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 Le monde est grand, ne nous enfermons pas.

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Euphemia A. Grave
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MessageSujet: Le monde est grand, ne nous enfermons pas.   Le monde est grand, ne nous enfermons pas. EmptyMar 17 Juin - 22:33

La gamine rousse soupire en portant ses livres au bout d'une corde. Plus qu'un soupire, c'est un bougonnement et un râle d'agacement incessant qu'elle projette dans la cour d'entrée de l'École. Son petit nez aquilin et ses tâches de rousseurs infantilise le geste, sa démarche trainante et molle lui donne 'l’air d'un mélange entre un ballon gonflable et un chewing-gum.

« J’ai pas envie d’aller en cours… »

Je regarde Laureline puis le ciel, dans son immensité bleue. Une journée de printemps trop chaude, trop claire. Nous n’avons pa eu d’hiver, ou presque. Alors il fait étonnement bon pour la saison. L’enceinte gracieuse du château fait de l’ombre au flanc de la montagle, et Laureline se tient juste sur le fil qui sépare l’ombre et la lumière sur les graviers. Vivi sera particulièrement molle aujourd’hui.

« Alors séchons.
-Ah ? T’es sûre ? Tu adore les cours d’aujourd’hui !
-Séchons. »

Je la prend par la main et l’emmène dans la lumière, et dans un son de gravier qui crisse, nous nous mettons en quête d’un endroit dans la montagne où nous pourrions rendre un digne hommage à ce jour radieux. Ce sentiment aussi, méritait qu’on prenne le temps de l’étudier. Ce sentiment était bon, bon comme une savoir bien acquis et encore explorable à l’infini.



Euphemia est debout dans le couloir du premier étage. Des élèves passent tout autour d’elle, dans l’agitation propre aux examens qui arrivent. Le son qui raisonne est un amas de voix distinctes accouchant du son éternel vrombissement qui semble partout le même, pourtant chaque fois différent.

« Je commence à avoir peur…
-Arrête, il n’y a pas de raison !
-T’as du mal à en trouver ? »

Aujourd’hui des gens inquiets, avouant ou niant l’évidence d’une menace qui pèse. Celui-là est inquiété de ses résultat alors que celui-ci ne s’en souci guerre, certain de passer. L’autre, c’est le contraire, il est résigné, presque fier, de redoubler cette année. Des jeunes gens observent une jeune femme en licence traverser la pièce avec dignité et cette pointe d’aura séductrice… Si elle cherche bien, Euphemia peut se souvenir ou apprendre leurs noms à tous. Leur occupation préférée. Les gens qu’ils aiment et ne supportent pas. Les gens qui leurs sont utiles. Les gens qui leur font peur. Leur patronus, leur ridikulus, et leur épouventard, le nom de leur animal de compagnie, la matière de leur baguette. Comme un mal de crâne qui ne vient jamais, toujours en perspective, ces informations restent quelque part dans sa tête en attendant d’être notée sur un bout de parchemin pour enfin s’enfuir de sa tête et ne plus y revenir. Il fallait qu’elle écrive. Qu’elle écrive pour ne pas s’embarrasser de tous ces détails. La journée de cours promettait d’être longue, l’air était étouffant…

Quel cours allait-elle avoir, aujourd’hui, déjà ?

Des cours déjà vu à Beauxbâtons, qui recoupaient le programme. Voir une chose une deuxième fois lui enlevait la moitié de son intérêt. Fort heureusement pratiquement tout au monde avait un intérêt déjà immense. Mais aujourd’hui, elle n’était juste pas d’humeur. Aujourd’hui, elle lève les yeux au ciel, au milieu de la foule, et fixe le plafond.


« Aujourd’hui ne m’intéresse pas. »

Alors que les couloirs se vident, elle voit approcher un grand jeune homme à la peau sombre en compagnie d’autres élèves, dans la robe des Poufsouffles. Il marche juste ne face d’elle, sans même peut-être s’en rendre compte. Puis lorsqu’il arrive à sa hauteur, elle ne bouge pas pour le laisser passer. Elle sourit simplement, avec une politesse remarquable, malgré son évidente position d’insolence.

« Bonjour Néron Zalbini. »

Elle avait déjà croisé l’élève, de 5 ans son ainé. Dire qu’ils se connaissaient aurait été très présomptueux, mais Euphy avait déjà eu l’occasion de lui dire qu’elle le trouvait « intéressant » en arrivant à Poudlard. Depuis elle le saluait, toujours en l’appelant par son nom entier, à chaque fois qu’elle le croisait par hasard. Elle faisait cela avec tous les ainés qu’elle respectait, et même certains élèves plus jeunes qu’elle. Et pour des raisons diverses, autant que la culture à laquelle il appartenait que son statut officiel d’Animagus, autant pour son intérêt pour la médicomagie que pour l’expression de son humanité, Euphy avait décidé que Néron Calligula Zabini était une personne avec qui il était important de garder des liens respectueux et amicaux.

Elle fait une révérence très simple tout en saluant, puis revient aussi droite et noble qu’une poupée sur ses appuis. Enfin elle s’appuie complètement sur une jambe pour supporter le poids de sa sacoche et laisse sa mine fatiguée d’avance de la journée potentiellement à venir, ce qui créé un contraste assez violent avec son éducation de maintien de soi. Elle laisse aller un grand soupire et sourit, mettant ses mains dans son dos.


« Je compte sécher aujourd’hui. Vous me tenez compagnie ? »
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MessageSujet: Re: Le monde est grand, ne nous enfermons pas.   Le monde est grand, ne nous enfermons pas. EmptyMer 18 Juin - 11:04


Le Monde est Grand, ne nous Enfermons pas

Néron & Euphemia - 22 Mai

Mam'zelle bulle by Tryo on Grooveshark

Le temps passait et la fin de l'année approchait. Mis à part les examens qui étaient dans toutes les bouches, Néron en avait assez de se faire rabattre les oreilles avec les stages. En tant que deuxième année de licence en médicomagie, il devait comme tous ses petits camarades, trouver un âme charitable qui voudrait le supporter pendant l'été, enfin pendant un mois au moins, si possible dans son domaine d'activité. Si l'année dernière il s'était arrangé pour prendre son grand-père comme tuteur et ainsi travailler un mois dans les serres avec lui, cette année, on lui avait bien aimablement fait comprendre qu'il devrait trouver un professionnel plus "neutre" et qui correspondent à son projet. Difficile à expliquer à ses têtes d'oeuf qu'il se destinait à reprendre les affaires de son grand-père et qu'il n'y avait donc pas meilleur tuteur de stage que celui qui serait son futur associé, mais allez comprendre !

Poudlard étant ce qu'il était -une académie d'Angleterre, c'est à dire un pays maussade où ni le temps, ni le climat ne donnait réellement à l'été sa définition estivale- Néron avait encore choisi la Jamaïque, son île natale, pour faire son stage. En quelques coups de fils de Mamie Zabini la Furie, il était embauché pour juillet par l'hôpital magique de Kingston, dans un service spécialisé en herbologie. C'était parfait. Le rythme de travail en Jamaïque lui convenait parfaitement et il était évident qu'il côtoierait des amis, des cousins et au final, qu'il serait chez lui. Miracle et Chocogrenouille, ses professeurs avaient acceptés. De toute façon, leur professeur principale qui enseignait l'anatomie, devait partir à la fin de l'année, aussi il avait cédé à Néron sans trop de lutte. Le jamaïcain était quand même plutôt fier de lui et il avait une idée en tête concernant un sujet qui le préoccupait.

Mais qu'à cela ne tienne, aujourd'hui était une journée magnifique et c'est avec un groupe d'amis qu'il était entrain d'arpenter le couloir avec dans l'idée de sécher le dernier cours de pathologie de la journée pour aller s'amuser dans le parc, ou même se tirer à Londres pour une virée entre potes. Certains étaient motivés, d'autres réticents et comme d'ordinaire Néron qui se baladaient à pieds nus, se contentait d'attendre que ses amis se décident. Pour lui s'était déjà sur et certain, il ne passerait pas cette après-midi enfermé, il en était hors de question. Le pantalon d'uniforme remonté au dessus des mollets, la cravate dénouée et la chemise ouverte sur son torse chocolat, il était déjà en vacances, à peu de chose près.

"Bon les gars va falloir se décider là parc ... Bonjour euh toi, là, dont je ne connais pas le nom !"


Néron s'arrêta en plein couloir car une petite pitchoune de Serdaigle qui devait pas être au dessus de la cinquième année, venait de l'interrompre en se mettant devant lui. Quelques secondes pour la détailler de pied en cape et il réalisait que c'était une bleue et bronze assez originale qui avait l'habitude de l'appeler par son nom complet à chaque fois qu'elle le croisait, bien que lui n'ait aucune idée de comment elle s'appelait. Il se rappelait qu'elle l'avait saluer il y a quelques années en lui demandant son nom, avant de lui confier combien elle le trouvait intéressant. Comme cela devait correspondre à l'époque où Néron ne s'intéressait qu'à ce qui pouvait contenir la partie bien proportionnée de lui même qui lui conférait son surnom de "Bao", il était probable qu'il ait simplement zappé de sa mémoire la fillette.

Mais aujourd'hui, elle n'avait rien d'une fillette car on voyait naître sous son chemiser la rondeur d'une adolescence bien entamée. Néron eut un petit sourire en essayant de se rappeler de la bouille de cette fille quelques années plus tôt, mais c'était peine perdue. Il se perdit un instant dans ses grands yeux bleus et sa chevelure rousse avant de s'arrêter devant elle, comprenant que manifestement, elle ne le laisserait pas passer aujourd'hui. Sans doute avait-elle quelque chose à lui dire aussi il fit mine à ses potes de continuer leur chemin et se planta devant elle, la surplombant de sa grande taille et de sa carrure imposante. Elle avait grandie sans doute car il n'avait pas l'impression d'être obligé de regarder aussi bas qu'à l'époque.

"Euh ouais, bah ouais si tu veux. De toute façon mes potes sont trop indécis alors ... Ils se passeront de moi un moment. Qu'est ce que tu veux faire alors ? Tu me rappelle juste comment tu t'appelle histoire que je puisse faire autrement que "hey toi là bas avec la cravate bleue" ? Ce serait cool !"


Le vouvoiement l'avait surpris et il avait ouvert de grands yeux mais elle était intriguante cette gamine, alors finalement ... Comme d'habitude les paris les plus fous étaient ceux qui donnaient le plus à Néron l'envie de s'y frotter. Une Serdaigle bien jolie qui avait poussé comme un champignon qui lui proposait de l'accompagner dans sa fugue, c'était intriguant pour le grand noir. Il attrapa derrière ses nattes plaquées, la moitié du joint qu'il avait commencé et attendit en le glissant entre ses lèvres, qu'ils soient à l'extérieur pour l'allumer. Il y avait la cour un peu plus loin et évidemment le parc. Néron supposait que si la jeune bleue et bronze voulait sécher, ce n'était pas pour s'enfermer à la bibliothèque ...

"Je dois dire que tu m'intrigue ... Et puis, arrête de me vouvoyez, j'ai pas l'impression d'être un grand monsieur grisonnant ... A moins que ? Oh putain regarde mes cheveux là ? Y a du gris ? Y a du gris ? Dis moi que non ? Dis moi que y a pas de gris du tout ! Oh non Merlin Marley touts puissants, j'suis trop jeune pour vieillir ..."


© Yuki Shuhime
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Euphemia A. Grave
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MessageSujet: Re: Le monde est grand, ne nous enfermons pas.   Le monde est grand, ne nous enfermons pas. EmptyMer 18 Juin - 13:56

L'adolescente, qui il est vrai avait fait une formidable poussée de croissance depuis son arrivée à Poudlard, rit en se mettant la main devant la bouche en voyant la dégaine et la sincérité de son interlocuteur. Elle toussota pour se dégager la gorge et continua de sourire. Ce sourire d'oreille à oreille, qui pour un inconnu, pourrait presque être glauque ou inquiétant, était simplement une expression de joie simple.

« Il est vrai que je ne me suis présentée qu’une fois, pardonnez ma rudesse. Euphemia Grave, Troisième année de Serdaigle. J’avais dans l’idée de profiter de ce beau temps, dans l’idéal dans un lieu où il est aisé d’écrire et discuter à la fois. Que pensez-vous de marcher tranquillement jusqu’à Pré-au-lard et de décider du plus intéressant une fois dans une rue digne de ce nom ? »

La bonne humeur et la bonhomie du jeune homme l’avait déjà imprégnée toute entière, ce qu’elle ne manqua pas de noter quelque part dans sa tête. Elle se jugeait aussi influençable qu’une personne lambda, et donc se fiait à ses impressions pour mesurer le charisme d’une personne. Ce fût le cas pour Néron. Ils marchèrent bien rapidement vers l’extérieur, preuve qu’ils étaient bien démotivés pour participer aux cours du jour.

« Je dois dire que tu m'intrigues ...
-Je vais prendre cela pour un heureux compliment.
-Et puis, arrête de me vouvoyez, j'ai pas l'impression d'être un grand monsieur grisonnant ...
-J’essaierai, Néron, j’essaierai.
-A moins que ? Oh putain regarde mes cheveux là ? Y a du gris ? Y a du gris ? Dis-moi que non ? Dis-moi que y a pas de gris du tout ! »


Euphemia leva les sourcils et sourit d’un air audacieusement moqueur. Elle se pris à rire encore une fois ; le naturel de cette personne, un cœur franc et sincère qui n’a peur que des petites choses… Un modèle de l’être humain tel que l’on ose plus se le concevoir dans les livres. C’était cela, cela qu’elle recherchait lorsqu’elle découvrait quelqu’un, quelqu’un comme lui. Ce que la plupart des hommes étaient tout en étant tout à fait autre et unique.

Quels secrets cache le cœur d’un homme ? Comment s’agence ses craintes, et envies, son savoir et ses rêves pour parvenir à être en mots et en acte, à la fin, ce que Néron était aujourd’hui ? de quoi était-il capable ? Un homme n’est pas une science exacte, ni prévisible, et c’était donc la plus grand jouissance possible à ses yeux. Cette joie transcendantale eu pour effet de la faire rire naturellement comme une enfant normal à cette situation, dramatique et comique à la fois. Ils étaient comme deux jeunes gens, deux jeunes sorciers normaux, sans doute. L’alchimie humaine était infinie.


« Oh non Merlin Marley touts puissants, j'suis trop jeune pour vieillir ... »

Elle fit mine de s’approcher et de se mettre sur la pointe des pieds tout en marchant et pris un air détaché et annonça d’une voix grave :

« Mh, est-ce un cheveux blanc. »

Puis elle se remit à rire en marchant. En un rien de temps, ils étaient à mi-chemin de Pré-au-Lard. Le sol était couvert d’une herbe en trop bonne santé pour une journée si brûlante, avec un ciel d’un bleu transcendantal. La couleur la plus pure, le formidable dégradé d’une voute céleste en plein jour. Bleu. Le bleu s’éloigne, et offre un sentiment de tranquillité. Le bleu, par le principe de l’azurage, donne une impression de pureté plus poussé quand il est légèrement incorporé dans un blanc neutre. Le bleu rassemble toutes les nuances de bleu, de 490 nm à 466 nm en termes de longueur d’onde. C’est le pigment le plus difficile à obtenir et connait presque une douzaine de recette différente pour sa confection, du moins chez les moldus.
Ecrire, écrire avant que cela ne lui embrouille l’esprit.


« Je suis certaine que le jour où tu auras des cheveux blancs, tu pourras facilement trouver de quoi les colorier. Il existe des sorts expérimentaux très simples. Mais à mon avis, ce serait du gâchis. Ta peau irait bien avec des cheveux blanc, cela te donnerait un certain style. »

Elle respira un bon coup et se mis à marcher (ou plutôt à sautiller gaiment) avec entrain, tout en continuant.

« Pardon d’avance, mais j’ai entendu dire que tu irais en Jamaïque pour ton stage cet été. C’est de retour à ton lieu de naissance n’est-ce pas ? Félicitation et bon courage. »

Elle souriait toujours autant, pour une fois ses yeux bleus bien ouverts. Elle avait le regard franc de ceux qui sont sincèrement heureux pour quelqu’un sans vraiment savoir pourquoi.

« Médico-magie n’est-ce pas ? Si tu apprends quelque chose d’intéressant, je te serai très reconnaissante de m’en parler, c’est toujours un domaine surprenant et plein d’initiative. D’ailleurs, quels cours avais-tu aujourd’hui ? »

Des questions, toujours des questions. Elle n’était que questionnement pour le monde entier et pourtant, ce qui la rendait si calme, c’était sa patience. Elle voulait tout apprendre, mais tant pis si tout ne venait pas tout de suite. Autrement, les Pourquoi et les Comment deviendraient d’oppressants fardeaux, et elle refusait de s’embarrasser de choses aussi futiles que des fardeaux.

Et un pas dans l’herbe trop verte
Sous un ciel bleu,
Nous marchons sur l’Orange
Vers les glycines blanches
Du village dont la tête est un sanglier noir.


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