Julian T. Lewinski Sorcier Messages : 93 Galions : 165 Âge : 24 ans. Classe : Aucune, mais ancien Serpentard. Avatar : Bill Kaulitz. ♥
| Sujet: ethanaël (+) and the fallen hero haunts my thoughts. Dim 23 Mar - 18:29 | |
| Ethanaël Maxence Rosebury « It's underneath, it's inside, it's in between ; the times when you're feeling you're falling from grace » Nom : Rosebury • Prénom : Ethanaël, Mawence • Surnom : Ethan • Date de naissance : 14 Juillet 1989 • Lieu de naissance : Oxford • Âge : 24 ans • Orientation sexuelle : Bisexuel • Statut social : Célibataire • Qualité du sang : Sang-mêlé • Avatar : Misha Collins Ancienne maison
Serdaigle Auror Baguette : Bois de poirier, crin de licorne, 19,5 cm. • Balai : Nimbus 2000 • Animal de compagnie : Un chat gris aux yeux bleus, Gipsy. • Epouventard : Il a changé, depuis ma scolarité à Poudlard. Avant, c'était une énorme araignée. Maintenant, ça ressemble plutôt à la "Grande Faucheuse" ; une silhouette noire, encapuchonnée, armée d'une lame tranchante. • Ridiculus : La cape devient transparente et l'être qui la porte devient entièrement nu • Patronus : Un chat forestier d’Écosse • Enchantement préféré : Le feu de Sempremais • Années de scolarités à Poudlard : De 2000 à 2008 au Collège, de 2008 à 2013 à l'Université, spécialité Sécurité Magique • Durée d'activité professionnelle : Viens à peine d'être qualifié pour être auror. • Rôle pendant la guerre : Beaucoup trop jeune pour y prendre part, je suis resté "caché" chez les Moldus, auprès de ma mère, même si dans ce monde-là aussi, la Guerre des Sorciers n'était pas non plus sans conséquence. Réservé
Je ne me suis jamais senti bien en public. Le regard des autres sur moi, c'est quelque chose qui m'a toujours effrayé. Alors, prendre la parole devant une assemblée, ça n'a jamais été mon fort. Inutile de dire que j'avais beau être un "intello" à Poudlard, je ne me faisais pas vraiment remarquer, en cours. C'est plutôt les professeurs qui me sollicitaient, à mon plus grand dam. Et quand ils citaient ma copie en exemple devant les autres, j'aurai plutôt préféré que le sol s'ouvre dans un énorme gouffre, et m'aspire dans la seconde.
Spontané
Je dis souvent trop vite ce que je pense, sans y réfléchir à deux fois, et ça m'a valu quelques ennuis. Je peux être réfléchi derrière un livre, mais au cœur de l'action, c'est plutôt mon intuition qui parle, quitte à mettre mon courage et ma fierté à rude épreuve. Comme on dit si bien ; courageux, mais pas téméraire.
Protecteur
J'ai beau être le plus jeune de ma famille, j'ai appris à vivre en communauté et à protéger le moindre de ses membres. Je ne supporte pas voir quelqu'un s'en prendre à plus faible que soi, je ne supporte pas l'injustice. Je préfère rendre les gens heureux, les rassurer, même si ce n'est que pour un tout petit instant.
Curieux
Depuis tout petit, j'ai toujours été un touche-à-tout. Même si j'ai (presque comme tout le monde) lâché l'affaire avec l'histoire de la magie à l'école, au tout début, j'étais vraiment curieux et impatient de découvrir quels étaient les sorciers qui nous avaient précédé. Aujourd'hui encore, je suis bien curieux, mais pas pour les mêmes raisons. Je veux découvrir ce qui est arrivé à Matt. Ce n'est même plus de la curiosité, mais c'est une vraie nécessité. On ne peut pas dire que mon père soit un modèle de vertu. Certes, c’était un sorcier expérimenté et reconnu. Il agissait pour ses convictions, et, parait-il, c’était un homme aimant. Aimant ; je crois que c’est le moins qu’on puisse dire compte-tenu de son nombre important d’enfants. Cinq. Mais c’est bien là qu’est le problème ; aucun de nous n’avait la même mère. Volage, et pas franchement intéressé par la fidélité, il a fait un enfant à cinq femmes. Celle qui fut ma mère, c’était une Moldue. Un peu naïve, un peu trop gentille aussi, elle est rapidement tombée folle amoureuse de lui. Comme je suis « le petit dernier », au départ, il ne l’a pas crue lorsqu’elle lui a annoncé qu’elle était enceinte. Mais neuf mois plus tard, je pointais le bout de mon nez. Et quand je suis arrivé, il ne lui avait toujours pas dit qu’il était sorcier. Il lui avait toujours caché sa véritable identité. Quand il lui a tout avoué, ça a été un choc. Et puis, d’un commun accord, il a été décidé que je resterai le plus souvent chez mon père. Elle ne m’abandonnait pas, non ; elle me verrait quand même, à chaque fois que mon père me confierait à elle. Mais elle ne voulait pas se mêler au monde magique, et elle ne voulait pas « m’arracher » à mes origines, non plus. À peine âgé de quelques mois, je rejoignais donc cette grande maison, où quatre autres enfants vivaient. Pas de mère non plus ; en fait, je crois que, comme moi, ils ne voyaient les leurs que peu souvent. Dit comme ça, ça fout un peu les chocottes. On a l’impression d’un homme qui collectionne les enfants après s’être débarrassés de la pièce maîtresse. « - Il a une drôle de tête ! » Se plaignit ma grande-sœur, Anna, d’à peine quatre ans mon aînée. « - Il a pas de cheveux ! » S’étonna un de mes frères. « - Moi je le trouve rigolo… » Renchérit un autre. « - Il a de beaux yeux. » Déclara enfin le dernier de la bande, 10 ans à peine. xxx La vie s’organisa alors ainsi. Les plus grands étaient à Poudlard pendant que les plus jeunes apprenaient à vivre ensemble, à grandir ensemble, à s’entraider. Mon père, auror, travaillait beaucoup, voire de plus en plus. Je n’ai pas honte, de remords ou de colère à dire que c’est principalement mes frères et sœurs qui m’ont élevé. Et puis, la Guerre est arrivée. Moi, je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait. Mes deux grands-frères avaient quitté Poudlard à cause du danger. Moi, je voyais ça comme une chance : après tout, ils m’avaient manqué. Mais j’avais du mal à comprendre pourquoi tout le monde faisait une tête si triste. J’entendais bien parler de guerre, mais mon innocence de petit garçon me forçait à penser que la guerre, ce n’était que les autres qui la faisaient, pas nous. Je voulais croire que nous, on était en sécurité, que personne ne viendrait nous embêter. Et pourtant…Je me trompais. Rapidement, je fus confié à ma mère biologique. Mes demi-frères et sœurs, eux aussi, furent placés en sécurité, mais nous n’étions pas ensemble. Notre père nous a expliqués qu’il devait aider les gentils à combattre les méchants. Personne n’a rien dit mais j’ai bien vu dans le regard de mon plus vieux frère que quelque chose clochait. Je crois que c’est à partir de cet instant-là qu’il s’était préparé à ne plus le revoir. Caché donc chez ma mère, du côté des Moldus, je n’avais que des bribes de la Guerre. Je n’arrivai pas vraiment à savoir ce qui se passait. Et puis, finalement, après une longue année d’angoisse, une année où j’avais « grandi » beaucoup trop vite, oubliant innocence et insouciance, un hibou est arrivé. La guerre était terminée, c’est Gabriel, mon frère qui le disait. Mais il était arrivé quelque chose à notre père ; il fallait que je rentre vite. En montrant la lettre à ma mère, elle a accepté de rejoindre, pour une fois dans sa vie, le monde des Sorciers. Je n’ai pas eu à la forcer bien longtemps ; elle était beaucoup trop amoureuse de mon père pour s’en tenir éloignée s’il lui était arrivé quelque chose. Qui plus est, j’avais aussi besoin de ma maman pour affronter cette épreuve. Lorsqu’on est arrivés à la maison, j’ai été d’abord rassuré ; mes demi-frères étaient présents, ma demi-sœur aussi. Ils paraissent en bonne santé ; en tout cas, ils n’étaient pas blessés, ce qui était beaucoup plus que je n’avais osé l’espérer. Mais en voyant leur visage décomposé, et en faisant le lien avec la lettre de Gabriel, l’évidence me frappa de plein fouet. « - On…On est désolés, Ethan…C’est un mangemort… » Ils s’écartèrent à peine, pour laisser voir la dépouille de mon père. Son corps inanimé, au fond de la salle. Je n’ai que des souvenirs flous de cette scène. Comme si ce n’était pas moi qui les avait vécus. Je me souviens du cri de ma mère, je me souviens de m’être débattu, puis d’avoir hurlé à mon tour. Et puis, plus rien. Le trou noir. Il paraît que je me suis évanoui sous toutes ces émotions. xxx Ma rentrée à Poudlard et mes débuts à l’école, ne furent pas aussi roses et merveilleux que ceux de mes frères et sœurs. Je faisais partie de ceux qui repeuplaient Poudlard après sa reconstruction. Tout se mettait en place petit à petit. Pourtant, ça n’avait pas entaché mon enthousiasme, ni ma volonté d’apprendre, d’apprendre autant que je le pouvais. Cette soif de découverte, le Choixpeau n’est pas passé à côté lors de ma répartition. Envoyé à Serdaigle, je fus plus que rassuré d’éviter la table des Verts et argent. Pour moi, tout comme pour ma famille, cette maison symbolisait les descendants de l’assassin de mon père. Pourtant, j’ai fait une belle rencontre. Il s’appelait Matt. C’était un Gryffondor. Il reprenait à peine sa quatrième année, et en me voyant perdu dès la rentrée, il m’a aidé à me repérer dans le Château. Il m’a même aidé pour les cours, même si ça n’a pas duré bien longtemps, puisque je me suis vite fait aux études et aux devoirs qui nous étaient demandés. J’avais même tendance à en faire plus que les professeurs demandaient, ce qui me valait d’excellentes notes, mais aussi quelques commentaires pas très sympathiques de la part de mes camarades. Celui qui me connaissait le mieux et qui m’appréciait pour ce que j’étais vraiment. Je dois avouer que j’avais des sentiments pour lui, mais je n’avais jamais osé lui en parler. Trop timide, et puis, à cause de notre différence d’âge, je me doutais bien qu’il pouvait déjà avoir quelqu’un en vue. Sans parler de l’homosexualité, qui est toujours difficile à gérer quand on est en pleine phase d’adolescence…Mais finalement, on a fini par se mettre ensemble. Ça s’est passé dans l’été ; j’allais entrer en quatrième année, et lui allait attaquer sa dernière année. À Poudlard, gérer les regards a été plutôt difficile. Mais Matt était toujours là, il me soutenait toujours ; mais surtout : il croyait en nous. C’est en le voyant poursuivre ses études en licence que finalement, je me suis intéressé à son parcours. « Sécurité Magique », ça me plaisait assez. Et puis, ça me permettait aussi de passer plus de temps avec lui. Ça devenait de plus en plus sérieux entre nous, et je me sentais vraiment bien à ses côtés. On faisait même des plans pour notre futur, on pensait à notre futur chez-nous. « - J’aimerai bien que tu portes mon nom, dans pas longtemps… » Je me souviens que mon cœur a failli bondir hors de ma poitrine lorsque je l’ai entendu prononcer ces mots. Mais nous n’étions pas aussi idéalistes et naïfs qu’on semblait l’être. Il y avait des bruits de couloir, des craintes, qui venaient à nos oreilles. Le mal n’était pas vraiment éradiqué. En fait, il ne l’a jamais été. Évidemment, à cause de notre différence d’âge, quand il est enfin devenu auror, j’étais encore en formation. Je m’étais habitué à ses quelques « missions de routine », même si ça ne m’empêchait pas d’avoir peur. Il n’y avait pas de repos pour lui. Alors que pendant les vacances, je m’échappais de Poudlard pour me reposer dans notre petit chez nous, il me fallait attendre le soir, et parfois très tard, pour le voir transplaner dans le salon. Sauf qu’un soir, il n’est pas revenu. Je n’ai pas dormi de la nuit. Au petit matin, en ne le voyant toujours pas revenir, j’ai appelé ses collègues, son supérieur, mais rien. Pas même une lettre, pas même un signalement. Officiellement, il est porté disparu, pour une cause inconnue. Qu’est-ce que son patron m’a dit, déjà ? Ah, oui : « Un regrettable accident de transplanage, probablement ». Mais je ne suis pas dupe. Il y aurait quelque chose. Et puis, il n’était pas aussi inconscient ; il était assez expérimenté pour transplaner. Et si c’est bien ça, c’est qu’il a du le faire dans la précipitation. Qui dit précipitation dit danger. Tout le monde redoute le danger, encore hantés par les fantômes du passé. Maintenant que je suis auror à mon tour, je compte bien me venger de celui qui a fait ça à mon fiancé. Bonjour, je m'appelle Mélanie (ou Castielle -on se demande pourquoi-), j'ai 21 ans (bouh la vieille), j'habite en Languedoc-Roussillon et je suis une fiiille. J'ai découvert le forum en grâce à mon petit Ana' d'amour et je pense que c'est pile le forum qu'il me fallait pour me sauver de ma dépression post-HP8 . Sinon, j'aimerai ajouter que j'ai hâte de rp parmi vous ! Le code est Potty Pottam sur son nimbus 2000 .
Dernière édition par Ethanaël M. Rosebury le Mar 25 Mar - 19:29, édité 14 fois |
|