Calypso G. Lockheart Serpentard Messages : 52 Galions : 20 Âge : 17 Classe : L1 Commerce et Relations internationales. Avatar : Kaya Scodelario.
| Sujet: Calypso G. Lockheart. ► Je te prie de bien vouloir cesser de mettre tes cheveux gras dans mes affaires. Mar 3 Juin - 0:03 | |
| Calypso Grace Lockheart « I can resist anything but temptation. » Nom de famille : Lockheart.Prénoms : Calypso, Grace.Age : 17 ans.Date et lieu de naissance : 15 juin 1996 à Bristol. | Qualité du sang : Sang mêlé.Orientation sexuelle : La beauté n’est pas une question de sexe, et bordel, je fais l’amour à la beauté.Statut social : Aisé.Avatar : Kaya Scodelario. ♥ |
Le choixpeau m'a envoyé à SerpentardSeptième année. Baguette Magique : Bois de Cornouiller, mesurant 26cm, composé d’un Coeur en cheveux de Vélane.Balai : Friselune.Animal de compagnie : Chouette noire répondant au doux nom de Lucifer.Épouvantard : Une femme enceinte, le ventre entouré des mains aimantes de ses parents, les yeux dédaigneux fixés sur elle.Ridiculus : Le ventre de la femme explose, laissant place à une mare de sang et de pleurs.Patronus : Diablerie que ceci, il lui a fallu des années pour réussir à en créer un. Sa lumière est encore faible, et même si elle ne l'avouera jamais, il lui est difficile de faire fuir un Détraqueur avec, mais c’est un magnifique renard aux yeux sombres. | Matière préférée : Sortilèges.Matière détestée : Histoire de la Magie.Options (minimum deux) : Études des Runes et Arithmancie.Rêve d'avenir : Faire en sorte qu’aucun de ses jours ne laisse place à l’ennui. Des rêves, elle n’en a plus, d’ailleurs, elle ne pense pas vivre assez longtemps pour voir cet avenir se réaliser. |
Son caractère « Quoi ? Pourquoi tu veux connaître mon caractère, toi ? D’ailleurs, en quel honneur m’adresses-tu la parole ? Dégage ton gros nez huileux de mon livre, bordel. »
Calypso, c’est ça, résumé en quelques mots. Elle est désagréable, froide, hautaine, solitaire, et se fiche totalement de ce que les autres pensent d’elle. Le genre de filles qu’on adore croiser aux détours des couloirs, en bref. Si par malheur vous étiez nés avec une âme sociable et en recherche d’affection, elle pourrait vous dégoûtez du concept même d’être humain. Elle ment sans cesse, trompe toutes les confiances, magouille autant qu’elle peut, est capable de faire de votre vie un Enfer si elle le désire, et n’hésitera pas une seconde à faire du mal à vos proches ou à vous-même si vous la contrariez. En résumé, elle possède tous les défauts que vous pourriez imaginer. Son but dans la vie, c’est surtout et uniquement de se divertir. Et tant pis si c’est à votre insu. Elle adore briser les règles, les cœurs, et les idéaux. Elle est passionnée par le sang, la mort, et l’idée même du plaisir. Oui, elle est dérangée. D’ailleurs, si vous le lui faisiez remarquer, elle vous rirait au nez et vous traiterait de benêt. Pour elle, le monde est une immense cour de récréation, dans laquelle elle peut faire n’importe quelle farce. C’est elle, la fille qui alterne en cours entre dormir et foutre le plus gros bordel possible. C’est elle, la fille que vous voyez souvent, assise seule dans une pièce, à fixer le mur en réfléchissant à on ne sait quoi. C’est elle, que le concierge poursuit la nuit dans les couloirs. C’est elle, qui passe son temps à regarder tout le monde en coin en se demandant ce qu’elle pourrait faire d’amusant avec eux. C’est elle, la fille qui a la réputation de coucher avec tous ceux qui le veulent bien, mais juste une seule fois. C’est elle, qui ne supporte pas le moindre contact tactile. C’est elle, la fille qui a failli se faire renvoyer un nombre incalculable de fois. C’est elle, qui passe son temps en retenue. C’est elle, l’instigatrice de cette blague salace qui a fait que votre amie s’est retrouvée nue au milieu du grand hall en pleine journée. C’est elle, c’est toujours elle, la responsable des farces plus ou moins drôles. Mais contrairement à ce que vous pouvez penser, Calypso est aussi dotée de qualités exceptionnelles. Elle sait toujours trouver un moyen de s’amuser, en dépit des règlements et des regards noirs de l’assemblée. Sous son apparence froide, vous pouvez y voir une des personnes les plus attachantes de l’école. On ne gagne pas facilement sa confiance, mais si l’on touche à un cheveu de ses amis, littéralement, elle pourrait tuer. Enfin, ne vous faites pas d’illusions, il y a peu de chances que vous réussissiez à voir ce visage. C’est même pratiquement impossible, elle n’accorde sa confiance qu’à ceux qu’elle connaît depuis suffisamment d’années. Vous, elle vous dirait très poliment d’aller vous faire voir chez les grecs.
Sa vie « Quoi ? Mon histoire ? Mais qu’est-ce que tu veux à la fin ? Fous-moi-la-paix, c’est clair ? Je te jure que je vais t’arracher les yeux. »
Calypso a grandi dans une famille très aisée et très respectée. Sa mère était une sorcière, et son père, un simple mortel. Non, je n’ai pas du tout envie de vous raconter leur rencontre, je vous rappelle que ce n’est pas le sujet. On raconte que la famille de sa mère, par le passé, était partisane de Celui-dont-on-ne-soit-pas-prononcer-le-nom. Si c’est vrai ? Personne ne le sait, mais ce qui est sûr, c’est que personne n’en parle. Pas même la principale concernée. Lorsque Calypso lui avait demandé des renseignements sur sa famille, Scarlett Lockheart n’avait rien trouvé d’autre à faire que de balayer l’air de la main en disant qu’ils étaient tous morts et enterrés. Bon, très bien. Le sujet ne fut plus évoqué. Les années passèrent, et Calypso grandit seule, comme une grande. Il faut dire que ses parents travaillaient beaucoup, ou avaient des millions d’autres choses à faire plutôt que de s’occuper d’une gamine geignarde. Et d’ailleurs, ça n’avait pas l’air de la perturber plus que cela, alors à quoi bon s’en soucier ? Bon, c’est vrai que parfois, elle faisait des caprices, des scandales, ou criait au monde entier qu’elle n’avait pas de parents, qu’ils ne l’aimaient pas, et autres joyeuseries. Mais c’était une passade. Une passade qui dura bien plus longtemps qu’ils ne l’avaient imaginé. A 11 ans, lorsque la jeune fille reçut sa lettre pour Poudlard, personne n’était là pour témoigner de son immense sourire et de ses yeux pleins d’étoiles. D’ailleurs, personne ne fut là non plus pour la voir monter dans le train. Elle n’avait même pas prévenu ses parents. Ils avaient mieux à faire. Et Poudlard lui ouvrait ses portes, alors elle n’en avait cure. La nouvelle tomba ; Serpentard. La maison où l’on pouvait s’amuser. Oh bien sûr, sa maison était très mal vue et constamment discriminée, mais elle savait, au fond, qu’elle valait mieux que tous ces petits morveux insolents, alors elle se contentait de les ignorer. Peu à peu, elle découvrit la joie des passages secrets, des baguettes magiques, des sortilèges amusants, des sorties à Pré-au-lard, des Noëls à Poudlard, des professeurs fous à liés, des amitiés, du sexe, et des heures de colles. C’était sûr et certain ; elle passait les meilleures années de sa vie.
Puis tout dégénéra. Oui, Calypso a une de ces histoires qui dégénèrent toujours à un moment. Un moment fatidique. Les vacances d’été, signe de soleil, de paresse et de soirée à n’en plus finir. C’était la fin de sa troisième année à Poudlard, et sa vie était parfaite. Elle était rentrée dans sa grande maison vide, prête à inviter ceux qui lui faisaient office de divertissement, mais rien ne se passa comme prévu. Rien ne se passa plus jamais comme prévu, chez les Lockheart, après ce soir-là.
« - Mais enfin, on ne peut pas juste lui dire d’aller vivre ailleurs ! - Si. On le peut. Et si tu n’as pas le courage de le faire, je le ferai. Je ne supporte plus sa présence. - Mais enfin, chérie, c’est notre fille. - Pas besoin de me le rappeler, j’en suis cruellement consciente. Par sa faute, nous sommes la risée du voisinage ! - Mais … - Tu veux vraiment que notre futur enfant vive avec elle comme exemple ? Je ne raterai pas un second enfant, William. C’est hors de question. Il est temps de faire de la place pour notre bébé. »
Et Calypso entra dans la pièce, des éclairs dans les yeux. Et ce ne fut pas le regard désolé de son père, ou celui, dédaigneux, de sa mère, qui lui fit le plus mal. Le plus douloureux fut de voir le ventre rond de la femme, tenu amoureusement par le couple. Ce bébé aurait droit à l’amour qu’elle n’avait pas eu. Elle vit rouge, et en quelques secondes, elle se retrouva à courir vers ce ventre proéminent. Elle allait le frapper jusqu’à ce que ce monstre meure étouffé, l’ouvrir pour l’en faire sortir. Elle voulait, plus qu’elle n’avait voulu quoique ce soit avant, tuer ce bébé. Mais son père la retint, serrant si fort ses bras dans son dos qu’elle cria, et sa mère lui asséna un si grand coup de poing qu’elle tomba par terre, et s’évanouit. Au réveil, le sol froid sur sa joue était toujours le même, ses poignets étaient bleuis, et son autre joue saignait. C’est vrai, sa mère portait des bagues imposantes. Elle se releva tant bien que mal, étourdie, et sortit. Maintenant, elle pouvait dire qu’elle n’avait pas de parents sans mentir. Mais heureusement, elle avait toujours son compte chez Gringotts, et un parrain qui l'adorait. Elle réussit à entrer en contact avec lui, qui avait tendance à beaucoup voyager, pour on ne sait quelle obscure raison, et les choses s'arrangèrent très vite. Son parrain s'était mis en tête de lui offrir tout ce qu'elle voudrait, d'être sa famille. Bien entendu, elle n'en avait cure, elle préférait sa petite indépendance à son nouveau "papa gâteau". Mais il n'était pas souvent là, et elle obtenait ce qu'elle avait toujours souhaité. Calypso se fit acheter un joli appartement sur Pré-au-lard, près du magasin de Farce et Attrape, par son tout nouveau "tuteur légal", son parrain, et se refit une vie. Désormais, elle était libre de faire ce qu’elle souhaitait sans craindre de décevoir qui que ce soit. Ils voulaient élever leur petit miracle sans l’avoir dans leurs pattes ? Très bien. Elle vivrait sa vie. Elle s’amuserait. Elle vivrait si fort qu’elle mourrait, s’il le fallait, si c’était ce qui était nécessaire pour se convaincre qu’elle n’avait pas besoin d’eux. Et les jours passaient, toujours les même, toujours différent. Une nouvelle idée pour embêter le plus possible les professeurs et s’attirer des ennuis. Une nouvelle personne dans son lit. Un nouveau passage secret découvert. Un nouvel ennemi de fait. Une nouvelle personne de brisée. Tout était nouveau, et pourtant, tout se répétait, en boucle, comme un cercle infini. Elle commençait à devenir malade. Pas au sens physique du terme, au sens purement psychologique. Quelque chose clochait chez elle. Quelque chose de mauvais. Quelque chose de dangereux. Son âme était malade. Au début, c’est vrai qu’elle fut interpellée ; elle ne ressentait pas les mêmes choses que les autres, ou pas au bon moment. Elle était incapable de dire « je t’aime ». Le moindre contact, la moindre preuve d’affection, la perturbait. Elle ne comprenait pas les autres. Tout ce qui touchait à l’amour lui était totalement inconnu, et dès que quelqu’un lui en donnait, elle avait peur. Plus peur que jamais. Elle ne savait pas quoi faire. Et elle ne le sait toujours pas, d’ailleurs, mais elle a appris à vivre avec. Aujourd’hui, Calypso est l’élément perturbateur de la classe, le coup d’un soir, la fêtarde, la farceuse, la garce, la menteuse, la traîtresse. Ce n’est plus Calypso, la petite fille seule dans une grande maison vide. Mais c’est toujours un peu Calypso, la fille à l’esprit dérangé et à l’âme malade. Calypso est maître de son propre destin. Maître dans son domaine. Elle peut faire tout ce qu’elle souhaite. Elle peut devenir qui elle veut. Elle peut se comporter comme elle le désire. Elle peut résister à n’importe quoi. A n’importe quoi, sauf peut-être à la tentation, cette petite garce cachée derrière de douces apparences. C’est une esclave de la tentation, et elle en est consciente. Elle est partout ; dans les interdits, dans les corps nus, dans les bouteilles d’alcool, dans les yeux joyeux, dans les bains de sang. Même en elle. La tentation est ce qui définit sa vie, et ce qui marquera sa fin. Mais bordel, qu’est-ce qu’elle l’aime.
Derrière l'écran Prénom ou surnom : Laetitia, mais je préfère Sia, ou Captain. Age : Majeure dans quelques jours mes enfants. :Vitali: Région : Aquitaine, sissi rpz.Sexe : ♀Comment as-tu découvert Ascensio ? Par ma bien aimée Némésis. ♥ | Qu'en penses-tu ? Il est parfait. **Autres chose ? JE FAIS L'AMOUR A LA BEAUTÉ. Code du règlement : Validé par Serena ♥ |
Dernière édition par Calypso G. Lockheart le Ven 6 Juin - 22:09, édité 3 fois |
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