poche, fronçant les sourcils face à ces objets en pleine rébellion.

Ce qu'une matinée à Poudlard pouvait différer d'une autre, c'était un fait, pas simplement une constatation, encore hier Vitali avait simplement prit un long moment de repos dans la matinée, ne donnant cours que l'après midi et préparant les exercices du club de Duel un peu en avance afin de ne pas être prit au dépourvus qu'en à l’énergie de ses jeunes et passionnés élèves. Mais ce matin il parcourait les couloirs sans véritable but, cherchant à dégourdir quelque peu sa jambe endommagée et il se retrouvait face à un élève au fort handicape, perdu vraisemblablement, et surpris de voir ainsi le sorcier russe et son oiseau sur l'épaule. Il est vrai que c'était rare de voir ainsi Boursk si civilisé, mais une fois n'est pas coutume après tout. Le jeune élève bleu et bronze fouilla dans son sac à la recherche visiblement d'un objet précis, et Vitali resta droit comme un « i », les deux mains sur sa canne, attendant bien patiemment que le garçon trouve ce qu'il cherchait. L'observant avec un sourire amusé, tendis que les lettres qu'il avait fait apparaître dans les airs s'estompaient avec lenteur. Jouant quelque peu avec la baguette qu'il avait entre les doigts, Vitali observa un peu plus intensément le jeune sorcier, ses yeux bridés, et son visage aux traits fins, il y avait peu d'élèves d'origines asiatiques dans cet école, mais Vitali était souvent aller en Asie et il appréciait les personnes possédant cette culture, bien qu'il ne sache personnellement absolument pas si le jeune homme avait été élevé en bon anglais ou avec une culture asiatique et d'ailleurs cela ne le regardait absolument pas.
Yezekiel sortit un parchemin de son sac visiblement quelque peu encombré de choses et d'autres, et sembla se concentrer dessus avec intensité, des mots apparurent alors et Vitali reconnu là un parchemin enchanté de grande qualité, reproduisant avec beaucoup de détails la pensée du jeune garçon, il devait être difficile pour lui de cacher ses pensées les plus secretes si il ne communiquait qu'avec un tel objet magique. Vitali observa les mots qui se dessinait dessus et un nouveau sourire apparut sur son visage, effectivement faire apparaître des lettres dans le ciels était quelque peu pratique, mais il n'était pas l'initiateur de ce sort qui avait connu nombre de sorciers avant lui, la taille et la couleur des lettres dépendant principalement de la volonté du sorcier. Harry Potter avait lui même dit dans une de ses biographies que le spectre de Voldemort sorti de son journal intime qui était en faite un Horcruxe, avait utilisé ce sortilège pour lui expliquer l'origine de son prénom. Quoi qu'il en fut, si le jeune homme ne connaissait pas ce sortilège, cela ne saurait tarder, quand au faite qu'il utilise un sortilège non formuler, cela devait incroyablement jouer dans la balance quand au faite que les yeux de Yezekiel semblaient fasciner par ce que Vitali avait fait sortir de sa baguette. En effet les sort informulés étaient la spécialité de Vitali, qui n'avait depuis longtemps plus besoin d'ouvrir la bouche pour lancer un sortilège grâce à la grande complicité qui le liait à sa baguette et aussi à sa grande maîtrise des arts magiques.
Secouant à nouveau sa baguette dans les airs pour répondre à son interlocuteur, le geste de Vitali fut néanmoins suspendu et arrêté net, car le bruit caractéristique d'une fiole venait de se faire entendre. Visiblement dans sa précipitation, Yezekiel avait fait tomber au sol une petite potion et heureusement pour lui cette dernière était plutôt solide car elle ne se brisa pas en tombant.
Le Serdaigle se précipita à la suite de son petit objet qui prenait la fuite et se retrouva par terre visiblement affolé sous le regard circonspect du professeur.
Le garçon récupéra à nouveau son parchemin et se concentra avant de le montrer au Professeur de Duel. Vitali eut un sourire bienveillant et se décala légèrement afin de laisser le Serdaigle récupérer son bien. Mais avant que ce dernier n'ai le temps de mettre la main dessus, l'impérieux faucon du professeur piqua vers le jeune homme, et agrippa dans ses sers la fiole avant de s'envoler en passant à travers les persiennes.

«  - BOURRRRRRSK RRRREVIIIIIENS IIIICIII ! »

Le sorcier russe se précipita à la suite de son animal qui venait de se poser sur la branche d'un arbre à a peine un mètre de la fenêtre et donc de l'endroit où les deux sorciers ce trouvaient. Vitali lançât un regard noir à l'animal tendis que ce dernier, ne semblait pas se préoccuper de lui, cherchant à ouvrir la fiole certainement dans le but d'en découvrir le contenu.
Avec une grande rapidité, Vitali secoua sa baguette en direction du garçon.

- Je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qu'il lui prend. -

Les lettres d'ors s'affichèrent dans les airs, tendis que le professeur continuait d'appeler avec toutes l'autorité dont il était capable le vieux faucon au sale caractère qui ne lui avait jamais fait un coup pareil auparavant. Ou bien cette potion l'intriguait plus qu'il n'était nécessaire, ou bien quelque chose d'autre se tramait, dans tous les cas une inquiétude croissante s'empara du professeur de Duel. Avec tous ce qui se passait dans le château en ce moment, il fallait faire attention à tous les détails qui sortaient de l'habitude. Et le faite que Boursk se précipite ainsi sur une potion inconnu était en effet bien inhabituel.

Une peur panique me prit aux tripes quand l’oiseau fondit en direction de ma main pour s’emparer de ma potion. Je fus pris de court, il s’agissait juste de ma potion pour entendre, rien de plus. Le professeur parut confus et il semblait appeler son animal qui n’en faisait visiblement qu’à sa tête. Des lettres dorées d’excuse apparurent et je ne sus que faire, j’avais besoin de cette potion et mon parchemin ne me fut d’aucune utilité en cette occasion, mes pensées n’étaient pas assez ordonnées pour que je puisse faire parvenir quoi que ce soit. Il fallait pourtant que je me calme, je n’étais pas en danger, c’était juste gênant d’être dans cette situation, j’étais gêné aussi pour mon professeur, mais jamais je ne ferai de réflexions. Ma mère m’a élevé dans la tradition japonaise, on ne met pas en embarras une autre personne, c’est très impoli voir honteux. Je ne pus m’empêcher pourtant de montrer mon parchemin où il se trouvait les mots suivants :

« Ce n’est pas grave, c’est juste ma potion pour pouvoir entendre et suivre les cours correctement. »

Je lui fis un petit sourire et regardai son oiseau continuer de s’acharner sur le bouchon. Je bénissais Sainte Mangouste d’avoir mis un sort pour empêcher la bouteille de s’ouvrir sans un autre sort sinon la fiole aurait sans doute déjà été ouverte. Cependant, je ne pus m’empêcher de me dire que j’étais bien content que ce ne soit pas ma main sur laquelle il était en train de s’acharner, j’avais eu de la chance d’être plus lent que lui sinon, elle y passait sans doute. Cette pensée me donna un léger frisson de peur, cela devait faire vraiment mal et mon regard tomba de nouveau vers le professeur pour lui dire, via mon parchemin, bien sûr :

« C’est un magnifique oiseau, je n’en avais jamais vu un aussi beau. On dirait qu’il a aussi un caractère affirmé. Il n’arrivera pas à ouvrir la fiole normalement, Sainte Mangouste l’a fermée grâce à un sort, je ne peux l’ouvrir que par un sort. »

Je voulais le rassurer, ce n’était pas si grave, juste problématique. J’espérais quand même qu’il ne lâche pas la fiole, car nous étions quand même au cinquième étage et je n’avais pas spécialement envie de descendre pour aller la chercher, mais je n’aurais pas le choix de toute manière, je n’allais pas laisser le professeur y aller à ma place, c’était de ma faute, pas de la sienne, après tout. Mon sourire était revenu sur mon visage, je n’avais pas envie d’être énervé ou triste qu’on ait volé ma potion, mais le visage inquiet de l’adulte devant moi avait quelque chose qui ne me disait rien qui vaille, je ne savais pas trop si je devais m’inquiéter ou non, je n’étais sans doute pas au courant de beaucoup de choses qui se passaient et peut être que le comportement de son ami n’était pas normal et inquiétant. Pourtant, je n’osais pas lui demander pourquoi il semblait si inquiet, je ne voulais surtout pas paraitre impoli.